La maison de Julatine & Zoggy

Arrvivée au milieux de l'escalier, elle eut quelques remords... Elle décida de retourner voir comment se débrouilleait son amour (car elle avait peur pour a vie de ses assiettes )
Elle l'entendit chantonné mais ne put saisir le sens de ses paroles.
Discrètement elle s'assit derrière lui...

Et bien, tu t'en tires merveilleseument bien, je te confirai ce genre de tâches plus souvent...
Devant sa mine déconfite, elle ne put retenir un sourire.

Bon allez, c'est bien parceque je t'aime.

Elle prit un torchon et se mit à essuyer et à ranger les assiettes déjà propres.
De la fenêtre elle aperçut un Bidet et une Paquerette hilare.

Ils finirent calmement la vaisselle et ils montèrent se coucher.
Altair n'avait pas l'air de lui en vouloir mais elle avait trouvé l'occasion trop belle pour la laisser passer, un homme fesant la vaisselle, elle se dit que ça ne risquait pas de se reproduire de si tôt.
Il s'assoupit et elle alla se blottir entre ses bras avant de s'endormir à son tour.

Quand elle s'était réveillée ce matin là, elle s'était tout de suite rappeler cette journée deux mois avant où sa vie avait changé. Cela fesait exactement deux moi qu'elle le connaissait, deux mois qu'il s'était parlé pour la première fois et dans 3 jours, cela ferait deux moi qu'ils sont ensemble.
Mais pour l'instant, c'était aujourd'hui qui comptait et elle comptait bien le fêter cet aujourd'hui!

C'est pleine de grandes résolutions qu'elle se leva et s'en alla travailler, laissant derrière elle son homme qui allait pouvoir jouir d'une grace matinée bien rare ces temps-ci.

Elle passa une journée entière a réflèchir à la meilleure façon de faire un p'ti truc pour qu'ils s'en souviennent longtemps.
Bon bien sûr, il n'y a que les femmes pour se rappeller de toutes les dates comme celle là mais bon, même s'il l'avait complètement oublié, ele ne lui en voudrait pas. Ces temps-ci il avait été très pris et le boulot avait était stressant pour eux deux.

Elle revint du travail et leur prépara un petit pique-nique simpa, ce soir il fesait beaux et la chaleur étouffante de la journée s'était transformée en une douce brise. Elle étendit une couverture et tout ce qu'il fallait pour que ce soit confortable et elle regarda le soleil couchant en attendant son amour.
Elle avait même pris soin de mettre quelques bougies quand l'obscurité arriverait.

HRP/ Je suis dégouté, je viens de perdre un long, long message que j'étais en train d'écrire... Promis, je re raconterai mais demain, car là je suis bien énervé! Mad

A venir donc, comment Altair oublia l'anniversaire mais s'en rappela à tant. Avec aussi Bidet dans les acteurs principaux

Ce matin, Altair parti tot travailler. Evidemnent, il avait complètement oublié l'anniversaire de leur rencontre (eh oui, les hommes sont tous les mêmes, ils ne se refont pas

Bidet l'accompagnait sur le chemin qui les menait tous deux vers ses champs. Cependant aujourd'hui l'âne avait un comportement pour le moins contradictoire. Quand il fallait avancer, il reculait et quand il fallait tourner à droite, il virait à gauche.Un vrai mulet. (eh oui, les ânes ne se refont pas non plus

Si Altair savait parler le langage de Bidet (au lieu d'apprendre le grecque à l'université, cet âne ! , il comprendrait ce que celui ci essayer de lui rappeler. N'allait pas pour autant insinuer que nos deux compères faisaient un belle équipe. Même si c'était le cas, Altair n'aimait pas être comparé à un bidet.

Avance, sale bête! Si tu continues, je vais finir par t'appeler canasson!

