Le port d'attache de Lison et Alric

Alric fît une pause dans son ouvrage pour rejoindre Lison et Guliver. Il arrivât alors qu'elle déposait l'enfant endormi dans son berceau. Il savait que Lison devait se rendre à la mairie.

Ne t'inquiète pas mon amour. Va sans appréhension ni mauvaise conscience. Je suis là pour veiller sur Guliver. Il ne lui arrivera rien.

Il embrassa Lison et lui ouvrit la porte. Elle semblait hésiter. Il répondit à ses craintes par un sourire. Et finit par franchir la porte.

L'huis refermé, Alric retourna regarder Guliver quelques minutes. Il dormait comme un ange et souriait dans son sommeil.

Moi, je trouve que tu as la beauté de ta maman, mon fils. Et, surtout, son merveilleux sourire.

Il s'assit non loin du berceau.
Calypso vint, suivie de ses deux petits - qui étaient désormais des chats tout à fait adultes.
Ils s'intéressèrent un peu au berceau, vérifiant que Guliver y était bien présent, et retournèrent à leurs occupations.

*Lison étais parti à la mairie toute la matinée, c'était calme. Puis ses conseillers l'aidaient du mieux possible. Elle avait été aussi consulter les dossiers comtaux. Mais la pareil pas grand chose à faire depuis qu'elle était adjointe.

Elle décida de rentrer tôt pour une fois pour être après de son fils et son époux. Alric serait étonné. Elle se précipita de franchir la porte de chez elle.*

Coucou mon Amour, tu es la?

Tu as passé une bonne matinée?

Comment va Guliver?

*Elle laissa même pas Alric répondre qu'elle l'embrassa*

Alric fut bien surpris de voir Lison revenir si vite. Il ne l'attendait pas si tôt.
Ses lèvres étaient douces et fraîches lors qu'elle se jeta sur lui pour l'embrasser.
Il ne sut résister à la tentation et la serra, dans ses bras, contre lui, pour prolonger le moment.

Au bout de quelques minutes d'étreinte, il détendit quelque peu ses bras, et lui répondit enfin :

Guliver va très bien. Il dort toujours. Et, tu sais, même Calypso et ses petits veillent sur lui.

Il caressa la joue de Lison. Ses yeux étaient un peu cernés. Elle devait être épuisée et ne plus tenir que par la force immense de sa volonté.

Assied-toi mon amour. Je vais t'aller préparer une bonne tisane bien chaude. Il doit encore rester quelques friandises, aussi. Il faut que tu te reposes un peu.

Il fila dans l'office à grandes enjambées et revint quelques minutes plus tard porteur d'une tasse fumante et de quelques gâteaux secs qu'il déposa sur la table.
Mais Lison, sur son siège, s'était endormie...

Alric sourit en la regardant et courut chercher une couverture pour la couvrir. Une petite sieste ne lui pouvait pas faire de mal.

*Lison s'était endormi, une petite sieste, et se reveilla par les pleurs de son fils. Et se dirigea vers lui*

Ou la que lui arrive til?

*Lison n'avait pas fait attention au temps. C'était l'heure de lui donner à manger.*

Mon petit coeur, chut

*Lison le berça pour le calmer un peu pour lui donner à manger. Puis elle s'installa pour lui donner la tété, Alric était à ses cotés et regardait ce moment merveilleux *

Alric, je voulait te dire, j'ai envoyé une missive au manoir pour demander à Cirleh de venir quelques jours pour m'aider.
Il devrait arriver sous peu.

Tu as eu raison mon amour.

Alric eut une pensée émue pour le vieux valet des Penthièvre.

Cela me fera grand plaisir de le revoir, d'ailleurs.

Alric ouvrit les yeux de fort bonne heure. Guliver avait très bien dormi et ne s'était point réveillé une seule fois. Il grandissait. La tête de Lison reposait contre l'épaule d'Alric.

Il décida de se lever et, doucement, sortit du lit puis de la chambre.

Il commença à descendre le raide escalier mais, sur la troisième marche, son pied glissa. Et la descente fût plus rapide, et plus bruyante, que prévue.
Quand il essaya de se redresser, une épouvantable douleur transperça sa jambe gauche ; impossible de s'appuyer sur icelle.
Il ne pouvait pourtant pas rester ainsi au pied de l'escalier ?!

