41 rue Haute des Tanneurs (chez Neo)

Jules qui faisait un petit tour des rues pour les redecouvrires alla chez neo il toca puis attendit une reponse :

Neo, qui faisait du rangement, entendit frapper à sa porte. Se demandant qui pouvait bien savoir qu’elle était de retour, s’essuya les mains, épousseta ses vêtements et alla ouvrir. Quelle ne fut pas sa surprise, de trouver nul autre que Jules Cesar, sur le pas de sa porte…

« Sire Jules ! Quelle surprise ! Mais entrez donc ! Excusez le fouillis, mais j’arrive tout juste de voyage et n’ai pas eu le temps de tout ranger. Passons au salon, si vous le voulez bien, car c’est le seul endroit que j’ai fini de nettoyer.»
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Elle le fit asseoir, lui offrit un verre de vin, s’en prit un aussi et, tout en lui souriant, lui demanda :

« Mais que me vaut l’honneur de votre visite ? »

Jules accepta le vers de vin . Il n'ecouta peu neo mais regarda cette grande mainson:

heu...et bien je faisait un petit tour de la ville car j'ai fini ma maison enfin mon chateau ^^.Sinon commen vas-tu ?

Plusieurs jours s’écoulent et la maisonnette de Neo reste vide.
Seuls quelques chiens errants viennent saccager son jardin.
Des oiseaux de passages se perchent sur le banc.
Le temps semble suspendu…

Neo arrive devant chez elle, le cœur battant. Il lui semble qu’il y a des lustres qu’elle n’a pas goûté au bonheur d’être chez soi, dans sa maisonnette. Elle jette un coup d’œil autour d’elle : tout est silencieux. Le quartier est calme à cette heure matinale.
Ses pauvres fleurs sont en piteux état… Elle devra s’occuper de son jardin !
Le banc y est toujours, lui rappelant d’agréables souvenirs.
Sa maison aux volets clos lui semble sans âme.
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« Il est plus que temps que je remette de l’ordre dans tout ça ! » se dit-elle.

Elle pousse enfin la porte et pénètre chez elle… Tout est tel qu’elle l’a laissé, il y a plusieurs semaines, déjà. Lentement, elle fait le tour de son logis, en caressant chaque meuble… et constatant du même coup qu’elle en aura pour quelques heures avant de faire disparaître toute cette poussière.
Mais elle est heureuse. Satisfaite de sa décision.
Elle retrousse ses manches et se met aussitôt à la tâche, frottant un peu partout jusqu’à ce que les meubles retrouvent leur splendeur d’origine. Elle termine par le plancher, qu’elle astique laborieusement.
Elle va finalement cueillir quelques fleurs afin de les disposer dans un vase, sur la table de la cuisine.

Un bain s’impose ! Elle s’assoupit même dans sa baignoire, tellement elle est fourbue. La lavande qu’elle y a déposée est par trop relaxante…
Ce court moment de détente lui suffit.
Elle se rhabille, se coiffe. Elle est prête !

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Neo revenait de la taverne. Ce soir, tout était tranquilou ! Elle se remémorait la soirée précédente, où des amis réunis avaient fêté le départ de plusieurs, tout en soulignant son retour. Comme elle avait pu s’y amuser ! Plus même qu’en aucune autre taverne, tout au long de son p’tit périple. Elle savourait la joie d’être à nouveau à Amiens…
Par contre, elle était étonnée de ne pas y avoir rencontré son compagnon de voyage, Lord John. Pourtant, il devait venir coucher chez elle, avant son départ pour Péronne. Quel étrange homme, que ce Lord John, solitaire, peu loquace. Elle ne comprenait pas bien ses motivations et le craignait même un peu…
Elle décida cependant de l’attendre, avant d’aller se coucher, hospitalité oblige.
Elle changea les draps de son lit et se prépara une couche sur le divan du salon, afin d’y passer la nuit…

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Invité

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Un pigeon se posa chez Néo...

Citation :: Ma chère Néo,

Cette missive pour te donner quelques nouvelles...
Le voyage jusque là se passe sans encombres, aucuns brigands à l'horizon...
J'aurais tant aimé passer plus de temps avec toi... mais nous nous rattraperons à mon retour !
Je suis heureuse d'aller au mariage de ma soeur avec Fanfan et les bébés... et en même temps très nostalgique d'Amiens
Attends moi... je viendrai te voir dès mon retour

Grosses bisouilles
Ton amie

Ced

Un second pigeon se posa sur le rebord de la fenêtre de Néo:

Citation :: "Ma chère Néo!
Je suis encore désolée de t'avoir laissée si vte alors que tu venais juste d'arriver et que tu avais peut être besoin de moi, mais nous étions pris par le temps et la date du mariage approche, nous ne pouvions plus traîner. J'espère te retrouver à notre retour, ne t'inquiète pas , on va pas trainer là bas et on se fera comme promis une très belle fête, comme tu en as le secret.
Bisouille
Fanfan et Manon"

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.....

