Le port d'attache de Lison et Alric

Le temps de me préparer et j'arrive, ma Lison.

Alric s'empressa de faire un brin de toilette et de s'habiller.
En bas, il vérifia que Calypso ne manquait de rien.

En passant, il vola un baiser à sa tendre Lison.

Je suis prêt !

Allons y alors car mes amis vont pas tarder

Alric emboîta le pas de Lison, direction la cathédrale d'Amiens.

Avant que Lison ne reparte avec le cortège de la Sainte Boulasse, ils avaient décidé de passer un petit moment ensemble.
Arrivés devant la porte, Alric l'ouvrit et s'effaça pour laisser Lison entrer la première.

Après toi, ma Lison.

Merci Alric tant de galenterie Embarassed

*lui fit un bisou sur la joue et entra*

Alric suivit Lison et referma la porte. Il s'assura d'un regard que Calypso et ses petits se portaient bien ; ceux-ci étaient en plein repas et Calypso n'accorda qu'un bref regards aux deux arrivants.

Alric posa ses mains sur les hanches de Lison et l'embrassa.

*Lison embrassa Alric aussi *

Tu sais tu vas me manquer Alric je serais bien rester avec toi.
Mais je me suis engagé dans ce cortege

Je t'écrirais promis et toi?

Alric sourit.

Je ne t'en veux pas Lison. Tu t'es engagée, et il faut toujours respecter ses engagements. C'est tout à ton honneur.

D'autre part, j'ai déjà réservé des départs de coursiers pour pouvoir t'écrire dans toutes les villes que vous allez traverser.

Il lui vola un autre baiser.

Merci Alric c'est gentil de ta part

Dis moi pourras tu aller voir chez moi dans la semaine et dire à Cirleh qu'il peut retourner au manoir des Penthièvre il doit s'ennuyer le pauvre.

*Embrasse Alric*

Et fermer ma maison et prendre les clés j'irais faire un tour à mon retour.

Bien sûr ma Lison, pas de soucis. Je passerai le message à Cirleh. Et je garderai les clés de ta maison.

Alric caressa la joue si douce de Lison.

*Lison regarda Alric dans les yeux pour garder l'image dans sa tête pour les jours ou elle va être absente*

*Lison lui sourit *

Merci

A l'identique de Lison, Alric emplissait son regard et son esprit de son visage, de ses yeux, de son sourire si doux. Elle allait lui manquer, c'était certain. Mais le devoir devait passer avant tout.

Il rapprocha son visage du sien. Et, doucement, en un souffle :

Je t'aime, Lison.

*Lison entendit le je t'aime d'Alric *

Je t'aime aussi Alric

Tu vas me manquer

Profitons de la soiree allons nous assoir pres du feu

Alric prit quelques bûches et les déposa dans le foyer. Ainsi, le feu reprendrait de la vigueur. Il étendit sur le sol une épaisse couverture et aidat Lison à s'asseoir.

Il prit place à ses côtés, face aux flammes, et entoura ses épaules de son bras.

Tu as raison. Profitons de ces quelques instants...

Oui Alric profitons un peu mais je reste pas longtemps il commence à se faire tard et on va m'attendre pour le départ.

*Lison embrassa Alric profita un peu de la chaleur. Puis elle le chatouilla pour garder le rire d'Alric en tete et cette joie qui c'était passé*

Je t'ai eu

*Lison embrasse Alric*

Je vais y aller Alric il se fait tard désole

Alric riait toujours quand il se releva et aida Lison à faire de même.

Tu as raison. Ne sois pas en retard. Tu as une longue route à faire.

Il raccompagna Lison jusqu'au bout de l'allée. Qu'il était difficile de se quitter ainsi. Il ne savait que dire, et trouverait sûrement les mots justes tout à l'heure, quand elle serait partie...
Il posa ses mains sur ses joues, plongea ses yeux dans son regard.

Pour la route...

Il l'embrassa longuement.

Alric resta dans la nuit à la regarder remonter la rue. Il ne tourna les talons que quand il ne put plus distinguer sa silhouette dans l'obscurité.

