LES RUINES D'AMIENS Ruines du village d'Amiens (Comté d'Artois), détruit en février 1459 |
|
| Le livre magique de Minetti | |
|
+4cdingue tiberre misslilly Minetti 8 participants | |
Auteur | Message |
---|
Mastoc Artisan
Nombre de messages : 324 Métier : Boulanger Date d'inscription : 02/06/2007
Feuille de personnage Intelligence: (7/20) Force: (19/20) Charisme: (20/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Jeu 18 Oct - 14:24 | |
| C'est un roman fantastique, on peut pas dire ca? | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Jeu 18 Oct - 14:29 | |
| Attend je demande a mon livre...
Euh...Non désolé...Par contre on peut amener le fantastique comme je vois que t'as très envie de la faire mais pas aussi cruement. Tu pourrait me parler d'un endroit que Jean Martin aurait découvert dans cette même forêt...Une ambiance mystique, des sons effrayants...Mais pas des trucs aussi gros...est ce que tu vois ce que je veux dire; Il faut amener le suspens, la peur ou la joie...Faire vivre ce bouquin quoi!
Allez j'en dit pas plus...A vos plumes... | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Jeu 18 Oct - 14:46 | |
| Bon ok je reprend le controle
Efface les quelques lignes de Mastoc et en écrit de nouvelles:
Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre. Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt | |
| | | Mastoc Artisan
Nombre de messages : 324 Métier : Boulanger Date d'inscription : 02/06/2007
Feuille de personnage Intelligence: (7/20) Force: (19/20) Charisme: (20/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Jeu 18 Oct - 16:38 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre. Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Jeu 18 Oct - 20:58 | |
| Jeu 18 Oct - 14:38
-------------------------------------------------------------------------------- Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre. Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme...De moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. on avait retiré la peau de son visage. A sa vision, jean-martin cru défaillir mais il tenu bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. | |
| | | Julatine Universitaire
Nombre de messages : 896 Métier : Amoureuse, Lieutenant de l'Ost, bouchère. Date d'inscription : 18/03/2007
Feuille de personnage Intelligence: (57/255) Force: (168/255) Charisme: (45/255)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Jeu 18 Oct - 21:36 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre. Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas. | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Jeu 18 Oct - 21:41 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre. Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas. -Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.!Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. | |
| | | Julatine Universitaire
Nombre de messages : 896 Métier : Amoureuse, Lieutenant de l'Ost, bouchère. Date d'inscription : 18/03/2007
Feuille de personnage Intelligence: (57/255) Force: (168/255) Charisme: (45/255)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Jeu 18 Oct - 21:54 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre. Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas. -Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit: -N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat! Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Jeu 18 Oct - 23:37 | |
| Jeu 18 Oct - 19:54
-------------------------------------------------------------------------------- Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite. | |
| | | misslilly Universitaire
Nombre de messages : 3577 Age : 104 Métier : dans le coeur de son rebelle, Athor Date d'inscription : 26/03/2007
Feuille de personnage Intelligence: (114/255) Force: (249/255) Charisme: (255/255)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Ven 19 Oct - 2:45 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale | |
| | | Mastoc Artisan
Nombre de messages : 324 Métier : Boulanger Date d'inscription : 02/06/2007
Feuille de personnage Intelligence: (7/20) Force: (19/20) Charisme: (20/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Ven 19 Oct - 11:01 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. | |
| | | misslilly Universitaire
Nombre de messages : 3577 Age : 104 Métier : dans le coeur de son rebelle, Athor Date d'inscription : 26/03/2007
Feuille de personnage Intelligence: (114/255) Force: (249/255) Charisme: (255/255)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Ven 19 Oct - 12:37 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
[color=red]"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. | |
| | | Mastoc Artisan
Nombre de messages : 324 Métier : Boulanger Date d'inscription : 02/06/2007
Feuille de personnage Intelligence: (7/20) Force: (19/20) Charisme: (20/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Ven 19 Oct - 13:00 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin. | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Ven 19 Oct - 13:41 | |
| Ven 19 Oct - 11:00
-------------------------------------------------------------------------------- Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. | |
| | | Mastoc Artisan
Nombre de messages : 324 Métier : Boulanger Date d'inscription : 02/06/2007
Feuille de personnage Intelligence: (7/20) Force: (19/20) Charisme: (20/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Ven 19 Oct - 14:26 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner. | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Dim 21 Oct - 21:30 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner.
