Le port d'attache de Lison et Alric

Alric rentrait eu leur demeure, après avoir passé un long et bon moment avec sa Lison et leurs amis en taverne, et effectué une petite ronde dans les rues d'Amiens.
Doucement, il poussa la porte, et monta directement dans la chambre.
Dans l'atelier, la ménagerie dormait.

Lison rentrerait bientôt...

La jeune femme parcourut la rue d'un pas énergique, son épée battant rythmiquement sa cuisse.
Une fois devant chez ses amis, elle frappa quelques coups sonores et se mit à guetter quelque échos, espérant trouver l'un de ses amis chez eux.

Patientant, elle réfléchit un peu. Trois mois, cela faisait trois mois qu'elle n'avait pas vu son collègue en chair et en os, ni sa Lison.
Si Màno avait été sage peut-être aurait-elle la chance de pouvoir serrer Alric ou Lison dans ses bras, sinon, il risquait de ne plus y avoir quelque os à étreindre...

*Lison qui était à la maison entendit frapper à la porte, puis se dirigea pour aller ouvrir*

He Julatine bonjour ravie de te revoir

*Lui saute au coup*

Comment vas tu ?
entre donc

*Mano avait entendu sa maitresse et accourut*

Alric rentrait chez eux la tête un peu bourdonnante. Cela rentrait mieux maintenant, mais les études restaient une tâche longue et astreignante.
Dans peu de temps pensat-il, je pourrai faire une pause et me "délasser" dans mon échoppe.
Absorbé qu'il était dans ses pensées, c'est à peine s'il remarqua que la porte était entrouverte.

Il entra et entendit immédiatement de joyeux jappements.
Il cria :

Bonsoir mon amour ! Bonsoir Julatine !

A l'évidence, Julatine était venue rechercher son compagnon. Alric se demanda soudain comment allait réagir Calypso. Elle et Màno étaient en effet devenus d'inséparables compères et les deux chatons de Calypso qui habitaient encore sous leur toit le considérait un peu comme un père.

Bonsoir mon amour, comment vas tu ?
Les etudes se passent comment?

*Embrasse Alric*

La jeune femme avait serrer Lison dans ses bras avec joie, heureuse de revoir son amie et Màno n'était pas resté en arrière, venant chercher sa part de caresse malgré un petit reproche muet qu'il lui adressait...

Jula et Lison s'était mise à discuter et c'est presque avec surprise qu'elle avait entendu Alric rentrer.
Elle était heureuse de les retrouver tout les deux car bien qu'elle eût assisté à leur mariage, elle n'avait pu passer autant de temps qu'elle souhaitait avec tous ses amis avant de repartir.

Après avoir attendu son tour, Jula alla bisouiller son collègue sur les deux joues.

Si vous saviez comme je suis heureuse de vous retrouver tous les deux !

Devant le jappement un peu plaintif que lui adressa Màno elle éclata de rire.

Mais oui toi aussi tu m'as manqué !

Se tournant de nouveau vers ses amis elle leur dit :

Je vais vous laisser profiter de la soirée en famille, je remmène le pensionnaire chez lui ce soir bien entendu...

Alors que Julatine allait quitter leur toit, suivie par Màno, Alric prit Calypso dans ses bras. Lison se pencha pour recueillir les deux chatons - si grand maintenant qu'ils méritaient un autre qualificatif.
Voyant Màno partir, Calypso émit un long miaulement plaintif. Le grand chien se retourna et lui adressa un bref jappement, plein de reconnaissance.

Alric caressa doucement la tête de Calypso. Elle devait être bien triste.

Dans les bras de Lison, les deux petits de Calypso regardaient partir Màno avec des yeux remplis d'incompréhension. Lison donna à chacun un baiser sur le front.

Quand la porte se fut refermée, ils déposèrent les félins, qui coururent se réfugier en leur panier.
Les félins sont pudiques...

*Lison regarda partir mano avec les chatons dans les bras.*

Et ben voila Alric, mano a retrouvée sa patronne.

Mais bon on ira les voir de temps en temps, puis sa fait tellement longtemps que julatine était partie.

*Lison s'approcha d'Alric et se mit dans ses bras*

Je t'aime Alric

Alric serra Lison dans ses bras et l'embrassa.

J'ai la tête qui bourdonne encore un peu. C'est difficile, les études... J'irais bien reposer.

Je comprends moi aussi, j'ai étudié aujourd hui sa faisait longtemps que j'avais pas mis les pieds à l'université.

Tu veux aller te coucher mon amour?

