Le port d'attache de Lison et Alric

Oui peut-être... 5 livres...

Elle détourna le regard des yeux d'Alric et passa sa main devant les yeux.

Une petite poussière.

Oui... Il a dû partir...

Je pense rester un peu avec vous... Je ne vais pas vous abandonner comme ça, pas de chance pour vous.

100drine retourna auprès de Lison et expliqua qu'il fallait encore attendre la sortie du placenta pour être certain que tout allait bien.

Tu es la bienvenue dans cette maison. Aussi longtemps qu'il te plaira d'être avec nous.

100drine fit un beau sourire mais avait du mal à parler. Elle pensait à Korame.

La merveille a un petit nom?

Voila Lison tout est en ordre Wink

Tu devrais dormir à présent. Si c'est trop douloureux on te refait une tisane. Tu as fait du beau travail Smile

Alric regarda son épouse et lui sourit.

Oui. Guliver. C'est ainsi que nous le nommerons.

Merci 100drine, milles fois, tu es la bienvenue chez nous.

*Lison prit l'enfant des ses bras, elle en était si heureuse*

Alric décida de laisser seuls Lison et leur fils. Il dormirait en bas. Elle avait besoin de calme et, surtout, de beaucoup de repos.

Il embrassa Lison et Guliver. Fit la bise à 100drine.

Je vais vous laisser entre femmes... et enfant. Encore merci 100drine, et toutes mes félicitations mon amour. Je t'aime.

Il regarda Guliver en souriant

Bienvenue à bord, petit mousse.

Sur ces mots, il se retira et descendit s'installer au rez-de-chaussée.
Il croisa Calypso en bas de l'escalier, la prit dans ses bras :

Lison est maman, ma petite Calypso. Comme toi. C'est un très beau bébé.

Calypso semblait partager sa joie.
Il la laissa rejoindre ses deux petits et chut sur une banquette.

100drine descendit pour boire une tisane. Elle ne tarderait pas à remonter pour reprendre Guliver des bras de sa mère endormit. Pour le moment elle la laissait savourer ce moment mais elle ne le laisserait pas dans le lit de sa mère.

*Lison s'endormit avec son fils, elle était epuisé apres une dure journée*

Quand elle se leva , Fanfan décida de faire un détour par la rue Motte afin de déposer un petit mot de félicitations aux heureux parents pour cet évenement.
Tout était calme.
Rapidement, elle déposa avec son petit mot un bouquet de fleurs pour Lison et un petit paquet pour Guliver, puis continua son chemin Very Happy

Zaboud avait attendu quelques heures que lison se remette mais elle souhaitait venir presenter ses felicitations aux heureux parents.

Elle deposa un petit mot:

Felicitations a tous les deux pour l'arrivée de votre fils.Bienvenue a l'heureux bambin

zaboud

*Lison se reveilla, elle était encore épuisée, elle avait hâte de retrouver son enfant. Alric et 100drine devait etre en bas avec lui*

Alric, le petit Guliver dans ses bras, monta avec précaution l'escalier. Il n'avait que deux mains et ne pouvait se tenir à la rampe.
Il entra dans la chambre. Lison, le voyant arriver, lui sourit. Elle semblait épuisée.

Ca va mon amour ? Guliver voulait venir te voir.

Doucement, Alric déposa leur fils dans les bras de sa mère, et glissa un baiser sur son front, et un autre sur les lèvres de son épouse.

*Lison avait son fils dans ses bras le plus beau cadeau apres Alric, elle le serra tres fort dans ses bras.
Elle le berçait, il etait si beau ce petit bou*

Alric remonta tout doucement l'escalier. Il ne savait dire si Guliver et Lison se reposaient, et il ne voulait pas les réveiller.
La porte était entrouverte et il glissa un oeil par l'entrebaillement. Lison tenait Guliver dans ses bras et le berçait en chantonnant.

Le tableau était charmant, il s'en reput et décida de redescendre pour ne pas troubler ce moment d'intimité filiale.

Lilly arrivait d'un long voyage, elle n'était même pas encore passée chez elle, comme promis elle courut chez sa marraine et son mari pour voir le bébé. Avant, elle avait déposé ses sacs à l'écu d'or et avait retrouvée sa place de tavernière qui lui avait terriblement manqué enfin moins que ses amis quand même^^. Elle arriva devant la porte les bras chargés par le présent pour Guliver, évidemment il avait fallu qu'elle en choisisse un bien encombrant juste pour embêter les parents, enfin bon au moins il n'était pas vivant c'était déjà ça. Pourtant, Lilly avait hésité entre les deux et puis au final, elle se dit que pour l'instant Guliver était bien trop petit, elle attendrait qu'il soit plus âgé pour lui en offrir un vrai:p

Ayant les mains prises, elle donna un coup de pied pour signaler sa présence et vit Lison lui ouvrir. Elle entra et colla le cadeau dans les bras d'Alric après l'avoir bisouillé. C'était un gigantesque ours en peluche

Le port d'attache de Lison et Alric - Page 37 Ours-Assis

Le port d'attache de Lison et Alric - Page 37 Ours-Assis

Salut les amoureux
Me voilà de retour, ça va vous deux. Tiens mon lieutenant, ça c'est pour ton fils. D'ailleurs en parlant de ça, il est où le bébé?