Puis un peu plus tard avec un Altair encore plus exaspéré:
Si tu continues ainsi on va rendre visite à Julatine à l'abattoir... (en parlant d'abatoir il se mordit la langue de peur que Bidet en parle à Paquerette)

Tout à coup, comme par magie (ou par communication mentale avec Bidet, mais Altair n'appréciait peu l'hypothèse que son âme se rapproche de celle de Bidet), il se rappela de l'importance de cette journée.

Il laissa le Bidet perplexe dans le croisement des chemins et déguerpit jusqu'au village pour acheter des fleurs à sa douce. D'ordinaire il préférait les chercher lui même, mais là il était trop tard. Il avait tellement peur de décevoir son amour qu'il maudit sa cervelle de moineau!

Mon amour, je t'aime et tu me manques...Si le travail nous tuera, il ne nous séparera pas, j'en suis sûr!

Oui moi aussi je t'aime et rien ne nous séparera ne tant fait pas.
Tu me manques énormèment mais d'ici quelques temps, tout va s'arranger j'en suis sûr.
J'ai reçu la missive d'une vieille amie qui a besoin d'aide, demain je me mettrai en route et je rentrerai après demain si tout se passe bien.

Après avoir dignement fêter leur anniversaire, ils allèrent se coucher et elle prèparat ses affaires en vu du petit voyage qu'elle devrait faire.
Ils s'endormirent et elle se promit de ne pas le réveiller aussi tentant que ce soit à l'aube quand elle partirai.

Un petit pigeon fris arriva et posa délicatement sur la table un message.

Citation :: Mon amour,
je dois rester un peu plus longtemps que prévu chez mon amie, mais rassure toi, rien de grave. Je reviendrait samedi soir au plutôt sinon, dimanche.
Je t'aime mon amour, surveille bien Paquerette et Bidet.
Julatine

Le pigeon se secoua un peu et reprit son envol.

Altair déposa à son tour un message sur la table:

Citation :: Mon amour,
je vais profiter de ton absence pour aller réfléchir et méditer à l'Eglise. Ces derniers mois ont bouleversé ma vie qui est désormais parfaite.

Mais j'espère que ce n'est qu'un début et afin, d'une part, remercier Dieu et d'autre part réfléchir à notre avenir, une retraite ne me fera pas de mal.

Je t'embrasse, tu vas me manquer. Et pour me faire pardonner, je reviendrai avec une bonne nouvelle...

HRP/ Je vais être coupé de réseau pendant une durée qui risque d'être longue (déménagement ouverture de ligne, etc). Mais je reviendrai, sois en sûr ;-)

Elle arriva chez elle avec joie. Ces quelques jours passés avec son amie d'enfance lui avaient permis de renouer avec son passé.
Qui plus est, l'amie en question était arrivée à la fin de sa grossesse et c'était pour cette raison que Julatine était parti. Elle était resté un peu plus longtemps pour aider la jeune mère et lui permettre de se reposer un peu.

Mais ce n'est pas moin contente qu'elle rentrai chez elle.
Elle vit Bidet et Paquerette en train de flemmarder tranquillement dans le pré.
Avec son baluchon sur l'épaule elle entra dans la maison et la trouva bizarement vide. Elle qui s'attendait à voir une épée et un bouclier trainer fut surprise de les voirs bien ranger. Elle aperçut alors un mot sur la table. Il était de son amour.

Apparemment ce dernier avait eu envie d'un petit séjour chez les moines.
Ca ne lui ferait certainement du bien de se ressourcer un peu, elle le comprenait parfaitement ayant elle même retrouvé avec joie tout ses vieux souvenirs.

Elle déposa son baluchon sur son lit et fila prendre un bon bain. Une fois délasser et laver des poussières de la route, elle s'habilla et décida d'aller lire à l'ombre d'un arbre au verger.

