Le port d'attache de Lison et Alric

Oui mon amour j'ai prepare un petit repas pour feter ma victoire avec toi et nos amis mais ils sont peut etre occupé^^

Pour Cdingue elle va etre ravie mon amour

*Embrasse Alric*

Alric pensa à Cdingue, qui devait se sentir bien seule, et devait attendre désespérement d'accueillir la petite boule de poils qui partagerait sa vie.
Mais, devant la table, son estomac lui rappela que lui aussi se sentait bien vide.

Nous devrions passer à table, ma Lison, peut-être cela les fera-t'il venir...

Il servit deux verres de vin, en tendit un à Lison et, levant l'autre au bout de son bras :

A ta victoire, mon amour !!!

Oui passons a table mon amour j'ai faim et j'ai pas arrete

*Prit le verre d'Alric et le leva*

Merci santé mon amour a nous et à la pile de dossiers qui nous attends^^

Alric sourit en pensant à des masses de parchemin, bien roulés, qui n'attendaient plus qu'à être lus, traités, classés...
Il se fit pensif.

Nous ne serons pas trop de tout un conseil pour en venir à bout ma Lison. Qui plus est en cette période troublée.

Il se pencha par dessus la table pour embrasser Lison.

Je t'aime ma Lison.

Je t'aime aussi Alric

Bizarre ils doivent feter ma victoire sans moi^^
Ils viendront demain ou dans la nuit ya de quoi manger ^^

*Embrasse Alric*

Nous allons être obligé de dormir sous la table, pour être présents quand ils vont arriver.

Alric regarda le sol. De pierre, parfois fort peu lisses, il semblait fort peu propice à un sommeil réparateur.

Je crains quand même que cela ne manque de confort.

Oh oui mon amour , je prefere dormir dans notre couche^^

D'ailleur j'ai eu une dure journee mon amour et si nous allions nous coucher

Comme s'il n'avait attendu que ces mots, Alric se leva et tendit sa main à Lison. Dans la sienne, celle de Lison était douce comme soie, et légère comme oisillon au nid.
Alric plongea son regard dans celui de Lison. Il lisait dans ses yeux la promesse d'un grand bonheur.

Oui mon amour. Allons nous coucher...

Tiberre envoya un pigeon...

Citation :: Chère Lison et cher Alric,

je souhaitais dire par celle-ci d'abord, toutes mes félicitations a Lison. Je sais que tu fera du bon travail, merci de t'investir pour Amiens, elle a besoin de gens comme toi, et a mon gout, cela devrais etre toi la miss Amiens, mais chut^^...

Ensuite, pour vous deux, je vous souhaite le plus grand des bonheurs, je suis si heureux de vous voir enfin réuni^^ et oui, cela fait un moment que je vous guète, dure de ne pas surveillé deux personne chère a ses yeux, surtout lorsqu'elles se rapprochent^^. Faites respirer la joie aux autres, montrez l'exemple, car vous etes magnifique tout les deux.

J'aimerai tant etre avec vous en taverne, avec ma Zaza, autour d'une bonne chopine, ou de plusieur^^...que la boulasse nous fasse rire jusqu'au bout de la nuit. Vous me manquez tous.

Bon, j'arrète de vous embétez, je vous fais de gros bisoux, je vous souhaite d'etre les plus heureux sur terre, et surtout de vous voir très bientôt...je viendrais avec Zaza, vu que Lison ne peut pas quitter Amiens^^...

Amicalement, Tiberre

*Lison prit la mian d'Alric*

Je t'aime

*Alric s'allongea et Lison l'embrasse et reste dans ses bras*

Je suis bien avec toi mon amour

*Embrasse Alric veut que se moment soit long car les jours a venir vont etre remplie de travail*

Je te promet mon amour de quitter mon bureau pas tard le soir afin qu'on continu nos petits moment de repas et d'intimite

Pendant que Lison s'était préparé pour se coucher, Alric avait recueilli le message apporté par le pigeon de Tiberre.

