Le port d'attache de Lison et Alric

A notre amour, mon amour.

Le plat préparé par Lison était succulent. Un délice absolu.

Je crois que c'est une bonne idée, en effet. Qu'en penses-tu, Guliver ?

*Guliver lui souriait tout le temps, pleurait presque rarement. Lison et Alric, apres avoir bien mangé deciderent d'aller se reposer un peu. Alric prit Guliver dans les bras pendant que Lison rangea un peu la maison. Une fois finis elle s'installa dans les bras dAlric et Guliver qui était pret d'eux. Alric et Lison jouaient avec lui. Calypso en avait profite pour etre aussi de la partie.*

Je t'aime Alric notre fils est vraiment merveilleux.

*Lison resta dans les bras d'Alric elle voulait que ce moment ne se finissent jamais*

Guntther arriva essoufflé, il tapa rapidement à la porte en récupérant son souffle. Il attendit tout stréssé qu'on lui ouvre:

Allez,allez ... vite....

*Lison avait entendu frapper, elle alla voir, elle pensait que quelqu'un venait prendre des nouvelles de Lilly. Athor était a ses cotés. Lison pouvait aller ouvrir.*

Ha Gun bonjour sa va? mais que t'arrive t'il?

Guntther encore essoufflé avait du mal à s'exprimer:

Fanfan... ça urge ... je crois que c'est pour ce soir... ça urge .. sinon perdri et zab vont devoir faire sans nous. Désolé je sais .. que tu es occuppé avec Lilly mais là ... faut foncer

*Lison n'avait jamais fait accouché quelqu'un elle avaiot juste donnée naissance deux fois. Elle paniqua sur le coup. Lilly d'un coté aussi.*

J'arrive je préviens vite athor;

*Lison alla vers athor*

Athor je dois m'absenter c'est urgent fanfan accouche, prends soin de lilly. Si ya quoique appel au secours pour que quelqu'un vienne me chercher. Very Happy

*Lison pouvait pas laisse Guliver a Athor elle le prit dans ses bras puis fila avec Gun*

Aller en route allons vite voir cela.

Guntther prit les devants et se mit à courir en direction de la maison de fanfan.

Faut pas trainer sinon on va arriver trop tard.

Guntther rentra de chez Fanfan avec Lison et Guli, le retour avait été plus calme, ils avaient fait un détour pour que Lison dépose un cadeau chez Neo. Il demande à Lison la permission d'entrer chez elle avant d'aller voir Lilly. Il salua Athor et prit des nouvelles d'elle, il serra ensuite la main de Lilly et murmura quelques mots:
Bats-toi Lilly...
Guntther prit ensuite congé et rentra chez fanfan pour la surveiller.

Oui bien sur Gun, reste autant que tu veux.

Moi je file coucher Guliver et j'y vais aussi, je suis fatiguée.

Fais comme chez toi mon ami.

*Lison passa quand meme voir lilly avant d'aller se coucher.*

Aller Lilly courage ne nous laisse pas tomber.

Bonne nuit les amis

Tandis qu'Alric achevait les surpiqûres du gilet qu'il confectionnait, Calypso vint faire une "tournée d'inspection", ses deux enfants sur ses talons. Alric s'avisât soudain que les deux fils de Calypso qui étaient restés chez eux n'avaient toujours pas de noms...
Il s'accroupit face à Calypso et la regarda dans les yeux, tenant doucement la tête du félin entre ses mains.

Dis-moi, ma grande ? Que penses-tu de Castor et Pollux ?

Calypso inclina légèrement la tête sur le côté, autant que le lui en laissait loisir la main droite d'Alric... Puis, elle ferma les yeux... Elle semblait d'accord.
Alric se releva et toisa les deux chats nouvellement nommés. Ils étaient presque semblables. Un détail seul permettait de distinguer l'un de l'autre. Alric décida donc que celui dont la patte avant gauche portait une "chaussette" blanche s'appellerait Castor. Pollux serait son frère.

