Le port d'attache de Lison et Alric

Alric était au jardin, assis. Calypso et ses deux petits s'étaient installés, avec force coup de griffes dans les cuisses du jeune homme (il faut bien faire sa place, non ?!), sur ses genoux.
Lison n'était pas encore rentrée. Elle oeuvrait beaucoup pour Amiens - trop à l'idée d'Alric en ce moment. Il aurait préféré qu'elle se reposât davantage.
En regardant les trois félins, Alric se dit qu'il manquait un nom à deux d'entre eux. Il les regardât attentivement, puis capta le regard de Calypso :

Et toi, qu'en penses-tu ? Il faudrait donner un nom à tes deux petits, non ?

Le regard de Calypso semblait acquiescer. Alric se dit qu'il attendrait Lison pour recueillir son avis.

Ce n'allait pas être, d'ailleurs, les seuls noms à devoir choisir...

Depuis plusieurs jours, Lison revenait plus tôt qu'auparavant. La fatigue, sans doute, somme toute normale.
En l'attendant, Alric était au jardin et profitait d'un joli soir d'été. En regardant les arbres, en écoutant la Somme toute proche, il se dit que cela faisait à peine un peu plus d'un an qu'ils avaient fait connaissance, un an qu'il était entré au conseil municipal, un an que sa vie avait pris ce tournant définitif et capital.

Que de chemin parcouru en aussi peu de temps !

Aujourd'hui, elle était devenue sa raison de vivre, la source de toutes ses joies, son avenir....

*Lison était deja au lit, mais ces dossiers étaient a ses cotés, elle pouvait pas laisser cela. Meme avec la fatigue, elle continuait a travailler. Elle s'endort sur ses dossiers pendant qu'alric etait encore en bas*

*Lison était de plus en plus fatiguée, elle partait plus tard à la mairie, et la plupart des dossiers elle les avait chez elle, pour eviter de trop avoir a sortir. Alric lui les emmenait si besoin.
Elle resta allongée ce matin, elle se sentait pas tres bien, elle avait su qu'elle avait été réelue mairesse.
Elle en était heureuse.*

Cela fesait longtemps que Lokos n'avait pas pris de nouvelles de sa tante.Il décida alors de lui écrire une missive...
Il prit un parchemin et une plume,et commença a lui écrire...
Une fois cela terminé il accrocha délicatement le parchemin à la patte du pigeon et l'envoya chez sa tante.

Citation :: Bonjour Tantine,
J'èspere que tu va bien,malgré ta fatigue bien justifié ...
Mais bon je fais confiance a tonton alric,je suis sur qu'il s'occupe très bien de toi...Moi ça va bien je suis enfin à Saumur,mais j'ai quand même tres hâte de rentrer à Amiens...
Une petite info qui ne ma pas suprise m'est parvenue!!On ma dit que tu allait recommencer un autre mandat,cela prouve bien que tu es tres bien au poste de maire...
Je te laisse te reposer,tu sais que tu en a grandement besoin en ce moment ...Passe le bonjour à tonton alric de ma part...

PS:c'est vrai que un petit cousin me fait plaisir.

Le pigeon arriva devant la demeure de lison,il se posa sur le fenêtre de sa chambre et commença a mettre des coup de bec en attendant que celle ci vienne lui ouvrir et même le nourir...

*Lison fut reveillée par un bruit à la fenetre, elle se leva puis alla vers la fenetre*

Tient un pigeon

*Lison le prit puis lui donna des graines, et une missive était accroché à sa patte. Lison lit la missive et rigola à la lecture*

Sacré Lokos, il a parfois de drôles idées

*Lison alla se recoucher, elle avait quelques douleurs, elle esperait qu'Alric serait bientot de retour*

*Lison sentait que sa n'allait surement pas tarder, et s'emprassa de prendre un parchemin et d'écrire à une de ses amie, qu'elle aurait surement besoin d'elle dans pas longtemps.*

Citation :: Cher 100drine, j'espère que tu vas bien?
Je t'écris car j'aimerais que tu me rendes visite assez rapidement.
Etant la seule étudiante à Amiens en médecine, et étant trop fatiguée pour trouvé ce que je peux bien couver, pourrais tu me rendre visite chez moi à Amiens.
Je te donne l'adresse.
https://amiensrr.forum2jeux.com/rue-motte-f92/le-port-d-attache-de-lison-et-alric-t341-825.htm#23746
J'espère que tu pourras venir me voir.
Alric serra la pour t'accueillir.
Il te tiendra au courant de mon état de santé.
Merci 100drine de ton aide

Bisous

Lisonlune de Boves.

Citation :: Ma chère Lison,
Je dois dire que je me porte bien. Je suis remise et l'amour n'y est pas pour rien.
Je vais me mettre en route pour Amiens le plus tôt possible. Il faut que je vois mon fiancé et que je prévienne mon fils entre autres.
Ne t'inquiètes pas ça ne doit pas être bien grave... Peut-être un peu de surmenage : maire et CAC ça demande beaucoup d'énergie. En attendant que j'arrive essaie de te reposer un peu. Je sais que ce n'est pas facile mais tu ne seras pas très utile une fois que tu te seras effondrée et qu'on te clouera au lit. Ménages toi jusqu'à mon arrivée!!
Est-ce que tu pourrais me donner quelques symptômes ou demander à Alric de le faire?
Prends soin de toi.
Bisous

Alric rentrât la tête pleine d'écus virevoltants, de mandats qui se pliaient et de dépliaient tels des oiseaux, de marchandises qui changeaient de mains ; de tout ce qui faisait le commerce.