Tiberre te félicite de ton élection, mon amour, et nous envoie tous ses voeux de bonheur. Zaza et lui comptent venir nous voir, dès que ce sera possible.

Il embrassa sa Lison.

Je t'aime ma Lison.

C'est gentil il faudra leur ecrire

*Lison commence a s'endormir dans les bras d'Alric*

Je t'aime aussi mon amour bonne nuit

Hermès, pigeon émerite, arriva une fois de plus sur le rebord de la fenêtre de chez Alric et Lison.
Toujours aussi poli, il frappa quelques coups aux carreaux.
Soudain un mouvement suivit d'un bruissement d'ailes attira son attention...

A la patte d'Hermès, sur un parchemin décrépi, un expèditeur inconnu a écrit:: Bonsoir mes Amis.

Je suis en ce moment même à Péronne où après les affrontements d'hier j'ai essuyé quelques déboires...
Rien de très grave, moi qui rêvais d'avoir ma vie écrite sur la peau suis simplement servie
D'ailleurs, veuiller excuser ma callygraphie qui laisse à désirer, peu habituée que je suis à écrire de la main gauche.
Je reste immobilisée sur Péronne le temps de reprendre des forces, mais je continuerai à vous faire parvenir des nouvelles, un bras valide, c'est pas rien ^^

J'espère que tout va bien à Amiens et que le cas contraire, vous n'hèsiterez pas à me le dire.
En tout cas merci pour Màno, j'espère qu'il n'y a pas de soucis.

Je vous embrasse fort tout les deux.
Julatine

...Une pigeonne, une belle pigeonne tournait autour d'Hermès, mais lui tout à son devoir lui roucoula de se rapprocher, qu'il n'ai pas à quitter l'appui de la fenêtre... (fainéant )

Alric était absorbé par sa tâche. Il terminait de façonner les miches de pain composant sa fournée quand il entendit, derrière lui, Màno s'agiter et aboyer. Il se retourna vers le chien :

Qu'y-a-t'il, Màno ?

Le grand chien avait les yeux fixés sur la fenêtre. Au pied du mur, Calypso était prête à sauter.
Alric s'approcha de la vitre.

Malgré la nuit, il vit aussitôt ce qui agitait les animaux, et éclata de rire.
Sur le rebord de la fenêtre, le valeureux Hermès et une pigeonne inconnue faisaient connaissance...

Il ouvrit la fenêtre et recueilli le jeune couple, qu'il installa sur le perchoir.
Hermès, sans un regard, se laissa délester de son fardeau et s'assit pour en lire le contenu.
Sa lecture terminée, il frappa un grand coup sur la table, faisant choir la chopine - heureusement vide - qui s'y trouvait.

Je lui avais demandé d'être prudente !!!

Il se tourna vers Màno.

Ta maîtresse a été blessée, mon pauvre vieux. Mais elle est heureusement en vie.

Le fournil ressemblait de plus en plus à une ménagerie...

Hermès et sa compagne roucoulaient de concert, l'un contre l'autre, sur le perchoir. Seul un spécialiste aurait pu déchiffrer ce qu'il se disait, mais leur seule intonation suffisait à comprendre que c'était là mots tendres.
Un peu plus loin, tels père et mère, Calypso et Màno surveillaient les jeux des chatons. Et les petits, sans se soucier le moins du monde de ce qui se passait autour d'eux, rivalisaient de cabrioles, roulaient, sautaient...

Alric regardait ce petit monde en souriant. Il lui faisait presque oublier que cela faisait plusieurs jours que Lison n'avait plus dormi dans ses bras. Elle était tant absorbé par ses fonctions qu'elle s'écroulait de fatigue sur son bureau, chaque nuit.

Sur la table, la lettre destinée à Julatine était prête, mais Alric hésitait encore à déranger si joli couple ailé :

Citation :: Ma chère Julatine,

Commençons par les bonnes choses, si tu le veux bien : Màno va bien, et s'entend à merveille avec Calypso et ses petits. Les regarder est un spectacle tout à fait charmant.

