Jeu de rimes

Voici un petit jeu sans obligations mais avec quelques régles

Le but est d'écrire un poème cohèrent tout en ne postant que deux vers à la fois.
Chacun est libre de rajouter deux vers qui riment en les mettant à la suite de ceux fait précèdemment.
Tout le monde à la responsabilité de rendre le poème cohèrent au fil des vers pour créer une histoire...

Voici donc le début, à vous la suite:

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.
Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.
Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle
Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Puis je sentis mon coeur s'envoler,
Et s'orienter vers de lointaine contrées.

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Puis je sentis mon coeur s'envoler,
Et s'orienter vers de lointaine contrées.

Dans un souffle, tel une boême
Je lui dis: "je t'aime"

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Puis je sentis mon coeur s'envoler,
Et s'orienter vers de lointaine contrées.

Dans un souffle, tel une boême
Je lui dis: "je t'aime"

Et je la serre tout contre moi,
Comme si c'était la dernière fois...

Enfin, la voix de chagrin étranglé,
je lui susurre "mon amour, je doit te quitter..."

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Puis je sentis mon coeur s'envoler,
Et s'orienter vers de lointaine contrées.

Dans un souffle, tel une boême
Je lui dis: "je t'aime"

Et je la serre tout contre moi,
Comme si c'était la dernière fois...

Enfin, la voix de chagrin étranglé,
je lui susurre "mon amour, je doit te quitter..."

Et tel un souffle dans la brume,
J'ai disparu tel la vague sous l'écume.

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Puis je sentis mon coeur s'envoler,
Et s'orienter vers de lointaine contrées.

Dans un souffle, tel une boême
Je lui dis: "je t'aime"

Et je la serre tout contre moi,
Comme si c'était la dernière fois...

Enfin, la voix de chagrin étranglé,
je lui susurre "mon amour, je doit te quitter..."

Et tel un souffle dans la brume,
J'ai disparu tel la vague sous l'écume.

La laisser là fut un supplice
Et plein de larmes, mes yeux se plissent

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Puis je sentis mon coeur s'envoler,
Et s'orienter vers de lointaine contrées.

Dans un souffle, tel une boême
Je lui dis: "je t'aime"

Et je la serre tout contre moi,
Comme si c'était la dernière fois...

Enfin, la voix de chagrin étranglé,
je lui susurre "mon amour, je doit te quitter..."

Et tel un souffle dans la brume,
J'ai disparu tel la vague sous l'écume.

La laisser là fut un supplice
Et plein de larmes, mes yeux se plissent

Mais l'inconnu je devais affronter
Pour enfin, tout son amour, mériter.

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Puis je sentis mon coeur s'envoler,
Et s'orienter vers de lointaine contrées.

Dans un souffle, tel une boême
Je lui dis: "je t'aime"

Et je la serre tout contre moi,
Comme si c'était la dernière fois...

Enfin, la voix de chagrin étranglé,
je lui susurre "mon amour, je doit te quitter..."

Et tel un souffle dans la brume,
J'ai disparu tel la vague sous l'écume.

La laisser là fut un supplice
Et plein de larmes, mes yeux se plissent

Mais l'inconnu je devais affronter
Pour enfin, tout son amour, mériter.

Et cet ainsi que, le coeur plein de remords,
Je pris la route de ce qui peut être me menera à la mort.

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Puis je sentis mon coeur s'envoler,
Et s'orienter vers de lointaine contrées.

Dans un souffle, tel une boême
Je lui dis: "je t'aime"

Et je la serre tout contre moi,
Comme si c'était la dernière fois...

Enfin, la voix de chagrin étranglé,
je lui susurre "mon amour, je doit te quitter..."

Et tel un souffle dans la brume,
J'ai disparu tel la vague sous l'écume.

La laisser là fut un supplice
Et plein de larmes, mes yeux se plissent

Mais l'inconnu je devais affronter
Pour enfin, tout son amour, mériter.

Et cet ainsi que, le coeur plein de remords,
Je pris la route de ce qui peut être me menera à la mort.

Mais je sais, qu'à la Faucheuse, sans détour,
Je saurai crier le nom de mon Amour.

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Puis je sentis mon coeur s'envoler,
Et s'orienter vers de lointaine contrées.

Dans un souffle, tel une boême
Je lui dis: "je t'aime"

Et je la serre tout contre moi,
Comme si c'était la dernière fois...

Enfin, la voix de chagrin étranglé,
je lui susurre "mon amour, je doit te quitter..."

Et tel un souffle dans la brume,
J'ai disparu tel la vague sous l'écume.

La laisser là fut un supplice
Et plein de larmes, mes yeux se plissent

Mais l'inconnu je devais affronter
Pour enfin, tout son amour, mériter.

Et cet ainsi que, le coeur plein de remords,
Je pris la route de ce qui peut être me menera à la mort.

Mais je sais, qu'à la Faucheuse, sans détour,
Je saurai crier le nom de mon Amour.

Son souvenir au fond de mon coeur
Atténuera chaque jour mes pleures

Citation :

Par une journée ensoleillée,
Me promenant dans la forêt.

Mon regard se porta au ciel
Pour y apercevoir une hirondelle

Le printemps arrivait à grands pas
Les arbres bourgeonnaient ici bas

Une lueur soudain attira mon regard,
Sur la surface d'un lac tel un mirroir

M'approchant alors lentement,
Je pus appercevoir brievement

Le reflet étincelant de la lune
Perçant au milieu des dunes

Du brun sur de l'or...
Un tel paysage qui éclore

La nuit doucement tombait,
Le silence, autour de moi, se faisait...

La fraicheur m'engourdissait
Mais mon esprit résistait

Les yeux levés, je les ai fermés
Et dans un murmure, je peux crier

"Oh toi, bel astre de la nuit
Ne me laisse pas plonger dans l'ennui"

"N'es pas peur douce créature
De toi, je ferai un etre pur"

Je pris alors le chemin du retour,
Où m'attendait mon amour...

Et d'un simple baiser déposé
Je compris qu'il serait mon éternité.

Puis je sentis mon coeur s'envoler,
Et s'orienter vers de lointaine contrées.

Dans un souffle, tel une boême
Je lui dis: "je t'aime"

Et je la serre tout contre moi,
Comme si c'était la dernière fois...

Enfin, la voix de chagrin étranglé,
je lui susurre "mon amour, je doit te quitter..."

Et tel un souffle dans la brume,
J'ai disparu tel la vague sous l'écume.

La laisser là fut un supplice
Et plein de larmes, mes yeux se plissent

Mais l'inconnu je devais affronter
Pour enfin, tout son amour, mériter.

Et cet ainsi que, le coeur plein de remords,
Je pris la route de ce qui peut être me menera à la mort.

Mais je sais, qu'à la Faucheuse, sans détour,
Je saurai crier le nom de mon Amour.

Son souvenir au fond de mon coeur
Atténuera chaque jour mes pleures

Un jour, qui sait, peut-être demain
Je la retrouverai, au bout de mon chemin