Il rampa donc jusqu'à l'office, où il pût, au prix, encore une fois, d'une terrible douleur, prendre appui sur une chaise et s'y asseoir. Calypso arriva, le museau et les oreilles inquiètes :

Je crois, ma pauvre Calypso, que je viens de me briser une jambe. lui dit-il en s'efforçant de sourire.

Il ne lui restait plus qu'à attendre le réveil de Lison...

*Lison avait entendu un énorme bruit, cela la réveilla d'un coup, puis se mit a crier*

Alric, Alric ou es tu?

*Lison descend puis trouve Alric sur une chaise*

Mais que se passe til mon amour?

Qu'as tu fais?

*L'embrassa*

*Alric avait l'air très douloureux, lison regarda Alric*

Tu peux te lever mon amour? IL faut aller chercher de l'aide.

Alric sourit à Lison.

Je crains que ma jambe ne soit rompue, mon amour.

Il l'embrassa.

J'espère que Cirleh pourra venir t'aider, car je ne vais pas pouvoir t'être d'un grand secours pour un moment, ma pauvre Lison.

Lison avait un air très triste de le voir dans un tel état. Même avec cet air, elle était toujours aussi belle.

Je t'aime ma Lison.

Je t'aime Alric, je vais t'installer en bas car impossible de monter les escalier.

*Lison prepara vite la chambre du bas pour y installer Alric*

Mon amour Cirleh devrait arriver demain je pense, mais tu peux pas rester sur ta chaise.

Tu vas t'appuyer sur moi et je vais t'aider à t'installer la bas .

Aidé de sa Lison, Alric s'installa dans la chambre du bas. Il s'allongea sur le lit, sa jambe douloureuse étendue.
Il sourit à son épouse, pour la remercier de son aide et de sa sollicitude et l'embrassa.

Ne t'inquiète pas pour moi mon amour, pense à toi et à Guliver. Je vais me rétablir...

D'un autre sourire, il rassura définitivement son épouse, qui quitta la pièce.

Lokos ariva devant chez sa tante et son oncle et frappa a la porte

TOC TOC

*Lison qui avait installé Alric difficilement sur le lit, entendit frapper et alla ouvrir*

Bonjour Lokos entre, tu tombes bien Alric c'est cassé la jambe, va falloir le soigner et le penser.

Il me faudrait deux planches de bois, tu pourrais aller chercher cela?

Bonjour tantine!Ha oui comment a t'il fait ça?
Oui oui pas de problème je vais aller chercher ça.

Lokos entra quand même pour saluer son oncle,puis partit chercher les deux planche de bois...

*Une fois Lokos de retour, lison alla chercher une bonne bouteille d'alcool forte, puis se plaç a aux cotés d'Alric et lui dit*

Mon amour, je t'aime mais faut que je te soigne et cela risque d'etre douloureux, Lokos va te donner un bon verre et pendant ce atemps je vais mettre ta jambe entre les planches et te bander le tout. J'espere que cela permettra la consolidation de ta jambe

*lison fit signe à Lokos, puis Lison essaya de remettre la jambe d'alric bien droite, pour la bander apres avoir installer les plenches. Alric avait l'air de souffrir, Lison essaya de faire rapidement.*

C'est fini mon amour, tu es sur que sa va?

*Alric fit un signe de tête pour ne pas montrer a Lison sa douleur, meme si cela lui faisait tres mal.*

On va te laisser te reposer, si tu as besoin de moi, je suis a coté.
Je t'apporterais de quoi manger et boire dans un moment.

*alric avait pas tres faim, et était fatigué, mais il ne savait pas dire non Lison qui avait envie de lui faire plaisir.*

Grâce aux bons soins de sa Lison et de Lokos, à beaucoup de repos, Alric se rétablissait à vue d'oeil. L'atelle était solide, aussi décida-t'il d'essayer de se lever.
Aux côtés du lit était un vieux manche qui avait dû appartenir à une bêche. Il prit appui dessus et posa son pied valide par terre, puis la deuxième jambe, et se leva. Tout se passait bien.

Il pût donc sortir de la chambre, lentement, boîtant un tantinet...

Lison était installée dans la grande salle et donnait la tétée à Guliver.

Bonjour mon amour. Tu vas bien ?

Lison leva la tête ; elle semblait étonnée et inquiète.