Arrivée devant la modeste bicoque de Caritointoin il hésita à frapper puisque bizaremment il entendit un bruit sourd venant du premier étage de la batisse. Que fabriquait donc le guérisseur? Au même moment, Raymond le charcutier sortit de son échoppe et vit Jean-Martin devant la porte d'entrée de Caritointoin. Il courut à sa rencontre son couteau de cuisine à la main visiblement très heureux de le voir. | |
| | | misslilly Universitaire
Nombre de messages : 3577 Age : 104 Métier : dans le coeur de son rebelle, Athor Date d'inscription : 26/03/2007
Feuille de personnage Intelligence: (114/255) Force: (249/255) Charisme: (255/255)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Lun 22 Oct - 2:56 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner.
Arrivée devant la modeste bicoque de Caritointoin il hésita à frapper puisque bizaremment il entendit un bruit sourd venant du premier étage de la batisse. Que fabriquait donc le guérisseur? Au même moment, Raymond le charcutier sortit de son échoppe et vit Jean-Martin devant la porte d'entrée de Caritointoin. Il courut à sa rencontre son couteau de cuisine à la main visiblement très heureux de le voir. Jean-Martin eut un mouvement de recul quand il vit son ami arrivé sur lui, un couteau à la main. Puis il se mit à sourire et lui dit en plaisantant : Mon ami, que fais tu avec ça dans la main. Qu'ai je encore fait comme bêtise? Je t'ai cassé ou volé quelque chose. Dis moi tout mais par pitié pose ce couteau | |
| | | Mastoc Artisan
Nombre de messages : 324 Métier : Boulanger Date d'inscription : 02/06/2007
Feuille de personnage Intelligence: (7/20) Force: (19/20) Charisme: (20/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Lun 22 Oct - 11:07 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner.
Arrivée devant la modeste bicoque de Caritointoin il hésita à frapper puisque bizaremment il entendit un bruit sourd venant du premier étage de la batisse. Que fabriquait donc le guérisseur? Au même moment, Raymond le charcutier sortit de son échoppe et vit Jean-Martin devant la porte d'entrée de Caritointoin. Il courut à sa rencontre son couteau de cuisine à la main visiblement très heureux de le voir. Jean-Martin eut un mouvement de recul quand il vit son ami arrivé sur lui, un couteau à la main. Puis il se mit à sourire et lui dit en plaisantant :
- Mon ami, que fais tu avec ça dans la main. Qu'ai je encore fait comme bêtise? Je t'ai cassé ou volé quelque chose. Dis moi tout mais par pitié pose ce couteau.
Raymond Bonjeanbon posa son couteau et s'entretint de la sorte avec Jean-Martin:
- He bien Jean-Martin! Comment vas tu vielle quenelle!? Je viens te prevenir que ce cher Caritointoin avait vu dans sa boule de cristale que tu allais venir! Il est en train de s'astiquer les meninges pour mieux te parler de ton probleme sexuel. - Heummm je ne viens pas lui parler de ca... - Ah! Oui oui je sais hehehe! Bien sur, Raymond fit un clin d'oeil a Jean-Martin, en tout cas tu peux entrer il t'attend a l'interieur.
Bonjeanbon, apres avoir repris son couteau, repartit vers ses occupations laissant Jean-Martin en proie a la perplexite complete et a l'abstraction mesentropique. Il entra dans la demeure de Caritointoin. | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Lun 22 Oct - 16:41 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner.
Arrivée devant la modeste bicoque de Caritointoin il hésita à frapper puisque bizaremment il entendit un bruit sourd venant du premier étage de la batisse. Que fabriquait donc le guérisseur? Au même moment, Raymond le charcutier sortit de son échoppe et vit Jean-Martin devant la porte d'entrée de Caritointoin. Il courut à sa rencontre son couteau de cuisine à la main visiblement très heureux de le voir. Jean-Martin eut un mouvement de recul quand il vit son ami arrivé sur lui, un couteau à la main. Puis il se mit à sourire et lui dit en plaisantant :
- Mon ami, que fais tu avec ça dans la main. Qu'ai je encore fait comme bêtise? Je t'ai cassé ou volé quelque chose. Dis moi tout mais par pitié pose ce couteau.
Raymond Bonjeanbon posa son couteau et s'entretint de la sorte avec Jean-Martin:
- He bien Jean-Martin! Comment vas tu vielle quenelle!? Je viens te prevenir que ce cher Caritointoin avait vu dans sa boule de cristale que tu allais venir! Il est en train de s'astiquer les meninges pour mieux te parler de ton probleme sexuel. - Heummm je ne viens pas lui parler de ca... - Ah! Oui oui je sais hehehe! Bien sur, Raymond fit un clin d'oeil a Jean-Martin, en tout cas tu peux entrer il t'attend a l'interieur.
