Le port d'attache de Lison et Alric

Vous verrez il est le plus adorable des enfants Wink

Et j'espere bien que tout se passera bien.

Aller en route allons y a pied c'est pas tres loin.

*Nestor et Lison partent chez son neveu Lokos*

*Lison rentra avec Nestor et Guliver, alric devait être encore entrain d'étudier*

Nous voila arrivé Nestor, peux tu t'occuper de Guliver de le changer et de le langer, je vais donc préparer le repas.

*Nestor avait l'air un peu embeté, Lison alla voir si Alric, était la puis alla l'embrasser*

Bonsoir mon amour, encore dans tes livres?

Alric sourit à l'arrivée de son épouse, et l'embrassa.

Bonsoir mon amour. Eh oui ! Encore dans l'histoire... Mais je ne m'avouerai pas vaincu.

Il jeta un regard convaincu et conquérant à la pile de livres qu'il n'avait pas encore lus.

Guliver a été sage avec Bleuet et Lokos. Il ne l'a pas trop fatiguée ?

Il fut interrompu par un grand éclat de rire de Guliver. De toute évidence, il s'entendait bien avec Nestor.

Ca a l'air de bien se passer avec Nestor, en tout cas.

Oui lokos et Bleuet étaient content, ils m'ont dit qu'il était adorable.

*Lison embrassa tendrement Alric*

Oui sa a l'air de bien se passer.

Je vais aller preparer le soupé mon amour, tu as pas du manger encore.

Je m'occupe de cela, je t'appel dans quelques minutes.

Et n'oubli pas une chose

Je t'aime

Moi aussi je t'aime, ma Lison. Bon courage dans la cuisine mon amour.

Quand Lison eut quitté la pièce, Alric se replongea dans ses livres. Finalement, a bien y réfléchir, l'histoire n'était pas une matière si difficile. Longue à apprendre, sans aucun doute, mais passionnante.

*Lison laissa alric etudier, Guliver était avec nestor, elle commença à faire cuir des légumes, et avait mis un petit cochon a rotir dans la cheminé. Lison avait aussi préparé une petite soupe de légumes pour Guliver. Elle hésita a demander a Nestor de lui donner a manger, mais sa lui apprendrait surement.*

Lison alla chercher Alric une bonne demi heure plus tard, savoir s'il voulait venir manger. Nestor une fois terminé descendra pour le repas de Guliver.

Mon amour aurais tu envie de laisser un peu tes livres, et de venir souper avec moi?

On n'aurait su, même avec la meilleure mauvaise foi du monde, refuser une telle récréation...

Bien sûr mon amour.

Alric posa l'ouvrage qu'il lisait en lui jetant un regard entendu : Je n'en ai pas fini avec toi...
Il emboîta le pas de la longue silhouette de son épouse, en caressant du regard ses épaules si nettes, ses hanches aux si douces courbes, ses jambes si fines... Lison était un festin pour les yeux, et pas uniquement pour les yeux...

*Alric et Lison se mirent a table*

Bon appetit mon amour, j'espere que nestor s'en sort avec Guliver.

A entendre les rires de Guliver, Alric se dit qu'ils n'avaient pas de soucis à se faire de ce côté.

Je pense que tu n'as pas à avoir de crainte, mon amour. Je te souhaite également très bon appétît.

Alric commença à manger.

C'est divin, mon amour. A ton image.

Alric sourit à sa merveilleuse épouse et se pencha par dessus la table pour l'embrasser.

Merci mon amour, je t'aime.

*Lison avait confiance a Nestor, mais l'instinct maternelle était la.*

As tu bien mangé mon amour?

J'ai laissé de quoi mangé aussi a nestor dans la cuisine, je ne vais pas tarder je pense a aller me reposer, je suis un peu fatiguée.

J'ai très bien mangé mon amour. C'était très bon.

Alric embrassa la jeune femme.

Monte te reposer mon amour. Je finis ma lecture et je te rejoins.
Je t'aime ma Lison.

Il l'embrassa de nouveau et s'en retourna se plonger dans ses livres et dans sa lutte entre l'homme et la connaissance.

*Lison était fatiguée et laissa alric aller etudier pendant que Lison monta se coucher, alric ira se coucher plus tard aupres de sa douce*

Je t'aime Alric, travail pas trop tard.