Lilly regarda Alric et éclata de rire

euh évite de te tromper, c'est pour Guliver et pas pour toi Alric, même si je te trouve trop mignon avec dans les bras

Alric tira la langue à Lilly et lui fit la bise. Puis, les bras tendus, il contemplât l'animal factice. Il était immense et magnifique.

Merci pour Guliver, Lilly, il est superbe !

de rien mon Alric, c'est normal. A part ça vous m'avez manqué. quoi de beau ici?

Lilly continuait à parler en attendant de voir le bébé qui devait probablement dormir, lorsque tout à coup elle se sentit mal, elle avait chaud et avait un peu la tête qui tournait.

désolée je dois vous laisser, j'ai besoin de repos je crois, je passe chercher mon baluchon à l'écu et je file dodoter. Je reviendrais demain voir le tit bout. Embrassez le pour moi

Lilly sortit de chez eux en espérant que son filleul ne s'était pas rendu compte qu'elle n'allait pas très bien

*Lison avait pas eu le temps de remercier Lilly pour le cadeau pour Guliver, elle devait aussi annoncer sa naissance à tous ses amis.*

Lilly était repartie sans que Lison et lui aient eu le loisir de lui présenter Guliver. Ce serait pour bientôt.
Alric n'avait pas été sans remarquer que Lilly n'était pas dans son état normal, ni au mieux de sa forme. Il connaissait fort bien sa marraine et, même encore maintenant, il savait lire sur son visage et dans ses gestes tous les signes de bonne ou mauvaise santé.

Il ceint la taille de Lison de son bras, l'embrassa et lui dit :

Je crois que notre petite Lilly n'est pas au mieux de sa forme. J'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui cloche. Elle aussi, tu crois ? ...

Comme promis 100drine était restée chez ceux qu'elle croyait être des amis pour veiller sur leur enfant... Suite à un évènement elle reprit toutes ses affaires et leva le camp.

Citation :: Cher Alric,
Je ne peux pas rester une minute de plus ici... J'espère qu'il n'arrivera rien à ton fils. Vu toute l'estime que Lison a à mon égard je pars. Les amis les vrais ne condamnent pas sans se renseigner. Les vrais amis ne poignardent pas dans le dos ils tendent la main...
Adieu

On voyant que le mot avait été écrit à la hâte, ce n'était pas l'écriture habituelle de la rectrice.

100drine quitta cette maison où elle était venue pour donner la vie, pour une amie... une amie qui la considérait comme une traitre.

C'est les yeux pleins de larmes et les joues rouges de colère que 100drine quitta Amiens.

*Lison avait Guliver dans les bras assise sur une chaise et le berça, il était si petit, mais ressemblait tellement à son papa. Il etait calme, pleurait presque jamais. Un petit bonhomme merveilleux, lison lui donna la tétée avant qu'il aille au lit. Lison en profita elle ne s'en était pas beaucoup occupé ses derniers temps, trop de travail l'avait retenue.*

Alric avait terminé son ouvrage et, une fois qu'il eut rangé son atelier, il rejoignit Lison et Guliver.
Leur enfant était dans les bras de sa mère. Elle le berçait doucement en lui chantonnant une chanson.

Elle ne l'avait pas encore vu, aussi resta-t'il dans l'embrasure de la porte, à contempler ce charmant spectacle.

*Lison avait étudié aujourd'hui, pour rester a s'occuper de Guliver, il grandissait trop vite. Elle voulait pas manquer cela.*

Tu es si beau mon petit ange, tu ressemble à ton cher et tendre papa.

*Lison l'embrassa, il était l'heure de la tétée, lison alla s'installer avec Guliver sur le lit et prit son enfant près d'elle pour le faire manger. Il s'endormait a chaque fois sur la tétée.*

Aussi vite qu'un faucon fondant sur un malheureux lapin, la nouvelle s'était répandue dans Amiens : Lilly avait été enlevée.
Seule Lison ne devait pas être encore au courant, tant elle était occupée avec Guliver, sa charge de maire et les élections comtales qui approchaient. Sa résistance forçait le respect d'Alric.

Il décida toutefois de lui annoncer la nouvelle, avec toute la prudence et la douceur dont il était capable. Il s'approcha de son épouse, qui s'affairait à changer Guliver. Il l'embrassa et profita de l'occasion pour chatouiller les petits petons du petit bonhomme.

Ma Lison...

Il prit une profonde inspiration.

Lilly a été enlevée la nuit dernière. Cask et Cdingue sont partis à sa recherche.

*Lison avait beaucoup travaillé ses derniers jours, pour les élections, Guliver avait été soigné par son père. Lison ce matin décida de s'occuper de son fils, car Alric allait bientôt partir en retraite spirituelle. Lison savait qu'au besoin elle pourrait confier Guliver à Lokos et Bleuet.*

*Lison s'installa pour donner la téter a son fils, avant d'aller faire un tour à la mairie. Elle le berça en même temps, et chantonnant.*

*Alric était parti tot ce matin, Lison pensa que Cirleh devrait revenir du manoir des Penthièvre pour l'aider aussi un peu.*

Tu es si beau, tu ressemble à ton père.

*Une fois la tété finit Lison deposa son fils sur le lit, car il s'endormait à chaque en mangeant.*