Bonjeanbon, apres avoir repris son couteau, repartit vers ses occupations laissant Jean-Martin en proie a la perplexite complete et a l'abstraction mesentropique. Il entra dans la demeure de Caritointoin.
-Caritointoin?Tu es là? -Entre mon vieil ami. Assieds toi. Prendras tu une tisane? Non attends! Laisse moi devinez.Tu veux une infusion à la fraise des bois.Je l'ai vu dans ma boule de crstal -Non c'était pas ça, mais j'en veux bien une quand même. -Tu viens pour me parler de quelque chose d'important? S'enquis de demander Cari en lui amenant une tasse empli du liquide fumant. -J'ai fait un rêve étrange cette nuit et... Au même moment Guendolina, la promise de Gonzague, le meilleur ami de Jean Martin pénétra dans le hall de Caritointoin. | |
| | | Mastoc Artisan
Nombre de messages : 324 Métier : Boulanger Date d'inscription : 02/06/2007
Feuille de personnage Intelligence: (7/20) Force: (19/20) Charisme: (20/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Lun 22 Oct - 17:08 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner.
Arrivée devant la modeste bicoque de Caritointoin il hésita à frapper puisque bizaremment il entendit un bruit sourd venant du premier étage de la batisse. Que fabriquait donc le guérisseur? Au même moment, Raymond le charcutier sortit de son échoppe et vit Jean-Martin devant la porte d'entrée de Caritointoin. Il courut à sa rencontre son couteau de cuisine à la main visiblement très heureux de le voir. Jean-Martin eut un mouvement de recul quand il vit son ami arrivé sur lui, un couteau à la main. Puis il se mit à sourire et lui dit en plaisantant :
- Mon ami, que fais tu avec ça dans la main. Qu'ai je encore fait comme bêtise? Je t'ai cassé ou volé quelque chose. Dis moi tout mais par pitié pose ce couteau.
Raymond Bonjeanbon posa son couteau et s'entretint de la sorte avec Jean-Martin:
- He bien Jean-Martin! Comment vas tu vielle quenelle!? Je viens te prevenir que ce cher Caritointoin avait vu dans sa boule de cristale que tu allais venir! Il est en train de s'astiquer les meninges pour mieux te parler de ton probleme sexuel. - Heummm je ne viens pas lui parler de ca... - Ah! Oui oui je sais hehehe! Bien sur, Raymond fit un clin d'oeil a Jean-Martin, en tout cas tu peux entrer il t'attend a l'interieur.
Bonjeanbon, apres avoir repris son couteau, repartit vers ses occupations laissant Jean-Martin en proie a la perplexite complete et a l'abstraction mesentropique. Il entra dans la demeure de Caritointoin.
-Caritointoin?Tu es là? -Entre mon vieil ami. Assieds toi. Prendras tu une tisane? Non attends! Laisse moi devinez.Tu veux une infusion à la fraise des bois.Je l'ai vu dans ma boule de cristal -Non c'était pas ça, mais j'en veux bien une quand même. -Tu viens pour me parler de quelque chose d'important? S'enquis de demander Cari en lui amenant une tasse empli du liquide fumant. -J'ai fait un rêve étrange cette nuit et... Au même moment Guendolina, la promise de Gonzague, le meilleur ami de Jean Martin pénétra dans le hall de Caritointoin.
- Caritointoin, dit Guendolina, j'ai trouve cette grenouille a un oeil ce matin et je voulais te la donner pour que... oh! Jean-Martin!
Guendolina fit tomber sa grenouille aux pieds de Jean-Martin, elle se baissa pour la ramasser juste en face de Jean-Martin.
-Que fais-tu ici, dit Guendolina, tu es venu pour demander quelque chose a Caritointoin?
Jean-Martin prefera mentir pour ne pas effrayer la jeunde demoiselle.
-Non heuu oui! J'ai des problemes avec mon cyclope, il pleure souvent en ce moment. -Oh ton cyclope,dit-elle, ca fait longtemps que je n'ai pas vu de bestioles de la sorte! -Gonzague ne te montre pas le sien? Il est pourtant tres gros. -Non il prefere jouer tout seul avec... Bon je laisse la grenouille ici Caritointoin! A bientot Jean-Martin.
Caritointoin et Jean-Martin la saluerent.
-Alors mon petit! Tu as des problemes avec ton cyclope hein!?, Caritointoin fit un clin d'oeil a Jean-Martin comme l'avait fait auparavent Raymond Bonjeanbon. | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Lun 22 Oct - 17:23 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner.
