Le port d'attache de Lison et Alric

Merci Lison, on fera attention promis.

Nous sommes armés jusqu'aux dents^^

Allez cette fois petit tour en taverne.

Bonne nuit Alric, à demain pour le départ.

Cdingue partit avec Lison à la franche voir Hedge

flower

*Lison fit une bise a Alric et parti avec Cdingue à la taverne*

Alllons y mon amie

Alric s'était reposé toute la journée, étendu sur son lit. Il imitait Calypso...

Lison était partie pour Bertincourt annoncer l'enterrement de Duffal. Et bon nombre d'amiénois avaient ou allaient prendre la route en direction de Cambrai pour assister au mariage de Bilbo.

Bilbo... citoyenne d'honneur et, à jamais, ange d'Amiens...

A proximité de la porte, le bagage d'Alric était prêt.

Naru qui avait entendu dire que Alric et Cdingue partait en direction de Cambrai alla voir Alric.
Elle frappa à la porte et Alric lui ouvrir.

Bonsoir mon ami, comment vas tu? prêt à prendre la route? ça va te faire bizarre de quitté Amiens même pour quelque jours. Tu vas enfin goutter à la liberté ^^.
Inhel et moi partons aussi au mariage de Bilbo, nous avons qu'a faire la route ensemble? Si cela te dis biensur?

Puis Naru vu les bagages de Alric prêt et ne pu s'empêcher de rire.

Alric fit une moue vexée...

Qu'est-ce qui te fait rire comme cela Naru ?

Naru vu que Alric était un peu vexé qu'elle rit. Alors elle lui fit un gros bisous sur la joie.

Je vois que tu as pas changé ton sac est déjà prêt, remarque le mien a pas été spécialement défait depuis mon arrivé. Et il ne se pas défait non plus ici à Amiens.^^

Pas trop de stresse de partir ?

Alric sourit à Naru. Au fond, il n'était pas vraiment vexé, juste un tout petit peu...

Je me suis habitué à ne plus courir les routes... Tu as raison, cela va me faire bizarre.

Calypso était couchée dans son panier. Elle s'était encore arrondie...

Elle leva la tête quand Alric entra dans le fournil.
Il lui caressa doucement la tête.

Je vais au mariage de Bilbokine, Calypso. Kelly viendra te nourrir. Je reviens dans quelques jours.

Dans les yeux d'or, Alric lut une certaine tristesse, ou peut-être de la peur.

Ne t'inquiètes pas, je serai prudent. Et Lison veille sur moi.

Il tapa la garde de son épée du plat de la main.

Repose-toi bien surtout...

Rassurée, Calypso reposa sa tête dans le panier et ferma les yeux.

Alric sortit de la pièce, épaula son bagage, sortit de se maison et verrouilla la porte.

Le jour n'était pas encore levé sur Amiens. Alric revenait du mariage de Bilbo et Fidos. La cérémonie était très belle et les mariés également. De plus, tout s'était bien passé sur la route.

Il avait quand même hâte de pouvoir se reposer un peu.

Alric entra donc chez lui, posa son bagage et fit une visite à Calypso.
Elle dormait dans son panier dans le fournil, aussi referma-t'il la porte doucement pour ne pas la réveiller.

Après une heure de repos, Alric redescendit dans son fournil. Calypso était réveillée et le regarda ; elle semblait sourire.

Bonjour Calypso.

Il lui caressa la tête pendant un long moment. Elle s'était encore arrondie un peu plus pendant son absence. Le doute n'était désormais plus permis sur les événements futurs.

J'espère que tu as été gentille avec Kelly et que vous vous êtes bien entendues toutes les deux ?

Comme à chaque fois qu'il lui parlait, Alric avait l'impression étrange que Calypso comprenait parfaitement chaque mot, et lui répondait d'un regard. En cet instant, ses yeux semblaient dire :

Evidemment, voyons...

Arrivée tôt ce matin à Azincourt, Cdingue se posa dans une taverne et rédigea une missive à son ami Alric.

Citation :: Coucou Alric,

J' espère que tu es bien rentré de Cambrai et que tu n'as pas fais de mauvaises rencontres.
On a vraiment passés une bonne journée au mariage de Bilbo et j'ai eu du mal de repartir le lendemain.
Je viens d'arriver à Azincourt et continue mon voyage dès ce soir.
Je ne sais pas si Lison est rentrée de Bert mais si tu la croises, fais lui une grosse bise de ma part.
Ne réponds pas à ma missive, je n'ai pas d'adresse où recevoir une réponse, contente toi de faire rentrer le pigeon chez son proprio^^

A bientôt

Ton amie Cdingue

Cdingue empreinta un pigeon au tavernier et lui murmura l'adresse d'Alric

Fort heureusement, Calypso n'était pas en état de se lancer à la poursuite du volatile voyageur. Alric prit donc connaissance du message de Cdingue et renvoya le pigeon.

Merci camarade, et bon vol ! lui lanca-t'il tandis qu'il s'envolait.

Alric revenait de la cérémonie d'inhumation de Duffal.
Zaza avait dit de très belles paroles, et Lison avait été, pour tous, une leçon de courage.
C'était maintenant qu'elle allait avoir le plus besoin de tous ses amis.

Alric estimait qu'il n'était pas raisonnable qu'elle dorme seule chez elle cette nuit, aussi lui avait-il proposé de dormir chez lui.

Alric était accroupi à côté du panier de Calypso. La pauvre bête n'en bougeait quasiment plus, tellement elle s'était arrondie. Son regard était étrange. Elle semblait implorer d'Alric une aide ou un soulagement qu'il était bien incapable, malgré toute sa bonne volonté, de lui offrir.

Doucement, il caressa la tête de Calypso.