Il faillit tomber en franchissant le seuil, quand Calypso se jeta dans ses jambes.

Eh bien ! Fais attention Calypso ! J'aurais pu t'écraser.

Elle le regarda de ses grands yeux d'or et émis un long gémissement.
Inquiet, il la prit dans ses bras.

Que se passe-t'il Calypso ?

Ostensiblement, elle le regardait et détournait le regard en direction de l'escalier. Il ne fut pas long à comprendre. Lison !
Vivement, il déposa Calypso à terre et se précipita à l'étage.

Dans la chambre, Lison était allongée, le regard vague, l'air épuisé.
Elle sourit en découvrant son arrivée.

Que se passe-t'il mon amour ?

Bonjour Alric, je suis bien épuisé aujourd hui, je n'ai aps pu sortir d'ici, Lokos nous a ecrit et 100drine aussi, pourrais tu leur répondre?

*Lison embrassa Alric*

Alric saisit les deux lettres que lui tendait Lison.

Bien sûr. Je vais leur écrire tout de suite.

Il s'assit à la table et commença à répondre à Lokos :

Citation :: Mon cher neveu,
Depuis l'arrivée de ta lettre, ta tante a été réélue à la mairie d'Amiens, ce qui ne m'étonne guère tant elle est merveilleuse.
Je prends bien soin d'elle, ne t'inquiète pas.

De ton côté, sois très prudent sur la route du retour à Amiens. Fais bon voyage.
tonton Alric

Il cacheta la première lettre et s'attela à la rédaction de la seconde, à 100drine.

Citation :: Chère 100drine,
Bien que fort peu médecin, je crains que ce ne soit pas le double mandat de mon épouse qui la fatigue tant. Car ma chère et tendre Lison porte actuellement notre enfant.
Aussi, j'espère que tu pourras arriver assez tôt.

Bien à toi,
Alric

La seconde lettre fut cachetée et Alric sortit bien vite, non sans avoir embrassé Lison, pour aller quérir deux rapides courriers.

Alric revint bien vite, et monta s'installer aux côtés de Lison.
Calypso aussi était là. Elle veillait elle aussi sur Lison...

*Lison se blotti dans les bras d'Alric*

Je n'ai pas bouger de chez nous Alric
Tu as pu leur ecrire?

Alric serra tendrement le visage de Lison contre le sien. Ses yeux étaient humides, mais n'avaient rien perdu de leur beauté. Quelques cernes trahissaient la fatigue que Lison avait accumulé ses dernier jours - ou peut-être était-ce ces derniers mois.

Les lettres sont parties par coursiers rapides, mon amour.

*Lison avait les yeux humides, elle est heureuse, meme si quelques pensées étaient la*

Je t'aime Alric

Faudras demain, prevenir aussi Cdingue et Lilly, depuis le temps qu'elles en parlent^^

*Lison avait quelques douleur au ventre*

Alric voyait bien que Lison, malgré les sourires qu'elle s'efforçait de lui faire, souffrait.
Sans doute Calypso comprenait-elle encore mieux toutes ces souffrances, ayant déjà vécu même situation. Elle était montée sur le lit et se blottissait contre Lison, lui apportant toutes les ressources de sa tendresse féline.

Je leur écrirai demain, mon amour. Moi aussi je t'aime, ma Lison.

*Lison était tres fatiguée, puis s'endort dans les bras d'Alric*

Peu après que Lison se fut endormie, Alric sombra lui aussi dans le sommeil.

*Lison qui avait dormi, une bonne parti de la nuit, se reveilla mais encore douloureuse.
Elle se leva pour aller manger un morceau, puis avait encore des dossiers a traiter.
Lison tete de mule, ne voulait pas laisser tant de travail a ses amis. Pourtant il faudra bien.
Elle resta plus d'une heure à rédiger des missives.
Puis une fois terminé, elle remonta doucement s'allonger, Alric était pas loin, il travail dans son atelier.
Lison sentait que sa allait bien être l'arrivée de ce bebe.
Elle pensait à dams.
Elle caressa son ventre, puis s'endormi*

Les différentes pièces assemblées par de solides coutures, les épingles ôtées, l'ouvrage prenait forme doucement mais sûrement.

Alric espérait que Lison, là-haut dans la chambre, en profitait pour se reposer et n'était pas encore plongée dans l'écriture de quelque missive...
Elle était incorrigible, mais si adorable...

La dernière épingle rejoignit ses cousines sur la pelote. Alric prit le mantel par les épaules pour considérer son travail ; il n'était pas mécontent du résultat.
Il le suspendit pour la nuit et se dirigea vers l'office.

De l'eau restait à chauffer dans un petit chaudron dans la cheminée. Il en prit deux louches qu'il versa dans un bol, quelques pincées de verveine et de tilleul, un peu de miel... Cela ferait du bien à Lison.

Le bol à la main, il monta jusqu'à la chambre.

Lison somnolait, les yeux entrouvert, le souffle calme. Toujours si belle, telle l'unique orchidée d'un immense jardin.

Je t'ai apporté une tisane mon amour.

Oh merci Alric, tu es vraiment merveilleux.
Je t'aime Alric, sa va me faire du bien

*Lison prit la tisane qu'alric lui avait apporte*

C'est un peu chaud

Ne te brule pas. C'est très chaud en effet.

Il embrassa sa tendre épouse.
Lison commença à boire, une petite gorgée, doucement, pour ne pas se bruler.

tu as passé une bonne journee ?
Je t'ai pas trop entendu dans ton atelier mon amour