Arrivée devant la modeste bicoque de Caritointoin il hésita à frapper puisque bizaremment il entendit un bruit sourd venant du premier étage de la batisse. Que fabriquait donc le guérisseur? Au même moment, Raymond le charcutier sortit de son échoppe et vit Jean-Martin devant la porte d'entrée de Caritointoin. Il courut à sa rencontre son couteau de cuisine à la main visiblement très heureux de le voir. Jean-Martin eut un mouvement de recul quand il vit son ami arrivé sur lui, un couteau à la main. Puis il se mit à sourire et lui dit en plaisantant :
- Mon ami, que fais tu avec ça dans la main. Qu'ai je encore fait comme bêtise? Je t'ai cassé ou volé quelque chose. Dis moi tout mais par pitié pose ce couteau.
Raymond Bonjeanbon posa son couteau et s'entretint de la sorte avec Jean-Martin:
- He bien Jean-Martin! Comment vas tu vielle quenelle!? Je viens te prevenir que ce cher Caritointoin avait vu dans sa boule de cristale que tu allais venir! Il est en train de s'astiquer les meninges pour mieux te parler de ton probleme sexuel. - Heummm je ne viens pas lui parler de ca... - Ah! Oui oui je sais hehehe! Bien sur, Raymond fit un clin d'oeil a Jean-Martin, en tout cas tu peux entrer il t'attend a l'interieur.
Bonjeanbon, apres avoir repris son couteau, repartit vers ses occupations laissant Jean-Martin en proie a la perplexite complete et a l'abstraction mesentropique. Il entra dans la demeure de Caritointoin.
-Caritointoin?Tu es là? -Entre mon vieil ami. Assieds toi. Prendras tu une tisane? Non attends! Laisse moi devinez.Tu veux une infusion à la fraise des bois.Je l'ai vu dans ma boule de cristal -Non c'était pas ça, mais j'en veux bien une quand même. -Tu viens pour me parler de quelque chose d'important? S'enquis de demander Cari en lui amenant une tasse empli du liquide fumant. -J'ai fait un rêve étrange cette nuit et... Au même moment Guendolina, la promise de Gonzague, le meilleur ami de Jean Martin pénétra dans le hall de Caritointoin.
- Caritointoin, dit Guendolina, j'ai trouve cette grenouille a un oeil ce matin et je voulais te la donner pour que... oh! Jean-Martin!
Guendolina fit tomber sa grenouille aux pieds de Jean-Martin, elle se baissa pour la ramasser juste en face de Jean-Martin.
-Que fais-tu ici, dit Guendolina, tu es venu pour demander quelque chose a Caritointoin?
Jean-Martin prefera mentir pour ne pas effrayer la jeunde demoiselle.
-Non heuu oui! J'ai des problemes avec mon cyclope, il pleure souvent en ce moment. -Oh ton cyclope,dit-elle, ca fait longtemps que je n'ai pas vu de bestioles de la sorte! -Gonzague ne te montre pas le sien? Il est pourtant tres gros. -Non il prefere jouer tout seul avec... Bon je laisse la grenouille ici Caritointoin! A bientot Jean-Martin.
Caritointoin et Jean-Martin la saluerent.
-Alors mon petit! Tu as des problemes avec ton cyclope hein!?, Caritointoin fit un clin d'oeil a Jean-Martin comme l'avait fait auparavent Raymond Bonjeanbon.
-Non je n'ai pas de problème. Il fonctionne bien. Mais j'ai une question Caritointoin? Pouvez vous me montrez le vostre? -Bien entendu Jean Marc... -Non moi c'est Jean Martin! -ah oui pardon Jean Michal...
Le guérisseur se leva et alla fouiller dans son calecon pour en extirper une petite clef qu'il introduisit ensuite dans la serrure d'une petite console en bois. Il attrapa ensuite son cyclope.
-Il est magnifique Caritointoin...Je peux le toucher? -Oui bien sur. Et il lui tendit la magnifique statuette recouverte de feuille d'or. | |
| | | misslilly Universitaire
Nombre de messages : 3577 Age : 104 Métier : dans le coeur de son rebelle, Athor Date d'inscription : 26/03/2007
Feuille de personnage Intelligence: (114/255) Force: (249/255) Charisme: (255/255)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Mar 23 Oct - 12:00 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner.
Arrivée devant la modeste bicoque de Caritointoin il hésita à frapper puisque bizaremment il entendit un bruit sourd venant du premier étage de la batisse. Que fabriquait donc le guérisseur? Au même moment, Raymond le charcutier sortit de son échoppe et vit Jean-Martin devant la porte d'entrée de Caritointoin. Il courut à sa rencontre son couteau de cuisine à la main visiblement très heureux de le voir. Jean-Martin eut un mouvement de recul quand il vit son ami arrivé sur lui, un couteau à la main. Puis il se mit à sourire et lui dit en plaisantant :
- Mon ami, que fais tu avec ça dans la main. Qu'ai je encore fait comme bêtise? Je t'ai cassé ou volé quelque chose. Dis moi tout mais par pitié pose ce couteau.