*Lison embrassa tendrement alric*

Nestor, Nestor, ou es tu?

J'ai besoin que tu t'occupes de Guliver, je dois partir pour le chateau d'arras.

*Lison se demandait bien ou il était encore passé.*

Nestor revenait à moitié mort de froid du parvis de la Cathédrale, c'était une bien dure journée pour lui.
Il pensait encore à la piécette qu'on lui avait volé pendant son sommeil et juronnait comme un diable lorsqu'il entendit la clochette de ses Maîtres.

Le sourire lui revint immédiatement en pensant à la rouquine. Il avait hate de rencontrer son Maître aussi.

Alors il entra et fit une révérence.

J'ai besoin que tu t'occupes de Guliver, je dois partir pour le chateau d'arras.

Nestor se dirigea vers le petit Guliver ; le petiot, il commençait à l'aimer sincèrement.

Partez tranquille Maîtresse, dit-il en faisant de nouvelles révérences. Ja vai emmener le moutio au Verger cueillir da pommes et on les fra bouillir pour vot' mari ce soir.

Et il fit risette au petit Guliver qui fut pris d'un énorme rire de bébé devant sa trogne.

tres bien nestor, vous pourrez aussi allé au marché chercher du poisson pour ce soir, prenez en trois, puis vous pourrez aussi donner a manger à Guliver une petite soupe avec du lait.?

Je vous donne quelques écus.

*Lison lui donna 50 écus*

Vous garderez la monaie pour vous.

*Lison embrassa Guliver et fila directement travailler*

*Lison se fit du soucis, nestor etait pas rentré avec le poisson, guliver, lison sonna la cloche*

Alric, je me fait du soucis, Guliver n'est pas dans son berceau et nestor n'est pas la.

Lison semblait vraiment inquiète. Alric ne l'avait encore jamais vu dans un tel état. Il prit ses douces mains dans les siennes et l'embrassa.
Puis, il la serra contre son coeur.

Ne t'inquiète pas, mon amour. Je suis certain qu'ils vont rentrer. Tu sais, Nestor ne marche pas toujours très vite. Et Guliver est parfois farceur.

Elle semblait avoir du mal à se laisser convaincre. Il l'embrassa donc, espérant que ce baiser serait un argument supplémentaire.

Nestor revenait tout pimpant, le petit Gulli dans les bras, avec un sac rempli de pommes et les trois poissons que sa Maîtresse lui avait demandé d'acheter.
Gulliver, accroché à Nestor, s'essayait à croquer une pomme avec beaucoup de difficultés mais ce petit exercice semblait l'amuser.
Nestor était heureux car l'espace de quelques minutes, il avait tenu 50 écus dans les mains. C'était bien plus que tout ce qu'il avait pu gagner durant toute sa carrière de mendiant.

Quand il pénétra dans la maison, la clochette venait juste de retentir. Il comprit que ses Maîtres s'étaient inquiétés.

Ja revien du Marché, dit-il d'une voix effrayé. Avec le Moutio on a regardé si on pouvait lui acheter un jouet vu que j'avai un peu d'argent pour la monnaie.

Il déposa Gulliver qui réclamait sa mère et retira son bonnet en baissant les yeux.

Ja même pas cherché la fifille vous savez. Ma je comprendrai que vous me donniez le fouet, ja n'ai pas fait attention qu'il était tard.

Sur ce il s'apprêta à baisser ses braies très odorantes et à attendre le fouet que ses Maîtres allaient lui donner.

*Lison aperçu Nestor, alric avait raison comme souvent, elle s'inquietait un peu trop vite.*

Bonsoir nestor, vous avez cueilli des pommes tres bonne idée, je me suis onquiete, mais vous savez remonter vos braies. Nous ne sommes pas des martyr.

Vous pouvez garder la monnaie messire Nestor.
Et il y a un poisson pour vous.

*Lison prit Guliver dans les bras et deposa un bisou sur ses joues.*

Je vais m'occuper de Guliver vous êtes libre pour ce soir.

Alric arriva sur ces entrefaites. Il s'accordait une pause dans ses études du jour. Il avait les bras chargés de vêtements et héla Nestor.

Nestor !

Celui-ci se retourna. Alric lui tendit les vêtements.