Les yeux dans ceux de Lison, Alric sourit. Le regard de Lison était plein de promesses, de bonheurs à venir, à cueillir.

Oui, mon amour.

*regarde alric *

Oui allons y je suis fatiguée aussi

Alric prit la douce main de Lison dans la sienne et l'emmena à sa suite jusque dans leur chambre.
Allongé, il accueillit Lison dans ses bras et lui offrit un long baiser.

Bonsoir madame mon Amour. A tout de suite dans nos rêves.

*Lison embrasse alric tendrement*

Bonne nuit mon doux mari.

Le nez perdu dans les doux cheveux de Lison, Alric s'endormit. Il ne tarda pas à rêver : un champ à perte de vue, une rivière, quelques nénuphars, Lison dans ses bras au milieu de l'onde...

L'atelier était poussiéreux. Laissé à l'abandon pendant plusieurs semaines, la poussière y avait élu domicile. On pouvait, par les marques de leurs pattes, y suivre les évolutions des deux bandits et de leur mère...

Alric prit son courage à deux mains, et un balai dans l'autre, pour reprendre possession des lieux. La tâche se révéla moins longue et difficile qu'il n'eut pu paraître. Et bientôt, penché sur sa table, il était à l'ouvrage.

Ses doigts retrouvaient tous seuls les gestes convenables.
Tant de jours d'étude n'avaient pas gâté sa dextérité, fort heureusement.

*Lison qui s'etait occupé des mines et de son poste de bailli et apres avoir consulté tous les dossiers au conseil comtal, rentra enfin chez elle. Lison entra et Calypso arriva de suite vers la porte*

Bonjour toi

*Caresse calypso*

Alric tu es la?

La porte grinçait un peu. Lison avait une façon de l'ouvrir qui, justement, ne la faisait pas grincer.
Alric n'avait entendu aucun bruit, mais avait bien vu Calypso se précipiter.
Lison rentrait, c'était certain.

Alric sourit et l'entendit, aussitôt après, l'appeler.
Du fond de son atelier, il répondit :

Je suis là mon amour, dans mon atelier.

*Lison embrasse Alric*

Je suis fatiguée mon amour de la dure journée que j'ai passé.

Et toi sa va?

Comme à chaque fois qu'il serrait son épouse dans ses bras, Alric sentait son coeur s'emballer.
Il y avait une petite tâche sur le devant de la robe de Lison ; de l'encre.

Je vois que tu as effectivement encore beaucoup travaillé mon amour...

Je crois que nous devrions aller nous coucher...

Sans attendre de réponse, il prit la main de Lison. Ils montèrent jusqu'à la chambre, se couchèrent, dans les bras l'un de l'autre.
Doucement, il l'embrassa. Tendrement, elle lui rendit son baiser.

Leurs lèvres ne s'étaient pas tôt séparées que déjà ils dormaient... et se rejoignaient dans leurs rêves.

*Lison tellement fatiguée n'avait pas hesité a suivre Alric. Ella embrassa son tendre époux et s'endort dans ses bras*

Avant de passer chez elle pour prendre ses affaires, Lilly s'arrêta chez Alric et Lison, elle déposa devant la porte d'entrée les cadeaux qu'elle avait pour sa marraine. Elle griffonna un mot et s'en alla préparer son baluchon pour le voyage.

Citation :: Salut ma Lison
Joyeux anniversaire. J'espère que ses présents te feront plaisir
Vous allez me manquer. Je penserais très fort à vous deux. Une chose que j'aimerais bien, c'est à mon retour, apprendre que ma marraine attend un tit bébé. Alors hop, Alric au travail
Gros Bisous à tous les deux
Lilly

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*Lison rentre tard apres avoir travaillé encore une dure journee. Lison remarqua un petit mot avec des des cadeaux, puis en depliant, elle remarqua le saucisson. Lison éclata de rire*

Sacré Lilly, elle est super sympa.
Alric va bien en rire aussi.

Pour le bebe faudra qu'on y pense^^

j'espere que son voyage se passe bien.

*lison mont ase coucher car elle était épuise, elle repondra a Lilly pour prendre des nouvelles demain matin.*

*Lison qui avait eu une super nouvelle hier soir, n'avait pas eu le temps de le dire a alric pour pas le reveille lorsqu'il dormait. Il etait deja descendu*

Alric tu es la ?

Bonjour seigneur de Boves.

Fort occupé, Alric n'avait pas entendu Lison descendre, mais sursauta à l'interjection.

Bonjour mon amour. Quelqu'un vient nous rendre visite ? Je n'ai entendu personne à la porte.