Elle lui manquait déjà.

Oui une longue route Alric

*Lison embrassa Alric longuement avant de partir *

Tu va me manquer à bientot Alric

*Lison s'en alla mais n'avait pas su quoi dire Alric de plus, elle penserait à lui tous les jours et elle avait hate d'être de retour à Amiens*

Citation :: Coucou vous deux,

juste pour vous dire aurevoir. A très bientot, je vous souhaite d'etre heureux, et d'ailleur je vous félicite, vous aller aiguaier Amiens^^.

Gros bisoux, et garder un oeil sur nos Amiénois, que feraient-ils sans notre tribun et notre maitre pain^^

Bye

Tiberre

*Un pigeon arriva de Bertincourt, avec un parchemin à sa patte*

Le port d'attache de Lison et Alric - Page 22 Pigeon

Alric décrocha le parchemin de la patte du pigeon, le déroula, le lut et le serra sur son coeur... Il caressa la tête du pigeon, qui se mit à roucouler.

Merci camarade.

Alric déposa l'oiseau sur un perchoir. Il déposa quelques graines dans la mangeoire.

Bon appétît.

Alric roula le parchemin et le ceint d'un ruban. Sur le perchoir, il réveilla le messager volant.

Debout mon ami, tu vas bientôt partir.

Délicatement, il accrocha le parchemin à sa patte. Il déposa un baiser sur la tête du pigeon.

Tu le donneras à Lison.

La fenêtre ouverte, Alric tendit son bras vers le ciel et le pigeon partit.

Alric restat quelques instants à le regarder tourner dans le ciel encore sombre, chercher son cap, le vent...
Il essuya sa joue et referma la fenêtre.

En se retournant, il vit Calypso rattrapant in extremis un de ses petits qui commençait à vouloir quitter le panier. Il éclatat de rire.

Vous voudriez déjà partir à l'aventure les enfants ?

Alric lisait et relisait la lettre de Lison. Chaque mot, chaque lettre était un sourire, une caresse. Il souriait ; il se sentait léger comme jamais auparavant.

De tous petits miaulements attirèrent son attention vers le panier de Calypso. Lovée contre le bord du panier, elle regardait ses petits jouer. Ils grimpaient les uns sur les autres à qui mieux mieux, roulant les uns par dessus les autres, atterissant sur le dos, les pattes en l'air.
Ils semblaient prendre un grand plaisir à ce jeu.
Les surveillant, Calypso semblait sourire de les voir si actifs.

Tu as des petits superbes et très drôles, Calypso.

Elle goûta le compliment en fermant les yeux...

*Le pigeon était de retour chez Alric*

Alric regardait jouer les petits de Calypso quand il entendit un bruit à la fenêtre. Le messager, de son bec, frappait à la vitre.
Alric s'empressa de lui ouvrir. L'oiseau commençait à se sentir chez lui, puisqu'il vola directement sur le perchoir et commença à picorer.

Alric détacha de sa patte le parchemin et lut la lettre de Lison. Sa lecture terminée, il déposa un baiser sur le document, espérant que, là-bas, elle le ressente.

Alric écrivait à sa tendre Lison...
Sur son perchoir, le messager poursuivait sa nuit. Il allait avoir besoin de toutes ses forces.
Calypso avait quitté son panier, laissant ses petits dormir. Elle se promenait sur la table, curieuse de l'activité de son camarade.

Comme il terminait, Alric lui caressa la tête.

J'écris à Lison.

Il allait rouler le parchemin lorsque Calypso plongea sa patte dans l'encrier et apposa sa marque.
Alric éclata de rire.

Je suis sûr que cela lui fera très plaisir de voir que tu penses aussi à elle. dit-il en gratifiant le félin d'une nouvelle caresse.

Il roula le parchemin, entoura le rouleau d'un ruban et réveilla le messager.

C'est l'heure du départ, mon ami.

Equipé, le pigeon prit son envol par la fenêtre, au bout du bras d'Alric.

Bon vol mon ami ! Sois prudent !

Je t'aime, Lison.