Pour le reste, c'est moins réjouissant : Lison est très absorbée par son travail et n'a pas dormi à la maison depuis plusieurs jours, et tu m'apprends par là-dessus que tu es blessée.

Je t'avais demandé, ou plutôt ordonné, faisant jouer mon droit d'aînesse, d'être prudente, et je constate que tu n'as pas suivi mes instructions.
Aussi, j'aimerais que ton exercice d'écriture s'arrête au premier chapitre.
Je souhaite que cette guerre se termine avant que tu ne puisses commettre d'autre imprudence.

Reviens nous entière.
Nous t'embrassons très fort.
Lison, Alric

P.S : Hermès ne reviendra sans doute pas seul...

Alric accrocha la lettre à Hermès, en s'excusant :

Excuse-moi de te déranger dans un aussi bon moment, camarade. Mais le devoir avant tout. Ne t'inquiète pas, tu ne pars pas seul.

Alric ouvrit la fenêtre et, un oiseau dans chaque main, les envoya vers le ciel.
Dans la faible clarté de la lune, il put voir les deux pigeons suivre le même cap.

Bon voyage ! leur lanca-t'il en refermant l'huis.

*Lison n'etait pas rentre depuis plusieurs jours chez elle, pauvre Alric il devait etre triste. Alric etait deja couche apres sa dur journee; Lison monta le rejoindre. Elle l'embrassa se mit dans ses bras*

Je t'aime Alric

Alric s'attaquait à sa première réalisation.

La veille, les travaux dans la maison avaient un peu bousculé Calypso, Màno, et les chatons, qui ne comprenaient pas ce qui pouvait bien se passer.
Le four était tombé, laissant place à une longue table.
Finis, les sacs de farine et les bûches.

Les chatons avaient immédiatement trouvé d'autres jeux.
Quoi de plus amusant qu'une bobine de fil qui roule sur le sol, que l'on peut pousser, lancer ?

*Lison avait eu tellement de travail ses derniers temps, qu'elle avait passé peu de temps chez elle. De plus Cdingue n'avait toujours pas recupere son petit chaton qui commençait a grandir. Il serait temps maintenant qu'elle le prenne sa lui ferait grand bien*

Alors calypso tes bebes grandissent

*Lison les caresse*

*Alric était surement deja son atelier ou occuper au guet*

Bon va falloir que j'aille voir Cdingue pour lui dire de venir voir son petit chaton puis apres je retourne au travil.

*Lison part en direction de Cdingue*

Hermès arriva accompagnée de sa compagne, Sans-Nom pour l'instant.
Il avait accroché à la patte le maintenant habituel petit parchemin.

Comme toujours en pigeon civilisé, il frappa au carreau et attendit qu'on vienne le délivrer de ses obligations.
Sans-Nom quant à elle avait efficacement rendu le vol plus agréable et frottait sa tête amoureusement contre celle d'Hermès.

Sur le parchemin maltraité, la même mauvaise calligraphie a écrit:: Mes chers amis,

Je voulais juste vous faire parvenir quelques nouvelles depuis ma dernière missive qui date un peu...

Je suis malheureusement immobilisée sur Péronne, je récupère vite mais pas assez à mon goût,
et il serait pour l'instant suicidaire de faire le chemin, même relativement court, qui relie Amiens et Péronne.
D'ici à ce que je rentre à Amiens, j'ai bien peur que les Péronnais ne me supportent plus.

Je suis désolée que la présence de Màno vous soit ainsi imposée, pour tout les repas que mon ogre de chien doit ingurgiter,
je suis bonne pour être bouchère encore un temps, ne serait-ce que pour vous rendre la pareille...

J'espère qu'Amiens se porte toujours bien et que Lison ne rencontre pas de soucis.
Je sais que cela va paraître dérisoire, mais si notre chère Bourgmestre à besoin du moindre soutient, je suis "là".
Par exemple, je suis idéalement placée pour resserrer les liens Amiénois-Péronnais...

Vous me manquez tous beaucoup et il ne se passe pas un jour sans que je pense à vous et à tout Amiens.
Je vous embrasse fort tous les deux (tout Amiens risque de faire un peu beaucoup...)