Jaid se sentait un peu mal à l'aise depuis la veille et se promenait ( sans déguisement ) de bon matin afin d'écouter si quelque volatile ne traînait pas vers la maison de la charmante Néo, sans se faire surprendre cette fois.

En arrivant rue Haute des Tanneurs elle croisa Sir Lord John du 80 qui marchait tristement vers la sortie du village. Elle se dirigea vers lui d'un pas vif et l'intercepta en chemin.

Bonjour Sir Lord John du 80 !
Je voulais vous demander de m'excuser pour mon intervention d'hier pour "le mariage avec un homme", c'était vraiment de l'humour de ma part pour essayer de vous détendre car je vois bien que vous êtes mal à l'aise en ce moment parmi nous.
C'était maladroit, certainement même un peu idiot, mais j'espérais sincèrement vous faire sourire.
Je vous présente mes excuses une fois encore pour ma maladresse qui vous a peut-être blessé.

Grand silence entre l'homme et la femme, aucun caquettement au loin.

Votre demande de logement au 5 rue l'Evêque est évidemment acceptée, vous n'aurez qu'à emménager quand bon vous semble dans votre nouveau "chez-vous". Et de grâce ne vous laissez pas démoraliser de la sorte, vous avez un tas de chose à espérer de notre beau village, nous sommes un peu rudes au premier abord mais aucun d'entre nous n'est méchant
Restez encore un peu pour vous faire votre propre idée et ressaisissez-vous : Vous ne pouvez pas rester triste comme ça, ça n'est pas digne d'un homme....mmmh ?

Sur ce elle s'enfonça un peu plus dans le jardin de Néo, espérant y trouver un morceau de tarte oublié sur un rebord de fenêtre à défaut d'une bonne poule à déplumer.

Neo revenait d’une de ses ballades nocturnes lorsqu’elle aperçut John, qui descendait le chemin, menant à la sortie du village. Les premières lueurs de l’aurore lui permirent d’entrevoir le baluchon qu’il portait sur son dos. Il marchait d’un pas décidé, lui tournant le dos.
Surprise et inquiète, elle courut vers lui.
« John ! Arrête ! J’aimerais te parler… »
Il ralentit le pas, se retourna et l’attendit. Essoufflée, Neo arriva à sa hauteur.
« Mais que fais-tu ? Tu t’en vas ? Tu ne devais pas t’installer à Amiens ? »
John la regarda avec un sourire moqueur, mais triste.
« Tu sais très bien pourquoi je pars, Neo ! »
Neo pencha la tête, se remémorant certaines de leurs conversations houleuses, mais aussi les bons moments qu’ils avaient partagés. Elle le regarda finalement dans les yeux, tendrement, avant d’ajouter :
« Oui, je sais, John… Et crois bien que je regrette que ça n’ait pas fonctionné, nous deux. Dommage, mais nous n’avions pas la même vision de la vie. Par contre, je garderai de toi le souvenir d’un galant homme qui a eu la gentillesse de m’accompagner pour un bout de chemin. Un peu rude, parfois, mais un bon cœur, j’en suis certaine. J’espère que nous routes se croiserons à nouveau et que nous pourrons boire un coup, en amis… »

Elle se leva sur le bout des pieds et lui donna un baiser sur chaque joue. Elle le prit par le bras, et descendit avec lui le chemin qui le conduirait vers d’autres horizons.
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Invité

......

Neo se dirige vers son banc, son bol de café à la main.
L’air est pur. Des odeurs de terre et d’herbe l’enivrent.

Le soleil se pointe, timide. Une autre belle journée s’annonce.
Neo respire un bonheur nouveau…

Depuis 2, 3 jours déjà, Neo demandait à Marno de venir dormir chez elle.
Mais timide et aussi un peu têtu, Marno avait toujours contourné la question.
Ce jour là, enfin, il se décida à venir voir où habitait la belle qui lui agitait le coeur à chacun de ses faits et gestes.

Il prit donc la direction du quartier des artisans, marcha le long des ruelles, rêveur, puis arriva rue des Tisserands, il prit le morceau de parchemin où il avait griffoné ...... 41 rue Haute des Tanneurs...............
Rejoignis vite l'adresse indiquée....... bounce

Il regarda les numéros gravés sur les portes, prit un sentier avant d'arriver au 37 et puis au 39 et enfin le 41. Il découvrit d'abord un beau jardin couvert de fleurs, et s'approcha de la porte d'entrée.
Il hésita un instant, puis timidement frappa 3 coups.............