En revenant elle avait eu vent du départ de son amie Bilbo et elle avait été bien triste d'apprendre que ce n'était pas qu'une rumeur.
Seulement changer d'air ne fesait jamais de mal et elle souhaitait que son amie sois heureuse de sa nouvelle existence. Elle se promit aussi qu'elle irai lui rendre visite, ne serait-ce que pour prendre quelques nouvelles.

Sur ces bonnes résolutions elle prit tranquillement le chemin de ce petit coin de verdure qui l'aidait si bien à réflèchir.

Ce matin en se réveillant elle avait eu comme une impression de vide. Quelques minutes plustard elle avait compris, son amour n'était pas à ses côtés pour lui tenir chaud... Elle s'y était habituée et maintenant elle se sentait un peu perdue.

Elle avait travaillé toute la matinée et jusqu'en début d'après midi et elle avait filé à son petit jardin qui avait grand besoin d'entretien.

Après avoir bichonné ses fleurs, elle prit le chemin des champs pour se faire une petite promenade. Un peu d'exercice la mettait toujours de bonne humeur.

En partant elle laissa à boire à Bidet et Paquerette. L'âne avait l'air un peu vexé que son maître ne l'ai pas emmené mais Paquerette semblait savoir lui changer les idées...

La jeune femme s'en alla tranquillement à travers Amiens...

sunny

La maison était bien calme, pas un bruit nulle part...
Quelques affaires en vrac, voilà ce qui donnait signe du départ soudain de Julatine...
La veille elle avait décidé de partir faire un petit voyage, elle était accompagnée de deux bonnes amies et était partie pour Cambrai.
Elle avait envie de voir un peu du pays et comme Altair était chez les moines, il ne lui en voudrait pas de partir sans lui.
Elle avait refait son petit baluchon, avait fermé la maison et avait laisser largement de quoi se nourrir pendant deux semaines pour Paquerette et Bidet.
C'est avec la perspective d'un voyage bien agréable qu'elle avait quitté son chez elle et qu'elle avait pris la route le coeur lèger...

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Deposa sa petite lettre pres de la porte

Une semaine chez les moines lui avait suffit. Julatine, le Bidet, Paquerette et la bonne ripaille lui manquait beaucoup trop. Toutefois, il avait fait le point. Ce moment de méditation l'avait fait réfléchir aux multiples changements dans sa vie ces derniers temps et il revenait avec la ferme intention de faire une demande particulière à Julatine.

En revenant, il ramassait des fleurs sur le chemin. Celà n'allait pas bien avec l'épée qu'il portait à la ceinture..., et s'il devait croiser un brigand...et bien...il lui lancerait un bouquet à la figure... Profitant de l'effet de surprise il pourrait surement porter le premier coup ;-)

En arrivant devant la maison, il trouva les volets fermées. Il eut un pincement au coeur et pensa que son bouquet risquait de finir dans la panse de Paquerette... qui avait d'ailleurs largement assez à manger. Quand il vit le tas de foin, il comprit que Julatine n'était pas près à rentrer.

Tant pis, le monde continue d'avancer et il en profiterait pour étudier et s'occuper de son moulin.

Il murmura toute de même:
"Mon amour, rentre vite...."

Le soleil était levé depuis quelques heures quand Julatine arriva en vu de sa maison.
Dans le champ, Bidet et Paquerette somnolait encore et la maison n'avait pas l'air plus réveillée...

En entrant dans la demeure elle comprit qu'Altair était revenu de chez les moines, l'épée avait retrouvé
sa place habituel et la pile de vaisselle ne laissait aucun doute...

Elle déposa son baluchon et alla se rafraîchir. Elle préparat un petit déjeuner pour son homme qui devait encore être au lit.
Elle entra dans la chambre et su qu'elle avait vu juste, il était étendu et souriait en dormant.
Elle ne put réprimer un sourire en le voyant se retourner pour se protèger du petit courant d'air qu'elle avait créé en ouvrant la porte.