Raymond Bonjeanbon posa son couteau et s'entretint de la sorte avec Jean-Martin:
- He bien Jean-Martin! Comment vas tu vielle quenelle!? Je viens te prevenir que ce cher Caritointoin avait vu dans sa boule de cristale que tu allais venir! Il est en train de s'astiquer les meninges pour mieux te parler de ton probleme sexuel. - Heummm je ne viens pas lui parler de ca... - Ah! Oui oui je sais hehehe! Bien sur, Raymond fit un clin d'oeil a Jean-Martin, en tout cas tu peux entrer il t'attend a l'interieur.
Bonjeanbon, apres avoir repris son couteau, repartit vers ses occupations laissant Jean-Martin en proie a la perplexite complete et a l'abstraction mesentropique. Il entra dans la demeure de Caritointoin.
-Caritointoin?Tu es là? -Entre mon vieil ami. Assieds toi. Prendras tu une tisane? Non attends! Laisse moi devinez.Tu veux une infusion à la fraise des bois.Je l'ai vu dans ma boule de cristal -Non c'était pas ça, mais j'en veux bien une quand même. -Tu viens pour me parler de quelque chose d'important? S'enquis de demander Cari en lui amenant une tasse empli du liquide fumant. -J'ai fait un rêve étrange cette nuit et... Au même moment Guendolina, la promise de Gonzague, le meilleur ami de Jean Martin pénétra dans le hall de Caritointoin.
- Caritointoin, dit Guendolina, j'ai trouve cette grenouille a un oeil ce matin et je voulais te la donner pour que... oh! Jean-Martin!
Guendolina fit tomber sa grenouille aux pieds de Jean-Martin, elle se baissa pour la ramasser juste en face de Jean-Martin.
-Que fais-tu ici, dit Guendolina, tu es venu pour demander quelque chose a Caritointoin?
Jean-Martin prefera mentir pour ne pas effrayer la jeunde demoiselle.
-Non heuu oui! J'ai des problemes avec mon cyclope, il pleure souvent en ce moment. -Oh ton cyclope,dit-elle, ca fait longtemps que je n'ai pas vu de bestioles de la sorte! -Gonzague ne te montre pas le sien? Il est pourtant tres gros. -Non il prefere jouer tout seul avec... Bon je laisse la grenouille ici Caritointoin! A bientot Jean-Martin.
Caritointoin et Jean-Martin la saluerent.
-Alors mon petit! Tu as des problemes avec ton cyclope hein!?, Caritointoin fit un clin d'oeil a Jean-Martin comme l'avait fait auparavent Raymond Bonjeanbon.
-Non je n'ai pas de problème. Il fonctionne bien. Mais j'ai une question Caritointoin? Pouvez vous me montrez le vostre? -Bien entendu Jean Marc... -Non moi c'est Jean Martin! -ah oui pardon Jean Michal...
Le guérisseur se leva et alla fouiller dans son calecon pour en extirper une petite clef qu'il introduisit ensuite dans la serrure d'une petite console en bois. Il attrapa ensuite son cyclope.
-Il est magnifique Caritointoin...Je peux le toucher? -Oui bien sur. Et il lui tendit la magnifique statuette recouverte de feuille d'or. Jean-Martin prit la statuette dans ses mains et l'examina avec attention, puis la reposa sur la table. - Alors, voilà, je suis là pour te raconter le rêve étrange que j'ai fait cette nuit. Dis moi s'il a une signication | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Mar 23 Oct - 15:07 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner.
Arrivée devant la modeste bicoque de Caritointoin il hésita à frapper puisque bizaremment il entendit un bruit sourd venant du premier étage de la batisse. Que fabriquait donc le guérisseur? Au même moment, Raymond le charcutier sortit de son échoppe et vit Jean-Martin devant la porte d'entrée de Caritointoin. Il courut à sa rencontre son couteau de cuisine à la main visiblement très heureux de le voir. Jean-Martin eut un mouvement de recul quand il vit son ami arrivé sur lui, un couteau à la main. Puis il se mit à sourire et lui dit en plaisantant :
- Mon ami, que fais tu avec ça dans la main. Qu'ai je encore fait comme bêtise? Je t'ai cassé ou volé quelque chose. Dis moi tout mais par pitié pose ce couteau.