Neo finissait sa toilette, lorsqu’elle entendit un bruit…
Quelqu’un frappait à sa porte, à cette heure ??
Elle s’enroula dans son peignoir mais regarda avant par la fenêtre.
Marno ! C’était Marno…
Son cœur battait à tout rompre…
Elle replaça ses cheveux défaits… ajusta son peignoir, pestant contre le fait que sa tenue laissait à désirer… et se dirigea vers la porte…
Qu’elle ouvrit précipitamment…

« Mon doux Marno ! Je suis heureuse que tu te sois enfin décidé ! Ma maison t’est ouverte, tu le sais très bien… Et tu y seras mieux qu’à l’auberge…Du moins, je l’espère… Allez, entre mon amour… »
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Neo lui sourit tendrement et le laissa entrer, émue, heureuse de le revoir…

« Tu as certainement une petite fringale ! Viens, on passe à la cuisine, se concocter un p’tit en-cas »

Elle le prit par la main, l’embrassa d’abord, et le dirigea vers la petite cuisine, à l’arrière de la maison…

41 rue Haute des Tanneurs (chez Neo) - Page 3 Armagn10

« Mais avant toute chose, on fête ton arrivée ! »
dit-elle, en commençant à déboucher une bouteille d’Armagnac, qu’elle gardait pour une occasion spéciale… Elle en remplit deux coupes, lui en tendit une et, le regardant dans les yeux, lui murmura :
« Bienvenue chez toi ! »
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Marno fut vraiment ému d'entendre ces mots sortir de la bouche de Neo "Bienvenue chez toi " les mots résonnaient encore dans sa tête.
D'un coup, il parcourut la pièce du regard et se dit que c'était la première fois qu'il aurait un "chez lui " aussi bien entretenu.
Certaines odeurs parcouraient la cuisine, jasmin, tilleul, menthe. Neo avait du goût pour la décoration et les lumières tamisées rendaient les couleurs de la pièce plus belles encore.

Marno prit le verre tendu par Neo , la regarda longtemps, et la remercia du regard pour cette accueil auquel il ne s'attendait pas, il prit la coupe d'Armagnac et la tendit vers Neo pour trinquer................

Ils passèrent au salon et Marno aperçut un luth qui reposait contre le mur.
Il sourit à sa Douce, s'en empara et commenca à jouer un vieil air d'Alfonso X el Sabio. Les notes s'élevaient dans la pièce, au grand plaisir de Neo.
Le feu rougeoiyait dans la cheminée. Leurs coeurs à l'unisson étaient charmés par cette douce mélodie...
Que demander de plus ???

Neo, ravie, écoutait les notes lentement égrainées sur son vieux luth. Il y a longtemps qu’elle n’avait pas entendu si douce mélodie… Marno jouait à ravir, un talent qu’elle ne lui connaissait pas… Lorsque les dernières notes se furent tues, il lui fit un charmant sourire.
Mais la fatigue se lisait aussi dans son regard.

Neo lui prit la main, lui souriant tendrement, et l’entraîna vers l’escalier qui menait à la chambre. Il la suivit…

La porte se referma sur leur amour….

Venu de loin et après avoir volé toute la nuit, le pigeon de Perdrinette effectua un atterrissage quelque peu raté dans un pot de fleur de Neo. La tête enfoncée dans la terre, et le corps recouvert de pétales de fleur, l'animal sortit avec difficulté de la matière terreuse et se nettoya les plumes un instant avant d'aller sur le rebord de fenêtre de la jeune femme. A sa patte, un petit parchemin était accroché :

Citation :: Bonjour ma Neo,

Comment vas-tu ? J'espère que tout va bien pour toi. Moi je t'envoie cette petite lettre pour avoir de tes nouvelles.
Je suis actuellement à Bergerac, dans le Périgord. Bergerac, ville de mouvement, ville de conflits en ce moment et ce n'est pas tous les jours facile. Et dire que je n'ai toujours pas terminé mon périple... Voilà un mois que je suis parti d'Amiens, et vous me manquez tous, toi y compris. Je souhaite que tout ce passe bien ici. Donne-moi des nouvelles de toi Neo.

Je te laisse en te faisant plein de bisous, et fais-en plein à tous les amis.

