Le port d'attache de Lison et Alric

*Lison avait passé la soirée en taverne et avait glissé méchamment trist un ami l'avait racompagné car elle avait du mal a marcher, elle navait pas voulu reveillé Alric elle avait monté les escaliers a cloche pieds mais c'etait fort long, une fois arrivé au lit elle s'allongea doucement aupres de son bien aimé.*

Lison et Alric étaient, en ces jours-là, tous deux forts occupés. *
Le conseil comtal, la mairie d'Amiens, le guet, les élections à venir...

Disposant de quelques instants, Alric en profita pour prendre Guliver dans ses bras et s'offrir un moment de détente en compagnie de leurs fils. Il se cachait dans le col de sa chemise et, chaque fois qu'il réapparaissait vivement, Guliver éclatait de rire.
Alric remarqua qu'il avait dans les yeux les mêmes étoiles que sa mère...

Ce moment si joyeux ne pouvait malheureusement durer éternellement. Alric appela Nestor, qui arriva aussi vite qu'il pouvait.

Nestor ?! Emmenez donc Guliver prendre l'air, car j'ai encore beaucoup à faire. D'ailleurs, les jours qui viennent, je pense qu'il aura énormément besoin de vous.

*Lison n'avait pas vu son fils depuis plusieurs jours a cause de la fougue des elections, elle rentra très vite après avoir su qu'elle avait été élué a nouveau maire d'Amiens.*

Nestor, nestor,

*Lison voulait voir son petit bout, elle sonna la cloche.*

Le Nestor il était saclément en regard encore aujourd'hui. C'est qu'il s'amusait beaucoup avec le petiot Gulliver ces derniers temps, surtout depuis que le bambin commençait à prononcer ses premiers gazouillis.

Mais le Nestor n'était presque pas sorti aujourd'hui. Juste un petit tour par le verger pour voir si quelque fifille perdue ne pouvait pas se laisser séduire par un vagabond promenant un enfant.
Mais le jardin des amoureux était désert et le Nestor, avec les premières gelées, était vite rentré chez ses Maîtres.

Il jouait avec Guliver dans la chambre du petiot, lui faisant des risettes et l'écoutant parler.
Le Nestor avait remarqué que Gulliver savait dire : " Pa-ha " quand le Maître était là et " Ma-han " quand la rouquine rentrait dans le port d'attache, mais le petiot disait toujours " Pa-ho ! " quand il regardait Nestor.
Il se demandait ce que ça pouvait bien vouloir dire...

Soudain la clochette sonna et le Nestor prit le petiot dans ses bras afin de l'apporter à sa Maîtresse.

*Lison vit arriver Nestor et son petit bout*

Bonjour Nestor comment allez vous? et comment se porte mon petit Guliver?

*Lison prit son fils dans es bras le calina et l'embrassa*

Guliver s'était endormi dans les bras d'Alric, et celui-ci l'avait couché. Il en avait profité pour donner sa soirée à Nestor. Près du feu, Lison et Alric pouvaient donc partager un moment d'intimité devenu assez rare depuis quelques temps.
Alric se leva, jeta une grosse bûche dans l'âtre et s'empara de deux verres et de la bouteille de chouchen, présent de l'oncle de son épouse. Il tendit un verre à sa douce épouse et trinqua avec elle. Il trouvait que la liqueur allait bien à Lison ; il y avait comme une connivence entre la boisson et la jeune femme. Sans doute à cause de cette douceur qui les caractérisait toutes deux.

Il se pencha pour l'embrasser.

*Lison était heureuse de passé du temps avec son époux, elle l'embrassa tendrement*

Que sa fait longtemps mon amour, nous travaillons trop.

Alric ne pouvait raisonnablement mettre en doute ce que venais de dire son épouse. Il prit sa main dans la sienne.

Profitons un peu d'être seuls tous les deux, mon amour...

Oui avec plaisir mon amour

*embrasse alric*

Je t'aime mon amour, il faut qu'on pense un peu à nous.

Alric approcha son visage de celui de Lison presque à le toucher... Puis, son regard se détourna un instant pour faire le tour de la pièce, cherchant quelque chose en particulier ; il était toujours là, dans un coin, ce vieux tapis...

Je n'ai pas le courage de monter les escaliers, mon amour.

Il y a la chambre du bas mon amour^^ lol!

*Lison se leva et prit la main d'alric*

La chambre du bas... Cela faisait bien longtemps qu'un feu avait brillé dans l'âtre de cette pièce. Elle était inoccupée et le plus souvent glaciale. Mais une petite voix suggérait à Alric qu'il n'aurait nul besoin de flambée.

Il se leva donc pour suivre son épouse.