Tenez, c'est pour vous. J'ai fait du rangement dans ma garde-robe. Ce sont des vêtements que je n'ai quasiment pas porté mais que je ne mettrai vraisemblablement plus.

Il laissât le paquet dans les mains de Nestor et, lui ayant souhaité bonne soirée, s'en retourna voir Lison et Guliver, pour s'offrir en leur compagnie une petite récréation avant de se replonger dans ses études.

Tout penaud Nestor restait tête baissée, braies à ses genoux, regardant ses chausses par lesquelles on voyait dépasser ses gros orteils. Il serrait son bonnet dans les mains et lâchait des souffles rauques de peur.

Le Maître arriva sur ces entrefaits et l'interpella en lui tendant une poignée de vêtements....propres !

Tenez, c'est pour vous. J'ai fait du rangement dans ma garde-robe. Ce sont des vêtements que je n'ai quasiment pas porté mais que je ne mettrai vraisemblablement plus.

Nestor reçut le paquet dans les mains et le renifla longuement avec curiosité, comme s'il n'avait jamais porté de vêtements impeccables entre ses doigts sales.

Marci Maître, marci...z'êtes fin bon avec moi...

Il ne savait que faire de ces braies neuves qui sentaient le vent frais du Nord mais il se dit en son for intérieur qu'il leur trouverait bien une utilité...détournée !
Sur ces paroles il se retira afin de laisser ses Maîtres seuls, il disparut le pas boitillant et les braies toujours baissées.

*Lison avait envie de rentré pas trop tard, elle passa le pas de porte et appel nestor*

Nestor

*agite la cloche*

Le Nestor il était en train de fuir à travers les rues d'Amiens, galopant comme un diable avec un sourire jusqu'aux oreilles et une piécette en or qu'il tenait fermement entre ses gros doigts sales.

Il s'était mis à mendier de bon matin comme d'habitude et avait été le témoin d'une curieuse cérémonie où les nobles se jetaient des pommes entre eux, des pommes en or !
Pris de flattulences il avait erré à travers la foule en quémandant ses habituelles piécettes lorsqu'une tavernière nue s'était présentée sur l'estrade.
Crévin que l'Nestor il avait jamais vu ça !
Et que tous les Nobles ils regardaient la croupe de la Dame pendant que Nestor il agitait son écuelle et que sans le faire exprès, un Noble avait donné une piécette EN OR à Nestor.

Voilà pourquoi Nestor courait comme un fou dans les rues d'Amiens : Il avait peur que le Noble se rende compte de son erreur et veuille lui reprendre sa piécette.

D'un coup il entendit la clochette de ses Maîtres et il changea de direction pour rentrer rapidement dans le port d'attache en se disant que personne n'irait le chercher ici.

La rouquine était là, al était bien habillée Crévin. Nestor se plia en deux pour lui faire une révérence.

Bajour Maîtresse. Vous m'avez sonné ?

Il se rendit compte qu'il avait gardé sa piécette dans ses mains, il espéra que sa Maîtresse ne croirait pas qu'il l'avait volé.

Alric rentrait en leur logis épuisé mais ravi. Le premier cours qu'il avait professé le jour même s'était merveilleusement déroulé. L'exercice était épuisant, mais fort enrichissant. Il espérait que ses élèves auraient retenu l'essentiel de son propos.

Dès l'entrée, il posa ses tablettes sur un guéridon et se précipita sur le premier siège venu. Là, il pût enfin soulager son dos qui n'en pouvait plus d'une aussi longue station debout.

Nestor se retourna subitement : Le Maître venait de rentrer et l'avait l'air bien fatigué.
C'est que les Nobles ils avaient une vie que le Nestor il comprenait pas. Y z'étaient assis toute la journée à faire travailler leur ciboulot et ils rentraient fatigués comme s'ils avaient labouré un champs.
Nestor il avait trouvé le truc : Il travaillait jamais du ciboulot et encore mois dans les champs, comme ça il rentrait jamais fatigué. Faire la manche était l'un de ses rares plaisirs et comme ça en plus il rencontrait de jolies dames.

Nestor vint à sa rencontre car le Maître était vraiment épuisé, il s'approcha dans d'interminables révérences.

Bajour mon bon Maître... Si ja peux vous servir quek chose pour vous soulager ja m'en occupe immédiatement.

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