Perdrinette

Le lendemain matin, Neo s’étirait dans son lit, tel un chat, lorsque sa main rencontra un bout de parchemin. Elle arrêta son geste, se redressa dans le lit et prit le document qui reposait sur l’oreiller de Marno.
Elle sourit, en lisant la douce missive qu’il lui avait laissée, avant de partir travailler.
Que de tendresse se dégageait de ces souvenirs évoqués avec chaleur et sensualité.
Que d’émotions ils ravivaient…

Ragaillardie, Neo sauta en bas du lit et descendit en courant les escaliers.
Elle se rendit à la cuisine afin de s’y préparer un café bien tassé, comme elle les aimait.
Quelle ne fut pas sa surprise d’apercevoir, sur le rebord de sa fenêtre, un pigeon plutôt mal en point, un petit parchemin à sa patte. Afin de ne pas l’effrayer, Neo sortit calmement pas la porte, faisant le moins de mouvements possible, et arrivée à sa hauteur, lui tendit un doigt. Comme elle l’espérait, il vint s’y percher. Elle détacha le bout de papier, en profita pour caresser et nettoyer l’oiseau, et le fit entrer dans la cuisine, le redéposant sur le bord de la fenêtre.

Des nouvelles de Perdri ! Quelle joie ! Il y avait si longtemps. Neo dévora la lettre puis, la relut plus lentement, en dégustant son café. Le pigeon semblait calme. Elle lui donna quelques grains de maïs, pendant qu’elle passait dans l’entrée, y chercher du papier et une plume, dans le bahut que lui avait donné Fanfan. Elle était fébrile, et désirait répondre rapidement à son amie, afin de profiter du pigeon. Elle se refit un autre café, s’attabla, et rédigea sa réponse, un sourire emprunt de bonheur, aux lèvres. Que de bonnes nouvelles, pour une fois ! Elle relut et, satisfaite, roula le document et le rattacha à la patte du pigeon. Par contre, ce dernier n’avait pas terminé son repas et semblait peu désireux de repartir. Neo ouvrit la fenêtre le laissant seul juge du moment de son départ.

Pour sa part, elle fila vers son banc, avec son restant de café et ses deux parchemins,
afin de profiter pleinement de cette belle matinée automnale.

Ce matin là, Marno se leva plus tôt que prévu, en effet, depuis qu'il dormait dans un vrai lit et au côté de Neo, son sommeil était profond, apaisé. Donc vers 6 heures le pied alerte, il décida d'aller prendre son petit déjeuner. Rentra dans la cuisine où il huma une odeur de pâtisserie.

hum !! Neo avait préparé une tourte aux fruits secs.
Il en prit une grosse part et alla s'asseoir dans le salon.

Marno était assez impressionné par le goût sûr qu'avait Neo pour la décoration.
Chaque détail comptait. Il regardait les couleurs, les différentes tapisseries. S'il devait y mettre sa touche, il serait avisé de lui demander son accord.
Il vit un espace sur un pan de mur et se souvint qu'il avait une peinture qui y trouverait peut être sa place.
Alla fouiller dans son sac de voyage et y trouva la dite peinture qui se nommait « Mars et Vénus «
Elle était d'Andrea Mantegna, un peintre que Marno adorait.....................

il emballa la peinture et la mit en évidence au pied du mur où il espérait que Néo dédiderait de l'y accrocher.

C’est d’un pas joyeux, tout en chantonnant, que Neo descendit l’escalier. Un tendre sourire se dessinait sur ses lèvres, au souvenir de leur dernière nuit. Ils s’étaient aimés. Pleinement, authentiquement. Leur complicité s’intensifiait. Ils avaient longuement parlé, jusqu’au petit matin, avec sincérité, s’apprivoisant mutuellement, dans le respect l’un de l’autre. Un doux frisson la parcourut…

Elle ouvrit la porte d’entrée toute grande, huma l’air frais et sec et constata que la journée serait belle. En faisant demi-tour, son regard fut attiré par un objet emballé, reposant au pied d’un des murs du salon. Intriguée, elle le prit dans ses mains, le soupesa, le retourna. Elle déchira vivement le papier pour découvrir un tableau de petite dimension. Tout simplement ravissant ! Sans l’ombre d’un doute, elle sut immédiatement que ce présent lui venait de son Amour : la thématique le lui prouvait hors de tout doute… Champêtre et sensuelle, cette toile relatait les amours de Mars et de Vénus. Tout n’était que joie de vivre et ribauderie autant par le choix des coloris que par les mouvements des corps.

Émue, se sentant choyée plus qu’elle ne l’eut pensé possible, Neo serra le tableau sur son cœur, comprenant aussi que si Marno l’avait déposé à cet endroit, c’est qu’il espérait probablement qu’il y soit fixé. Et il s’avérait qu’il avait entièrement raison ! Sans plus attendre Neo s’empressa le quérir les outils dont elle avait besoin. Quelques minutes lui suffirent.

Elle n’avait qu’un hâte ! Que Marno revienne, afin de lui démontrer sa reconnaissance et sa gratitude, en plus de son amour…

» 45 rue haute des tanneurs (chez Guntther)
» Chez Kmi et Sellig, A la forge Amiennoise
» Chez JAID
» Chez Kelly