Elle posa le petit déjeuner à côté du lit et se pencha sur son amour.
Elle l'embrassa tendrement pour le réveiller.

Altair révait...

Il se trouvait dans un grand champs de blé. Si grand qu'il n'en voyait pas la fin. Le blé était près pour la récolte mais Altair était désespéré devant l'ampleur de la tâche. A coté de lui Bidet boudait (he he pas mal l'alitération^^).Altair lui dit de se mettre au travail mais au même moment une Paquerette (du moins pour Altair c'était Paquerette) avec la tête de Julatine surgit et s'enfuit avec Bidet redevenu joyeux mais laissant le pauvre Altair tout seul.

Le vent se leva. Les épis de blés se mirent à danser avec rythme pour se métamorphoser en fleur. Altair se trouvait désormais dans un énorme champs de fleurs multicouleurs et se mit à les rassembler pour en faire un bouquet énorme. Il s'aidait de son épée pour les trancher avec une étonnante agilité. Julatine sera contente pensa-t-il. Le Bidet réapparu. Il était devenu sombre, méconnaissable. Un terrible rictus se lisait sur son visage. Il se rua alors sur les fleurs amassées pour les dévorer. Heureusement Altair maniant son épée à merveille s'interposa et fit fuir l'animal démoniaque. Soudain, un petit vent glacé se mit à souffler. Toutes les fleurs s'envolèrent laissant apparaitre Julatine, endormie. Son odeur remplaçait celle des fleurs et il alla l'embrasser....

lorsque quelqu'un l'embrassa.Il ouvrit un oeuil et vit Julatine. Le rêve devint réalité...

Il ouvrit les yeux et lui sourit. Ah qu'il était beau son homme.
Elle ne put s'empêcher de l'embrasser et d'aller se blottir dans ses bras quelques minutes...
Elle lui murmura à l'oreille:
"Je t'aime..."

Ils prirent leur petit-déjeuner tranquilement. Ils se levèrent à regrets mais le soleil continuait sa course et bien que l'attrait du lit ne fesait que de se renforcer après la longue route que la jeune femme avait parcouru, elle descendit et se mit en tête de faire un peu de mènage dans sa maison où la poussière avait commencé s'installer après ces quelques jours d'absence.

Altair parti pour son moulin en fin de matinée et revint en début d'après midi.
Ils déjeunèrent paisiblement dans le jardin et Altair s'entraina encore un peu avec son épée qu'il maniait de mieux en mieux tandis que Julatine s'occupait de son jardin où ses fleurs avaient un peu souffert du manque de soin...

L'après midi passa et une belle soirée commença.

Julatine et Altair rentraient de chez Lison, une belle nuit étoilée s'étendait sur la petite maison.

Ils entrèrent et montèrent directement...
La nuit ne fesait que commencer et une histoire de tomate et de braise avait piqué sa curiosité...

...sans compter qu'il fallait éteindre un incendie au paravent...

Epuisés, ils s'endormirent finalement blotti l'un contre l'autre. Altair comprit alors tout le sens de l'expression "être dans les bras de Morphée". Sa Morphée à lui, étendue à son coté avait quand à elle trouvé également son Morphée masculin. Altair se laissa aller doucement...

Il se retrouva à l'Eglise, debout dans l'allée centrale. En face de lui le curé était souriant et fixait la porte principale de l'Eglise. Il se retourna et vit, Julatine, plus resplendissante que jamais, habillé dans une longue robe blanche. Elle lui sourit et son coeur se mit à battre à tout rompre. Elle s'avança, lui prit la main et se plaça à son coté face au curé.

Le curé dit: "Mes amis, nous voilà réuni pour le marriage de Julatine et Altair."

A ce moment, Altait se rendit compte que l'Eglise était comble. Tout Amiens s'y trouvait y compris Bidet et Paquerette aux places d'honneur.

Julatine se pencha alors sur lui et lui sussura dans son oreille..."Tout vient à point à qui sait attendre, mon amour..."

