Le port d'attache de Lison et Alric

*Lison regarda Alric, lison sauta au coup d'alric.*


Je t'aime Alric, as tu passé une bonne journée?

*Lison embrassa Alric*

*Lison sourit aux paroles d'Alric*

Messire de Boves voudriez vous, passez a table?

*Lison lui fit un clin d'oeil*

*Lison s'avança pour servir alric. Lison avait préparé un bon petit cochon au feu de bois, avec des legumes.*

Bon appetit.

As tu passé une bonne journée?

Ne cherche pas Guliver, il n'est pas la mon amour, je l'ai confié a lokos, depuis le temps qu'il voulait joué a la nounou

Oui mais je me suis dépêché, je devais préparé Guliver, ranger la maison, et te préparer a manger.



D'ailleur mon amour, on devrait prendre un valet.

Que penses tu de ness?

D'accord, je previendrais Ness, nous le payerons.

Oui tu as raison, le domaine de Boves nous attend, nous ferions mieux de nous en occuper rapidement.

*Lison regarda Alric et sourit.*

Bonne idée je te suis mon seigneur

Je t'aime Alric, tu es mon seigneur qui a conquis mon cœur.

*Lison se changea pour ne pas froisser sa robe, et se blotti dans les bras,de son amour. Lison déposa, sa tête sur son torse. Et ferma les yeux, un bon moment passer avec son amour et espéré en avoir plein d'autre*

Bonne nuit doux prince de mes rêves.

*Lison entend frapper, elle se dirigea vers la porte*

Bonjour que puis je pour vous?

Ah Crévin, qu'al est belle la rouquine !

Cette parole échappa à Nestor-le-Gueux qui restait comme un idiot devant laporte de la dame avec un air stupéfait.
Il enleva le bonnet qui lui servait de chapeau, par politesse. Sa voix se mit à trembler.

Ja entendu parler que vous êtes la dame la plus généreuse du Comté Dame.
Ja entendu aussi comme ça que vous cherchez un Valet pour l'entretien de vot maison.
Oh tout ce que je veux c'est qu'on me laisse une chance Dame. Une fois débarbouillé je suis plutôt beau à voir, faut pas croire ce que vos yeux voient.
Epi... il y aura pas de malentendu hein. Je dormirai...

Il se tourna à droite et à gauche.

...là, sur l'trottoir !
Ah vous regretterez pas Dame. Et vot maison elle sera... propre comme si c'était la mienne !

Ah Crévin, qu'al est belle la rouquine !

*Lison était surprise, mais avait envie de rire, lison écouta ce que ce messire avait a dire.*

Et bien effectivement je cherche un valet, il devra s'occuper de mon fils, de la maison, du repas.

Cela ne vous fait pas peur?

*Lison le regarda, il avait une drôle d'allure, mais bon pourquoi pas lui laisser sa chance?*

Bon très bien entré je vous laisse une chance, sinon vous ne dormirez pas sur le trottoir^^

Actuellement notre maison est peu grande, mais nous avons préparé une pièce, pour le valet.

Bientôt nous iront dans notre domaine, et vous aurez encore plu de ménage.

Mon fils actuellement est chez mon neveu, on ira le chercher ensemble demain.


*Lison lui montra sa chambré*

Voila c'est ici qui vous dormirez, je vous conseil, de prendre les vetements que j'ai mis sur le lit et de vous debarasser des vostre.

Pour vous lavez si vous le souhaité il y a un petite pièce juste a cote.

Je vous présenterais mon époux, demain, si vous avez faim les cuisines sont en bas.


Bonne soirée messire.



*Lison monta rejoindre son époux*

*Lison entra dans la chambre, Alric était la, il l'attendait*

Mon amour, je crois qu'on a trouvé un valet, je ne le connais pas assez, mais je vais lui laisser une chance.

J'espere que je me tromperais pas.

*Lison embrassa Alric tendrement*

As tu envie de quelque chose mon amour?

