Le port d'attache de Lison et Alric

*Lison sourit à la replique d'Alric*

C'est toi le seigneur de Boves mon amour.

*Lison regarda Alric qui n'avait l'air de rien comprendre*

Vient t'assoir mon amour je vais t'expliquer

Alric déposa un baiser sur les lèvres de Lison et s'assit à ses côtés...

Je dois bien avouer que je ne comprends rien du tout, mon amour...

Mon amour Lysandre nous a fait accorder un fief celui de Boves donc nous avons un titre, toi tu es le seigneur de Boves et moi la dame de Boves.

Alric regarda la dame de Boves avec un grand sourire...

Lysandre est fort aimable... Mais tu le mérites largement... Souffre toutefois que je continue de t'appeler "mon amour"...

Il l'embrassa.

Mais à quel titre serais-je seigneur d'autre chose que de ton coeur, mon amour ?

tu es le seigneur de mon coeur, cela est le plus important.

Alric ne comprenait plus rien, et surtout pas où voulait en venir Lison.

Je ne te suis plus, mon amour. Où veux-tu en venir ?

Pauvre Alric tu dois bien etre fatigué, je t'aime c'est le plus important.
Sinon tu es seigneur de boves car nous somme mariés lol!

Alric se dit que, ces sentiments qu'ils partaigeaient, étaient effectivement le plus important.

Tu as tout à fait raison, mon amour. Moi aussi, je t'aime ma Lison. Et oui, je suis bien fatigué. Pas toi ?

Il étouffa un baillement.

J'ai encore du travail je dois passer voir le rapports des mines et voir qui va etre choisi comme comte.

Mais si tu es fatigué, va te coucher je te rejoindrais plus tard mon amour.

*Lison embrasse Alric tendrement*

Je crois que je vais aller m'allonger, tu as raison. Ne travaille pas trop tard, quand même, mon amour...

Alric serra la reine de son coeur contre le sien.

Je t'aime ma Lison.

Il l'embrassa tendrement.

A tout à l'heure mon amour. Je t'attendrai là-haut. Ne rentre pas trop tard... Je t'aime ma Lison.

*Lison embrasse Alric et file s'occuper des rapports des mines et des quelques dossiers au conseil comtal*

A plus tard Alric, je t'aime

Alric se réveillait d'une nuit merveilleuse...

La veille, malgré la fatigue, il ne s'était pas endormi avant le retour de Lison. Quand elle était rentrée, épuisée, elle s'était allongée contre lui et avait blotti sa tête dans le creux de son cou. Doucement, il lui avait caressé les cheveux pendant qu'elle sombrait dans le sommeil.
Dans l'obscurité de la chambre, il l'avait écouté respirer. A la faveur d'un faible rayon de lune passant au travers des volets, il avait pu contempler ses traits si fins.

Et il avait fini par la rejoindre au pays des rêves...

Un Aigle survolait la ville d'Amiens, il avait deux parchemins, un accroché à sa patte et l'autre qu'il tenait dans son bec. Une fois arrivée, il lacha le message au dessus de la maison de Lison et d'Alric. Manque de chance, la Missive fut dérivé par une bourrasque et atterit dans un arbre, Alric allait devoir faire un peu d'escalade s'il voulait avoir des nouvelles de sa marraine:p

Citation :: Salut les amoureux
J'espère que vous allez bien et que tout se passe bien à Amiens. Je suis bien arrivée à destination avec ma Cdingue et en plus on a croisé aucun brigand. De toute façon on les leur aurait mis une raclée:p Je reste la-bas quelques jours et je rentre à Amiens enfin je crois:p. Evitez de vous tuer au travail quand même, prenez du temps pour vous deux de temps à temps^^
Bisouillez tout le monde pour moi en taverne, et Alric je te charge de rouler une pelle à Caribou de ma part.
Je dois vous laisser maintenant.
Gros bisous et à bientôt
Lilly

*Lison rentra tot chez elle ce soir, puis un elle regarda le ciel, et vit un parchemin accroche a une branche, mais comment allait elle la recuperer? Lison entra dans la maison et appela Alric*

Alric tu es la?

Ah, le droit artésien !
Alric accueilli la voix de Lison avec soulagement ; elle lui offrait un moyen de s'évader de ses études...

Je suis là mon amour.

coucou mon amour, comment vas tu ?

*embrasse Alric*

L'étude n'étaient pourtant pas une activité fort physique, mais Alric sentait que son front était trempé de sueur.

Je suis épuisé... J'ai l'impression d'avoir la tête en ébullition.

Il embrassa sa douce épouse.

Heureusement que tu es là, mon amour.

Alric il y a un parchemin dans l'arbre tu voudrais pas regarder?

Bien sûr mon amour.

De la remise, Alric extirpa son échelle, celle des longues cueillettes dans le verger. Malgré la longue période d'inutilisation, elle semblait encore comme neuve.
Il avait, il est vrai, pris grand soin de la ranger comme il se devait et de la bien protéger.

Lentement, la nuit tombant, il gravit les degrés.
Bientôt, le parchemin farceur était à sa portée. Il s'en saisit et redescendit.

Alors qu'il n'était plus qu'à trois barreaux du sol, son pied glissa. Il chût lourdement sur l'herbe et sur son séant. ll se releva péniblement en se tenant les reins.

*Lison eu peur*

Sa va mon amour?
Tu n'as rien?
Tu es sur que tu peux marcher?

Oui, oui, ca va aller, ma Lison. Si tu me donnes ton bras.

Alric s'appuya sur le bras de son épouse et ils reprirent tous deux le chemin de l'intérieur.
Là, Lison assise sur ses genoux, Calypso dans les bras de Lison, ils prirent connaissance de la lettre de Lilly, et se réjouirent d'apprendre qu'elle et Cdingue allaient bien.

Bon, après ces émotions, si nous allions nous coucher mon amour ?

Alric embrassa sa Lison.

Oui allons y mon amour, je suis fatiguée de ma rude journée.

Puis tu as besoin toi aussi de repos

*Lison et Alric monterent dans leur chambre s'allongent*

Bonne nuit mon amour, je t'aime

Alric embrassa sa Lison à son tour.

Bonne nuit mon amour. A tout de suite dans nos rêves.

Ils s'endormirent...

*Lison était fatiguée de sa journée, elle avait travaillé toute la journée entre des accords et l'ambiance au conseil du comté. Elle rentra chez elle après être passé au marché. Elle déposa un chou sur la table puis un cadeau à Alric et alla se reposé dans sa chambre*

Le port d'attache de Lison et Alric - Page 33 438

Le port d'attache de Lison et Alric - Page 33 438

Le port d'attache de Lison et Alric - Page 33 Rond-dona-grave

Se levant fort tard, alors que Lison dormait encore, Alric descendit.
Il découvrit, sur la table, un très bel objet et un magnifique légume, vert, pommé charnu. Il se souvint qu'autrefois, ses champs lui offraient de beaux choux semblables à celui présent.

Toutefois, il ne savait ce qu'il devait penser de celui-ci. Lison ne pouvait l'avoir posé là, en évidence, dans le but de le cuisiner tantôt avec du lard.