Fondu...et Altair se retrouva avec Julatine mais qui n'avait plus sa robe blanche ^^...

Ce matin, ils se réveillèrent très tard et décidèrent de rester à faire la grasse matinée encore... Ca fesait si longtemps qu'ils n'avaient pas pu en profiter autant qu'ils auraient eu tort de laisser échapper cette occasion.

Seulement voilà il fallait bien se lever un jour et Julatine décida qu'un petit pique-nique par un si joli temps ne serait pas une mauvais idée...
Elle prépara tout ce qu'il fallait et alla s'installer dans le jardin, Altair lui n'avait pas perdu de temps, la couverture était étendu et il y aurait certainement eu des bougies si il avait fait nuit, Julatine n'en doutait pas.

Après s'être un peu restauré ils restèrent l'un contre l'autre, demainelle devrait de nouveau partir et cela lui pesait lourdement sur le coeur mais elle voulait profiter de sa dernière journée avec son amour.

La journée était déjà bien avancée et ils n'eurent pas longtemps à attendre pour profiter d'un magnifique couché de soleil.
La nuit commençait à s'installer et à rafraîchir l'atmosphère mais blottit dans les bras de son amour elle ne craignait plus rien...

La veille au soir, elle avait du de nouveau préparer son petit baluchon, le pauvre avec toutes ses cavalcades se fesait bringuebaler dans tous les sens...

Quand elle se réveilla tôt ce matin, elle ne ptu s'empêcher de comtempler son homme, allongé à côté d'elle. Il dormait profondément.
Elle l'embrassa doucement pour ne pas le réveiller, prit son baluchon sur son épaule et sortit de la maison.

Elle fit une dernière caresse à Bidet et Paquerette avant de tourner les talons et de parcourir cette route poussièreuse qui avait soudainement perdu ses attraits.

Elle partait la mort dans l'âme mais au moin à son retour, beaucoup de choses changeraient, en tout cas elle l'espèrait...

Il n'avait pas eu le courage d'ouvrir l'oeil car il n'aimait pas les au revoir et il ne voulait pas que Julatine l'aperçoive les yeux humides.
Il avait le coeur lourd et savait que cette séparation serait difficile. Toutefois il savait également qu'elle annonçait un avenir radieux dont il avait hate.

Ses mots résonnairent à nouveau dans son esprit: Tout vient à point à qui sait attendre...

Ce jour là le temps s'était mis à l'orage. Il espérait que Julatine pourrait l'éviter pour voyager au sec.
Il sortit du lit tard car rien ne lui semblait attrayant. Il entendit Bidet se manifester et se mit alors debout. Il mit un peu de l'ordre dans la maison et parti avec Bidet au moulin. Il voulait travailler... et bien il en aurait du travail Wink

En rentrant en fin d'après midi, Altair prit une feuille et un crayon.

Il n'était pas très doué pour faire des rimes, mais il savait que ça ferait plaisir à son amour, alors il essaya:

L'Abscence,

Par définition contraire de présence,
Mais dans mon coeur y possède bien plus de sens.
Ce n'est pas un simple mot de romance,
Mais plutôt un état subi, bien loin de celui de transe.

Ta rencontre fut mon premier jour de chance,
Mais sans toi, ma vie deviens rance,
Inodore se retrouve l'encens,
Lorsque imperceptible est ton essence.

Fini l'insouciance de ta présence,
Lorsque bercé par tant d'innocence,
C'est des baisers que je te lance,
Bien faibles témoins de mon amour immense.

Mais de ton dernier au-revoir,
Est né ici ce qu'on appelle espoir,
Espoir de bientôt se revoir,
Afin que ne s'éternise pas ce long soir.

Altair posa son crayon. Il pleurait.Il savait que le résultat n'était pas parfait mais ouvrir son coeur lui avait fait du bien.

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