Tu as raison. Je vais dormir ici, près de toi...

En quelques bonds, il fut à l'étage, et en redescendit aussi vite avec son matelas, qu'il installât à côté du panier de Calypso.
Dans ses yeux, il crut lire du remerciement.

Je suis là Calypso, je reste à côté de toi. Dors tranquille.

Rassurée, Calypso reposa sa tête sur le coussin et ferma les yeux.
Alric s'allongea sur son matelas et attendit le sommeil en l'écoutant respirer.

Inhel arriva devant chez alric.

Elle avanca vers la porte et y deposa sa missive.

Citation :: Mon cher commandant,

Eh oui je quitte le navire et cela pendant un tres long moment.

J'espere que tu ne m'en veux pas, mais je me devais de quitter amiens qui ne m'apporte plus ce que j'attends.

Je te promets de te donner assez regulierement de mes nouvelles et des que j'au decouvert mon ile je te ferait par de mon adresse.

Je suis tres contente d'avoir pu passer de tres bon moment en ta compagni, et tu restera mon commandant préféré.

A tres bientot par missive.

PS: je quitte amiens demain soir.

Enorme bisous de ton matelot.

Inhel

En rentrant chez lui, Alric avait trouvé le mot d'Inhel. Il avait alors décidé de voir si, par hasard, elle n'était pas dans l'une ou l'autre des tavernes.
Il revenait maintenant de chez Can, où il avait pu trinquer une dernière fois avec son matelot avant qu'elle ne quitte Amiens.

Au fournil, Calypso dormait, dans son panier. Alric s'allongeat à côté, sur son matelas.

Cdingue après être sortie de chez elle cachée sous la longue cape à capuche se faufila dans les rues jusqu'à la maison d'Alric.

Elle frappa à la porte et attendit qu'Alric lui ouvre. Ce dernier ne se fit pas attendre.

Bonjour Alric, comment vas-tu ? Je n'ai pas pu encore passer depuis mon retour.

Alric fit entrer Cdingue.

J'espère que tu as une bonne nouvelle à m'annoncer !

Elle n'avait pas sitôt prononcé ses mots que Cdingue aperçut Calypso couhée dans son panier.

Dis moi Alric, Calypso a bien grossie depuis mon départ, est-ce que mon voeu serait exaucé ? Pour quand cette naissance à ton avis ?
Tu ne peux pas savoir à quel point je suis pressée d'avoir un petit compagnon, ma maison est si vide.....

Alric fût réveillé par un long miaulement. En un instant, il fut sur pied ; dans la pénombre, il chercha une chandelle qu'il alluma sur les quelques braises encore rougeoyantes du feu.
Dans son panier, Calypso était très agitée. Elle adressait à Alric un regard plein de douleur et d'espoir.

Il s'approcha d'elle et lui caressa la tête.

Je suis là, je reste là, ne t'inquiètes pas.

Le grand moment devait être imminent...

Un premier petit fit bientôt son apparition. Calypso déchira la poche et commença à lécher la petite bête ; celui-ci inspira pour la première fois et, rassurée, elle dévora le placenta et coupa le cordon. Tout de suite, il chercha à têter et sa mère le dirigea en ce sens.

Avant que le soleil ne se soit levé, deux autres petits museaux avaient fait leur apparition. Tous trois ressemblaient à leur mère...

Félicitations, Calypso...

Dans ses yeux, Alric, lut du soulagement, mais aussi de la reconnaissance.

Je n'ai rien fait de spécial, tu sais... Ils sont superbes, tes petits.

*Lison s'était enfermé, depuis toutes les histoires qui s'étaient passé, puis Alric et Calypso manquaient à Lison. Puis Calypso avait peut etre encore un gros ventre.*

*Lison entra chez Alric puis d'une petite voix*

Alric, coucou tu es la?

Alric n'avait pas quitté son fournil depuis la veille.
Il ne se lassait pas de regarder Calypso et ses petits. D'instinct, elle savait les gestes d'une mère...

Il entendit la petite voix de Lison, de l'autre côté du mur.

Viens Lison ! Je suis dans mon fournil !

*Lison entendit la voix d'Alric*

Bonsoir mon ami, je te derange pas j'espere?

*Lison regarda Calypso et vit des bebes*

Oh qu'ils sont beaux, ils sont né quand?

*Lison s'approcha et caressa Calypso*

Ben moi qui croyait que Cirleh t'avait trop nourrit^^

Ils sont nés hier matin, Lison. Moi aussi je les trouve superbes. Tout le portrait de leur mère quand elle est arrivée ici...

Alric se dit qu'il exagérait un peu. Calypso était tout de même un peu plus agée quand elle avait débarqué sur le pas de sa porte.

Oh oui ils sont super beaux, Cdingue va être contente.

Et moi qui ne t'ai rien emmené ma Calypso.

Ils sont vraiment tres beaux tes petits bébés.

*Lison les regarda émerveille*

Tu es pas trop fatigué Alric, tu as du veillé toute la nuit?
Tout s'est bien passé?

Je suis un peu fatigué, c'est vrai... Mais tout s'est bien passé.

Mais assieds-toi Lison, ne reste pas debout...

Alric rapprocha un fauteuil à l'intention de Lison. Calypso les regardait tous les deux. Dans ses yeux, Alric lut de la fierté ; ils semblaient dire :

Ils sont beaux, mes petits.

Alric lui répondit par un sourire, qui voulait dire Bien entendu.

Alric, va donc te reposer, ce soir je vais veiller sur Calypso et ses bébés.

*Lison s'installa sur le fauteuil*

*elle les admira*

Ma calypso tu es devenu une maman, on t'aidera à t'occuper de tes petits.