*Lison embrassa tendrement alric*

Je t'aime alric

*Lison embrasse tendrement alric*

Je vais profiter de cette nuit et je vais dormir tout contre toi mon amour

Alric s'allongea et invita son épouse à s'allonger à ses côtés ; sûrement poserait-elle sa tête sur son épaule, comme elle le faisait parfois. Ils n'auraient pas froid, il en était convaincu.

*Lison s'allongea pres de son époux l'embrassa tendrement, le câlina.*

Je t'aime mon amour, ses doux moments mon manqué.

*Lison deposa sa tete sur le torse d'alric pour s'y endormir dans ses bras*

Au petit matin, un page frappa à la porte de cette merveilleuse demeure, quelqu'un vint lui ouvrit la porte.

Bonjour, je suis un messager de Marmande j'ai ordre des remettre ce parchemin à Dame Lisonlune ou seigneur Alric, de la part de Dame Narumeru de Montesquieu.

Le port d'attache de Lison et Alric - Page 6 Mariag12

Le page donna le parchemin et salua la personne puis lui souhaita une bonne journée. Puis il continua sa tournée car il lui restait encore pas mal de parchemin à remettre.

*Lison qui était a la maison avec Guliver entendit frapper, elle descendit puis un homme se présenta*

Bien le bonjour messire,

*Lison lit le message elle etait heureuse pour son amie, elle le mit sur la table pour le montrer à Alric*

Merci messire nous n'y manqueront pas.

NESTOR.

Offrez donc à boire à ce messire.

Alric avait bien entendu qu'un visiteur était passé déposer quelque chose. Il avait entendu Nestor lui servir à boire, sur les instructions de Lison ; puis, le porteur était reparti.
Si Nestor lui avait servi cette liqueur dont il avait le secret, il devait désormais avoir du mal à s'orienter. Cette pensée fit sourire Alric.

Penché sur sa tâche, il entendit Lison monter s'occuper de Guliver. Il décida de s'accorder une petite pause.

Sur la table était un parchemin, joliment enluminé. Alric s'en saisit pour le lire... et ouvrir son visage d'un large sourire.

Ainsi, Naru marcherait bientôt à l'autel, pour convoler en justes noces. Cette nouvelle était merveilleuse et le remplissait de joie.

NESTORRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR

Mais ou est il bien passé

En entendant son épouse appeler Nestor, Alric se dit qu'en effet, cela faisait un moment qu'il ne l'avait pas vu. Il était si occupé qu'il ne l'avait pas vraiment remarqué.

En y réfléchissant davantage, il constata que même Calypso, Castor et Pollux n'étaient plus les mêmes depuis un moment, comme si un élément de leur univers s'était évanoui.

*Lison rentra ce soir pour s'occuper de son Guliver il grandissait tellement vite, il commençait a marcher a 4 pattes dans la maison, et essayait de se tenir debout. Il allait devenir un vrai petit bonhomme. *

Guliver tu es si beau et tu ressembles tellement à ton papa, tu as le même regard que lui.

Cherchant une écharpe pour protéger son cou du froid qui commençait à devenir pinçant, même dans la maison, Alric s'était abandonné dans la contemplation de la garde-robe de son épouse. Chaque toilette de Lison s'associait dans son esprit à un événement particulier. Celle-ci, elle la portait le soir où elle avait accepté de venir reposer pour la première fois ici ; ce soir qui avait décidé tous les événements heureux qui s'en étaient suivis.

Lison avait quitté Amiens avec telle autre robe, dans les plis de laquelle était glissée la déclaration d'Alric.

Au milieu, la robe d'un grand jour : magnifique, resplendissante. La robe de mariée de Lison. Il lissa doucement l'étoffe du dos de la main.

Enfin, la découverte de ce qu'il convoitait l'arracha à sa rêverie. Il noua le long lainage autour de son cou et ressortit de la chambre.

Depuis plusieurs jours, Lison n'allait pas bien. Elle avait du confier la mairie d'Amiens à Cdingue, tant grave était son état. Même assise devant l'âtre où brûlait un feu infernal, elle grelottait.
Alric était très inquiet : la nuit précédente, elle n'avait pas cessé de trembler de froid dans le lit, ne trouvant le sommeil qu'aux toutes dernières heures de la nuit. Il décida que cela suffisait.

Aux premières lueurs du jour, il fit mander une litière et quatre chevaux. Lison devait aller se reposer.

Lorsque l'attelage arriva, il enveloppa son épouse dans tout ce qu'il put trouver de chaud : couvertures, pelisses, ... et l'installa à bord. Guliver fut lui aussi hissé dans la litière.
Il sauta à cheval et l'équipage s'ébranla vers sa destination.

*Lison, n'etait vraiment pas bien, heureusement alric s'occupa d'elle.*

*Lison commence a reprendre des forces, alric c'etait occupe d'elle alors qu'il avait un tres gros travail en tant que lieutenant et prevot.*

Mon bien aimé tu es la?

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