Nestor faisait un saut vite fait dans la demeure de la rouquine et de son homme car il avait mauvaise conscience : Il était resté longtemps au verger en attendant une dulcinée qui n'était pas ( encore ) venue et il voulait savoir si on avait besoin de lui ici.

La baraque lui semblait déserte, pas même le cri d'un marmot en détresse dasn les environ. Il trouva un balai dans une sorte de remise et se mit à faire deux ou trois mouvements dans le salon ; ces choses là il n'avait pas l'habitude et il ne s'attarda pas dans les coins.

* Crévin qu'ils sont propres ces gens *

Une fois sa tâche vaguement accompli en moins de trois minutes, il fut prit d'une immense fatigue d'ivrogne et hésita à s'affaler dans le salon. Mais il craignait que les maîtres de maison ne rentrent et lui ordonnent de se laver ou pire : de travailler.

Pris d'ennui il arpenta la pièce principale où se trouvait une somptueuse bibliothèque.

* Zont les moyens ces gens *

Il essaya de déchiffrer les titres des livres qui étaient tous bien alignés mais il n'y comprenait pas grand chose. Politique, religion, statistiques, guides de polices, il parvenait à peine à décoder les lettres.
Puis un livre retenut son attention : Apprendre à lire. La reliure était certainement destinée à l'éducation de l'enfant qu'il n'avait pas encore vu.

Il se traina jusqu'au salon avec le livre à la main, se disant que ce serait sûrement le gosse qui lui apprendrait à s'alphabétiser.
Il en eut vite assez.
Il déposa une petite cloche pour que ses maîtres fassent appel à lui si besoin était, puis il repartit pour le verger à la recherche de la gueuse idéale, en espérant qu'elle aurait une bonne croupe.

*Lison était parti tot ce matin, elle rentra pour recuperer nestor pour aller avec lui chercher Guliver chez Lokos.*

Nestor, Nestor vous êtes la?

*Lison ne le voyant pas arriver, elle aperçu une clochette, mais qui avait bien pu mettre cela ici?. Elle décida donc de la faire sonner au cas ou^^*

Bon il doit être occupé, je vais aller me changer, préparé deux trois choses et j'espère qu'il sera la, pour aller chercher Guliver.

Encore une fois, Nestor rentrait bredouille de ses recherches amoureuses au Verger et se traînait comme une âme en peine sur le chemin du retour lorsqu'il entendit la clochette sonner.


Ah ? Ca c'est la rouquine qui m'appelle ! S'écria-t-il tout joyeux.

Il avança, tout guilleret jusque la maison de ses maîtres lorsque tout à coup la peur le prit au ventre.

Et s'ils lui demandaient de se laver ????? Il faudrait alors ruser.
Un peu craintif, Nestor aperçut la rouquine occupée à préparer quelques affaires.
Il fit une révérence tremblotante, pas fier, et dit d'une voix rocailleuse :

Vous m'avo demandé...Gné... Maîtresse ?

Bonsoir Nestor, oui nous allons aller chercher Guliver mon fils, chez mon neveu lokos.

*Lison le regarde, il avait pas eu le temps de se changer et laver, mais bon lison avait trop hate de retrouver Guliver.*

Tu vas m'accompagner, je te présenterais mon neveu et sa futur femme.

Tu n'as pas eu le temps d'éssayer les beaux vetements?

Passons nous verrons cela plus tard.

Aller en route

Mince, la question de la toilette et des vêtements commençait déjà à se poser. Nestor était d'autant plus mal à l'aise qu'il n'avait encore vu ni son Maître ni le petit Guliver mais il était content que ce dernier ne soit pas une fillotte.

Au moins il pourrait jouer avec le gosse à des jeux de garçons et aussi, il pourrait l'emmener avec lui au verger.

Ca plait toujours aux femmes, un homme avec un loupieau. Ca les attendrit.

Je vous suis Maîtresse, marmonna-t-il avec un peu de peur. Ja hâte de voir s'tiot. Vous verrez, le p'tit Guli et moi on s'ra les meilleurs amis du monde.


Et il suivit sa Maîtresse là où elle souhaitait l'emmener.