Raymond Bonjeanbon posa son couteau et s'entretint de la sorte avec Jean-Martin:
- He bien Jean-Martin! Comment vas tu vielle quenelle!? Je viens te prevenir que ce cher Caritointoin avait vu dans sa boule de cristale que tu allais venir! Il est en train de s'astiquer les meninges pour mieux te parler de ton probleme sexuel. - Heummm je ne viens pas lui parler de ca... - Ah! Oui oui je sais hehehe! Bien sur, Raymond fit un clin d'oeil a Jean-Martin, en tout cas tu peux entrer il t'attend a l'interieur.
Bonjeanbon, apres avoir repris son couteau, repartit vers ses occupations laissant Jean-Martin en proie a la perplexite complete et a l'abstraction mesentropique. Il entra dans la demeure de Caritointoin.
-Caritointoin?Tu es là? -Entre mon vieil ami. Assieds toi. Prendras tu une tisane? Non attends! Laisse moi devinez.Tu veux une infusion à la fraise des bois.Je l'ai vu dans ma boule de cristal -Non c'était pas ça, mais j'en veux bien une quand même. -Tu viens pour me parler de quelque chose d'important? S'enquis de demander Cari en lui amenant une tasse empli du liquide fumant. -J'ai fait un rêve étrange cette nuit et... Au même moment Guendolina, la promise de Gonzague, le meilleur ami de Jean Martin pénétra dans le hall de Caritointoin.
- Caritointoin, dit Guendolina, j'ai trouve cette grenouille a un oeil ce matin et je voulais te la donner pour que... oh! Jean-Martin!
Guendolina fit tomber sa grenouille aux pieds de Jean-Martin, elle se baissa pour la ramasser juste en face de Jean-Martin.
-Que fais-tu ici, dit Guendolina, tu es venu pour demander quelque chose a Caritointoin?
Jean-Martin prefera mentir pour ne pas effrayer la jeunde demoiselle.
-Non heuu oui! J'ai des problemes avec mon cyclope, il pleure souvent en ce moment. -Oh ton cyclope,dit-elle, ca fait longtemps que je n'ai pas vu de bestioles de la sorte! -Gonzague ne te montre pas le sien? Il est pourtant tres gros. -Non il prefere jouer tout seul avec... Bon je laisse la grenouille ici Caritointoin! A bientot Jean-Martin.
Caritointoin et Jean-Martin la saluerent.
-Alors mon petit! Tu as des problemes avec ton cyclope hein!?, Caritointoin fit un clin d'oeil a Jean-Martin comme l'avait fait auparavent Raymond Bonjeanbon.
-Non je n'ai pas de problème. Il fonctionne bien. Mais j'ai une question Caritointoin? Pouvez vous me montrez le vostre? -Bien entendu Jean Marc... -Non moi c'est Jean Martin! -ah oui pardon Jean Michal...
Le guérisseur se leva et alla fouiller dans son calecon pour en extirper une petite clef qu'il introduisit ensuite dans la serrure d'une petite console en bois. Il attrapa ensuite son cyclope.
-Il est magnifique Caritointoin...Je peux le toucher? -Oui bien sur. Et il lui tendit la magnifique statuette recouverte de feuille d'or. Jean-Martin prit la statuette dans ses mains et l'examina avec attention, puis la reposa sur la table. - Alors, voilà, je suis là pour te raconter le rêve étrange que j'ai fait cette nuit. Dis moi s'il a une signification?
Arpès avoir écouté attentivement le récit de son ami. Caritointoin lui préconisa d'aller avoir Asmatix, l'herboriste du coin. Il trouvait son rève intéressant et le guérissuer était persuadé que c'était lié au passé de Jean-Martin. Pour vérifier il fallait qu'Asmatix lui prépare une de ses plus puissante potion. -Je viens avec toi Jean Martin si tu veux. -Avec joie!
Et il partirent chez l'herboriste à l'est d'Amiens. | |
| | | Mastoc Artisan
Nombre de messages : 324 Métier : Boulanger Date d'inscription : 02/06/2007
Feuille de personnage Intelligence: (7/20) Force: (19/20) Charisme: (20/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Mar 23 Oct - 15:21 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner.
Arrivée devant la modeste bicoque de Caritointoin il hésita à frapper puisque bizaremment il entendit un bruit sourd venant du premier étage de la batisse. Que fabriquait donc le guérisseur? Au même moment, Raymond le charcutier sortit de son échoppe et vit Jean-Martin devant la porte d'entrée de Caritointoin. Il courut à sa rencontre son couteau de cuisine à la main visiblement très heureux de le voir. Jean-Martin eut un mouvement de recul quand il vit son ami arrivé sur lui, un couteau à la main. Puis il se mit à sourire et lui dit en plaisantant :
- Mon ami, que fais tu avec ça dans la main. Qu'ai je encore fait comme bêtise? Je t'ai cassé ou volé quelque chose. Dis moi tout mais par pitié pose ce couteau.