Une fois qu'il eut annoncé aux principaux intéressés leurs nouvelles identités, il terminât son ouvrage et quitta l'atelier pour en aller aviser Lison.

Parée de ses plus beaux vêtements, ajustant comme elle le put la belle épée que sa bienfaitrice lui avait donné dans la matinée, Jaid savait déjà qu'elle allait passer pour une idiote en frappant ici.
Mais tant pis, elle devait accomplir son travail jusqu'au bout.

Enfin tout de même, aller frapper à la porte du Seigneur Alric83, lieutenant du guêt qui n'était autre que l'époux de la Comtesse Lisonlune de Penthevière, ex Maire d'Amiens, et déranger le couple pour une histoire de recensement alors qu'elle savait très bien que tous les deux habitaient ici, c'était tout de même un peu fort.
Mais elle n'y pouvait rien, Alric83 était le premier sur l'annuaire.

Avalant toute la salive qu'elle put trouver en ce moment critique précèdant une rencontre à l'issue incertaine, Jaid frappa à la porte en répétant déjà son discours....

TOC TOC TOC

*Lison qui avait bosser toute la journée pour le nouveau mandat, avait prepare un peu l'enterrement de son ami, entendit frapper a la porte, elle alla ouvrir.*

Bonjour Jaidelachance entre donc.
Comment vas tu?

Je vais bien Lison, j'espère que toi aussi ?

Lisonlune l'invita à entrer, Jaid se mit à rougir en pénétrant dans la magnifique demeure. Elle tenait à la main le gros registre que représentait l'annuaire du Village et, un peu gauche, laissa s'envoler quelques paperasses qui en débordaient. Elle les ramassa maladroitement, n'étant pas encore habituée au port de l'épée, elle s'enfonçait un peu le fourreau dans le ventre. Lison la regadait patiemment avec un sourire amusé.

Alors euhm voilà. J'aimerais améliorer notre annuaire et le rendre plus performant, aussi je fais un grand recensement à travers le village. J'aimerais aussi ajouter pour les personnes concernées les titres de Noblesse et signifier les unions. Et aussi les métiers, enfin sauf pour les nobles cela va de soi...

Elle consulta l'annuaire en fronçant le nez.

Je vois que tu es mariée à Alric83 de Boves, souhaitez-vous être déclarés dans le registre ? Ensemble ? En tant que Nobles ?

Elle se mit à rougir plus encore : Elle savait que Lison était débordée par ses multiples fonctions et que ce genre de détail n'avait certainement pas grand intérêt pour elle.

C'est juste euh... pour l'annuaire... ajouta-t-elle d'une voix qui s'éteignait.

N'ayant point trouver Lison à sa demeure, Minetti fila Rue Motte, après avoir demandé le chemin à un pécore qui soit disant l'apercevait de temps en temps par de la cette rue.

Il remonta la rue et fixa la maison au volet bleu. "le port d'attache d'Alric et Lisonlune"...Ca doit être ici!

IL toqua d'un geste énergique à la porte et attendit qu'on lui ouvre...

*Lison entendit frapper a sa porte, elle alla vite voir*

Oh bonjour Minetti, sa fait longtemps, entre donc.

LIson Bonjour...Ecoute Lison, je sui désolé de te déranger mais Hylia est sur le point d'accoucher et le médecin que j'ai fait venir d'Arras se débrouille comme un manche...J'ai ouïe dire que tu étais doué pour la médecine. Pourrais tu aider ma douce...Cela fait une semaine qu'elle a perdu les eaux et on dirait que ca veut pas sortir! POurrais tu m'aider???

Jaid écouta Minetti parler avec effroi et se tourna vers Lison.

Vas-y immédiatement Lison, mes paperasses d'annuaire peuvent attendre. Je te recontacterai ou toi, quand tu auras le temps, recontacte-moi.

Puis, s'adressant à Minetti.