Votre éclopée de Julatine

Hermès et sa compagne avaient passé la journée à roucouler. Calypso et Màno avaient surveillé les jeux des chatons.

Alric finissait d'écrire la réponse à Julatine :

Citation :: Notre petite Julatine,

Ne t'inquiète pas de la présence de Màno. Cela nous fait plaisir de l'avoir parmi nous plutôt que de le savoir seul chez toi. Et ne t'inquiète pas non plus de ce qu'il peut manger.

Nous souhaitons que tu te rétablisses le plus vite possible et que tu nous reviennes de même.
Prends bien soin de toi. Nous t'embrassons très fort,
Lison et Alric

Il roula soigneusement le petit parchemin et l'attacha à la patte d'Hermès. La fenêtre ouverte, un oiseau dans chaque main, il les lança vers le ciel. Il vit leurs silhouettes se détacher sur la lune et prendre la direction de Péronne.

Le pas rapide, Alric revenait de l'Ecu, en compagnie de Cdingue. Elle venait prendre son chaton.
Lison était resté à la taverne. Et Alric ne voulait pas la laisser seule trop longtemps.

Il ouvrit la porte et s'effaça pour laisser passer Cdingue.

Je t'en prie.

Cdingue accompagna Alric chez lui afin de récupérer ce chaton qu'elle attendait depuis fort longtemps. Alric la fit entrer....

Merci Alric et désolée de ne pas être venue le chercher plus vite, quelques imprévus.....

Alors où est -il ce petit Voyou ?

Cdingue finissait à peine sa phrase qu'un chaton vint à sa rencontre en miaulant.

Cdingue le reconnut de suite et le prit dans ses bras, que de ronrons lui offrait cette petite bête.

Cdingue se pencha vers Calypso et la caressa.

Alric, je pense que nous pouvons retourner à la taverne et merci beaucoup de me faire ce cadeau

Alric caressa la tête du chaton, qui se lovait déjà contre Cdingue. Il caressa ensuite la tête de Calypso, qui semblait bien triste, tout d'un coup.
Il s'accroupit à côté d'elle.

Ne t'inquiètes pas Calypso. Cdingue est notre amie, et il sera très heureux avec elle.

Il lut dans ses yeux qu'elle avait compris, et qu'elle était rassuré. Elle regarda son petit, plantat son regard dans les yeux de Cdingue.
Les yeux d'or du félin semblaient dire :

Je te confie la chair de ma chair. Je te fais confiance.

Elle eut un dernier miaulement, bien faible, comme un au-revoir, et retourna dans le fournil, rejoindre ses deux autres petits et Màno.

Bon. Rejoignons Lison.

Ils sortirent et Alric referma la porte.

Comme depuis tant de jours qu'il n'osait plus les compter, Alric s'était réveillé sans Lison à ses côtés. Elle travaillait beaucoup, énormément même, et elle avait encore dû dormir sur son bureau.
Alric comprenait bien la situation, et n'en voulait aucunement à Lison. Il espérait juste qu'elle ne se mine pas la santé.

Il se leva, nourrit la "ménagerie", et prépara un petit panier.

Alric revenait le coeur léger de l'Ecu. Son coeur était prêt à exploser tant il était heureux.
La tête dans les nuages, il rentrat dans la maison, nourrit distraitement les chatons, Calypso et Màno.

Toutefois, Calypso ne mangeait pas.
Alric la prit dans ses bras et la regarda droit dans les yeux :

Je suis heureux, Calypso, et je ne veux pas que tu sois triste. Je suis certain que tout va bien pour ton petit, et qu'il fait le bonheur de mon amie Cdingue. C'est grâce à toi, tu sais...

Il déposa un baiser sur le nez du félin. Il la sentit rassurée.
Quand il la déposa à terre, elle se précipita sans hésitation sur son repas.

Sitôt leurs repas terminé, Alric débarassa et monta se coucher.

Bonne nuit mes petits.