Ne t'inquiètes pas. L'atelle tient très bien. Et ma jambe se remet. Grâce à toi, ma Lison.

Quand il fût assez proche, il embrassa son épouse et leur fils.

Tu es merveilleuse ma Lison. Je t'aime.

Sa va bien merci mon amour, mais fais attention à ne pas forcer ta jambe est pas encore complètement rétabli.

Tu dois te reposer.

*Embrasse Alric*

Un homme arriva de Sainte Ménéhould, il avait un courrier à remettre au Maire de la ville de la part de la Jeannette. Il avait fait le voyage à contrecoeur parce qu'il lui devait un service, il se serait bien passé d'aller en Artois, ce comté qui a déclaré la guerre à son Duché. La Jeannette devait être folle pour aider une Artésienne, lui l'aurait laissé pour morte, mais bon, tout le monde sait que les femmes sont plus sensibles. Après s'être arrêté devant la Mairie pour découvrir le nom de cette personne, il erra dans les rues à la recherche de la maison. Au bout d'un moment qui lui parut interminable, il la trouva enfin, il poussa un soupir de soulagement et pensa que dans cette ville, rien n'était indiqué clairement. Il frappa à la porte et n'ayant pas de réponse, il décida de poser le parchemin sur le seuil en mettant une pierre dessus pour ne pas que la lettre puisse voler et retourna chez lui, il ne voulait pas rester une minute de plus dans le territoire de l'ennemi.

Lison avait trouvé la missive, elle était fort inquiete, elle prit sa plume puis ecrit une missive. elle envoye son valet avec du tilleul et de la fleur de sureau.

Le port d'attache de Lison et Alric - Page 38 Parcheminqg6

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*Lison avait beaucoup de chose a prépare aujourd'hui son dernier jour de maire. Elle avait un petit pincement, elle avait reçu des missives très chaleureuses. Elle s'inquiétait de pas avoir de nouvelles de Lilly. Elle espérait que le pigeon était bien arrivé.*

Lison était assise dans un fauteuil, Guliver contre son coeur. En ce lieu sûr et familier, il s'était endormi.
La douce épouse d'Alric pouvait enfin souffler un peu...

Passant avec les maréchaux d'Amiens, Alric s'était arrêté quelques instants et était entré.
Doucement, sans faire plus de bruit que nécessaire pour ne pas la surprendre, il s'approcha de Lison et lui caressa doucement la nuque. Elle se retourna et lui sourit. Il l'embrassa.

Je t'aime, ma Lison.

A ce soir.

Lui aussi était fort inquiet pour Lilly, mais il n'en voulait rien laisser paraître.

Tard dans la nuit, alors que tout était calme, un pigeon arriva de Champagne, après plusieurs temps d'hésitation, il décida de foncer comme une flèche, il brisa la fenêtre sur son passage, et se fracassa contre la porte de la cuisine, ce qui fit un bruit énorme dans la maison, bien évidemment, ce volatile voyageur était dressé pour faire peur aux gens ce qu'il fit à merveille à cet instant. Il se retrouva à terre, à moitié mort, un parchemin accroché sur sa patte

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Alric, au matin, découvrit le pigeon sur le sol de la cuisine, en fort piteux état. Fort heureusement, ni Calypso ni ses petits ne dormaient dans la pièce, sans quoi il n'aurait sans doute retrouvé que quelques plumes.
Doucement, il déposa l'oiseau sur un linge propre, sur la paillasse, et s'enquit du contenu de la lettre qu'il portait.

A sa lecture, il ne pût s'empêcher de sourire ; il connaissait le caractère parfois terrible de Lilly. D'une certaine façon, qu'elle puisse de nouveau faire pousser des ailes aux objets était rassurant. Elle devait commencer à recouvrer des forces...

*Lison et Alric avaient invite des amis, Lison avait prepare a manger toute la journée.
Elle esperait avoir du monde chez elle.

Elle avait envoue cette belle invitation

*

azelen arriva devant chez lison et alric c'etait la premier fois qu'elle se rendait ici.

elle frappa a la porte et attendi ravi de l'invitation

Vagabond(e) Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 29/08/2008

Bonjour je suis le fis de Luzifer,il parait qu'il y a une fête ce soir.

Je suis ravie d'etre parmis vous .