Raymond Bonjeanbon posa son couteau et s'entretint de la sorte avec Jean-Martin:
- He bien Jean-Martin! Comment vas tu vielle quenelle!? Je viens te prevenir que ce cher Caritointoin avait vu dans sa boule de cristale que tu allais venir! Il est en train de s'astiquer les meninges pour mieux te parler de ton probleme sexuel. - Heummm je ne viens pas lui parler de ca... - Ah! Oui oui je sais hehehe! Bien sur, Raymond fit un clin d'oeil a Jean-Martin, en tout cas tu peux entrer il t'attend a l'interieur.
Bonjeanbon, apres avoir repris son couteau, repartit vers ses occupations laissant Jean-Martin en proie a la perplexite complete et a l'abstraction mesentropique. Il entra dans la demeure de Caritointoin.
-Caritointoin?Tu es là? -Entre mon vieil ami. Assieds toi. Prendras tu une tisane? Non attends! Laisse moi devinez.Tu veux une infusion à la fraise des bois.Je l'ai vu dans ma boule de cristal -Non c'était pas ça, mais j'en veux bien une quand même. -Tu viens pour me parler de quelque chose d'important? S'enquis de demander Cari en lui amenant une tasse empli du liquide fumant. -J'ai fait un rêve étrange cette nuit et... Au même moment Guendolina, la promise de Gonzague, le meilleur ami de Jean Martin pénétra dans le hall de Caritointoin.
- Caritointoin, dit Guendolina, j'ai trouve cette grenouille a un oeil ce matin et je voulais te la donner pour que... oh! Jean-Martin!
Guendolina fit tomber sa grenouille aux pieds de Jean-Martin, elle se baissa pour la ramasser juste en face de Jean-Martin.
-Que fais-tu ici, dit Guendolina, tu es venu pour demander quelque chose a Caritointoin?
Jean-Martin prefera mentir pour ne pas effrayer la jeunde demoiselle.
-Non heuu oui! J'ai des problemes avec mon cyclope, il pleure souvent en ce moment. -Oh ton cyclope,dit-elle, ca fait longtemps que je n'ai pas vu de bestioles de la sorte! -Gonzague ne te montre pas le sien? Il est pourtant tres gros. -Non il prefere jouer tout seul avec... Bon je laisse la grenouille ici Caritointoin! A bientot Jean-Martin.
Caritointoin et Jean-Martin la saluerent.
-Alors mon petit! Tu as des problemes avec ton cyclope hein!?, Caritointoin fit un clin d'oeil a Jean-Martin comme l'avait fait auparavent Raymond Bonjeanbon.
-Non je n'ai pas de problème. Il fonctionne bien. Mais j'ai une question Caritointoin? Pouvez vous me montrez le vostre? -Bien entendu Jean Marc... -Non moi c'est Jean Martin! -ah oui pardon Jean Michal...
Le guérisseur se leva et alla fouiller dans son calecon pour en extirper une petite clef qu'il introduisit ensuite dans la serrure d'une petite console en bois. Il attrapa ensuite son cyclope.
-Il est magnifique Caritointoin...Je peux le toucher? -Oui bien sur. Et il lui tendit la magnifique statuette recouverte de feuille d'or. Jean-Martin prit la statuette dans ses mains et l'examina avec attention, puis la reposa sur la table. - Alors, voilà, je suis là pour te raconter le rêve étrange que j'ai fait cette nuit. Dis moi s'il a une signification?
Arpès avoir écouté attentivement le récit de son ami. Caritointoin lui préconisa d'aller avoir Asmatix, l'herboriste du coin. Il trouvait son rève intéressant et le guérissuer était persuadé que c'était lié au passé de Jean-Martin. Pour vérifier il fallait qu'Asmatix lui prépare une de ses plus puissante potion. -Je viens avec toi Jean Martin si tu veux. -Avec joie!
Et il partirent chez l'herboriste à l'est d'Amiens. Jean-Martin repensat a son reve et en eu froid dans le dos. Lorsque le nain lui avait retire l'oeil alors qu'il etait toujours vivant. -Aaaaah!!, fit t'il. -Mais qu'est ce qui t'arrive Jean-Martin? Encore ce probleme de cyclope? -Non non ca va Caritointoin ne t'inquiete pas.
Arrives devant la porte de Asmatix, Jean-Martin sentit une etrange odeur sortir de la maison d'Asmatix. Il taperent a la porte et une voix leur pria de rentrer.