Heureuse de te voir ici Minet. Je vous laisse et je prierai Aristote afin que tout se passe bien pour ta douce.

Sur ces mots elle fit le salut Militaire à l'ancien Soldat et prit congé.

Que Dieu t'entende Jaid. Je te remercie de prendre congé. Il faut filer Lison a présent, si tu n'y vois pas d'inconvéniants je n'aime pas savoir Hylia seule. Ce médecin semble s'y prendre comme un manche...

Minetti ouvrit le chemin...

*Lison entend Minetti, elle ne pouvait faire attendre Hilya*

Allons y oui Athors reste aupres de Lilly, courrons vite

Alric acheva rapidement sa tâche et prit Guliver dans ses bras. Lison allait rentrer tard ce soir.
Il s'assit, et tenant Guliver sur ses genoux, commença à le chatouiller. Il éclatait de rire... et Alric de suivre en l'entendant.

Au bout d'un moment, toutefois, il commença à se frotter les yeux. Alric l'embrassa.

Je crois qu'il est temps d'aller au lit...

Il se leva, Guliver dans ses bras, et monta le coucher. Il n'était pas si tôt dans son berceau qu'il dormait déjà. Alric restât quelques instants à le regarder dormir puis gagna le lit conjugal, où il attendrait Lison.
Il sourit à cette perspective.

*Lison apres avoir travailler encore tres tard, se depecha de rentrer alric devait surement, dormir et Guliver aussi. Elle entra doucement, alla voir si tout allait bien pour Guliver, le petit était la dormait paisiblement. Lison l'embrassa le recouvre et fila rejoindre son époux. Alric dormait, lison l'admirait, il était si beau, un homme merveilleux. Elle s'approcha de lui doucement, pour le rejoindre dans ses reves. Alric qui veillait a tout, s'était reveillé.*

Désolé mon amour de t'avoir reveillé.

*Alric sourit, il embrassa tendrement Lison et la serra contre son coeur. Lison embrassa tendrement Alric*

Je t'aime mon amour

*Lison regarda un moment alric, s'endormir. Guliver lui ressemblait tellement. Lison se blotti dans les bras d'alric, lui tenant les mains bien serré contre son coeur*

*Lison avait déposé Guliver chez Lokos, elle lui avait pas trop laissé le choix.
Lison prépara un bon repas, pour alric, quand il rentrera, il aura juste a s'assoir.*

*Lison deposa une carte pour Alric*

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*Le repas chauffait doucement, Lison alla se changer*

Quand Alric rentrât, la première chose qu'il vit - ou plutôt, ne vit pas - fut le berceau de Guliver, absent de sa place habituelle. Lison devait l'avoir déplacé à l'étage, car il entendait des bruits légers.
Une douce odeur de cuisine baignait tout le logis. Il sourit : Lison avait encore mis à l'œuvre ses talents de cuisinière. Ils étaient d'être les seuls, mais n'étaient pas les moindres.

Alric se dit qu'il ne saurait jamais rendre assez grâce au Ciel d'avoir conduit ses pas jusqu'à Amiens et de lui avoir fait croiser la route de Lison.

Je t'aime ma Lison. , murmura-t'il.

*Lison avait entendu du bruit, elle se precipita pour descendre pour rejoindre alric*

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Alric faillit tomber à la renverse en voyant arriver sa Lison. Elle portait une toilette splendide, merveilleux écrin pour sa beauté.
Il tendit le bras et, tendrement, lui prit la main. Doucement, il s'approchât et l'embrassa.

Tu es splendide, mon amour.

Sans lâcher sa main, de peur que son ange ne s'envole, il recula un peu et considéra de nouveau la robe qui ceignait son épouse, et la femme admirable et adorable qui la portait. Belle, tel était le seul mot qui lui venait à l'esprit ; sans doute était-ce terme fort éloigné de la réalité pour le commun des mortels, mais il savait, lui, tout ce qu'il pouvait représenter en son cœur.

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