-Bonjour Asmatix! Nous venons te parler d'une etrange affaire, dit Caritointoin.
Asmatix etait dans son bain bouillonant et fume une pipe d'ou sortait une fume verte et dense.
-Maaaiiis oui! Mais prenez vote temps les rastaboys, prenez un siege et prenez une pipe, dit Asmatix. -Il faut que tu nous prepare une potion Asmatix, dit Caritointoin en s'asseyant et prenant la pipe. Jean-Martin pris une pipe que Caritointoin alluma.
-C'est pour les problemes sexuels de Jean-Martin? -Non Asmatix... Il a fait un reve etrange ce matin. -Moi aussi je fais des reves bizarres tous les jours, avanca Asmatix. -Mais celui la est pas banal tu verras.
Caritointoin raconta l'histoire de Jean-Martin tandis que celui-ci continue de fumer. Au bout de quelque bouffee, il devint aussi vert que les vapeurs de fumes sortant de sa pipe. | |
| | | Minetti Cultivateur/trice
Nombre de messages : 219 Age : 38 Métier : Maraicher Date d'inscription : 14/10/2007
Feuille de personnage Intelligence: (26/20) Force: (4/20) Charisme: (2/20)
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti Mar 23 Oct - 16:13 | |
| Il y a fort longtemps dans une forêt non loin d'Amiens, un jeune garçon, au regard triste et à l'apparence solitaire, semblait prier, assis au pied d'un chêne en realite il lisait un livre de droit. Il tenait dans sa main sa grosse besace et fouillat a l'interieur.
"Nom d'une pipe!, dit-il, j'ai perdu mon pain! On a du me le voler!
Mais qui lui avait vole son pain, peu etre Raymond le charcutier ou Guendolina la promise de son meilleur ami. Jean-Martin, tel etait le nom ce gaillard, était le sergent du guet d'Amiens, un bon parti pour elle. Enfin bref, il lui fallait retrouver un nouveau pain. Il se leva, regarda tout autour de lui et s'arrêta quand il vit devant lui un petit écureuil. Alors il s'approcha tout doucement mais celui s'enfuit effrayé, alors Jean-Martin décida de le suivre.
Il courut a travers les mauvaises herbes et les arbres gigantesques de la foret tenebreuse, l'ecureuil sautillait sur un chemin de plus en plus sinueux. C'est alors qu'il vit dérière une souche d'un arbre, un coutelas usé par le temps. Il inspecta avec minutie en prenant ses précautions quand soudain il entendit des chuchotements. Il lacha le coutelas et se colla contre un tronc d'arbre. Un frisson lui parcouru tout le corps. Il déglutit en pensant qu'il n'aurait peut être pa du s'enfoncer dans cette forêt. Malgre sa peur insoutenable, Jean-Martin risqua un coup d'oeil vers les chuchotements. Ce qu'il vit etait insoutenable, son effroi etait tel que ses jambes furent comme prises de petrification. Il vit ceci: Deux nains étaient affairés à dépouiller un homme... Du moins ce qu'il en restait. Le corps était criblé de marque de strangulation. On avait retiré la peau de son visage. A sa vision, Jean-Jartin cru défaillir mais il tenut bon attrapa le cor qu'il portait toujours à sa ceinture et souffla deux fois pour alerter une patrouille. Mal lui en pris car aussitôt les nains se trounèrent vers lui. Jusqu'à présent, l'ombre des arbres l'avait abrité mais maintenant ce n'était plus le cas.
-Non messire, ce n'est pas ce que vous croyez!!! Dit l'un des deux nain en cachant dans une de ses poches de ses braies, une bourse empli d'écus. -N'approchez pas vous.! Il repensa au coutelas sur cette souche d'arbre. Il aurait du peut être le prendre. D'une voix mal assurée mais qu'il voulut ferme, Jean-Martin leur dit:
-N'approchez pas où vous verrez ce qu'il vous en coûterat!
Les deux nains échangèrent un regard que Jean-Martin n'eu pas le loisir de déchiffrer. Ils tournèrent les talons et s'enfoncèrent dans la végètation sans que le jeune homme n'est pu faire quoique ce soit pour les retenir. Il se retrouva seul face à la dépouille de l'homme, ne sachant quoi faire. Il avait plusieurs possibilités: Soit il attendait la patrouille qui n'allait pas tarder a arriver. Ou alors s'enfoncer dans le bois pour rattraper les deux malffaiteurs...Il fallait agir et vite.
Il prit son courage à deux mains et jugeant qu'il ne pouvait plus rien faire pour cet homme, il se lanca à la poursuite des deux malfaiteurs. Commenca alors une course poursuite infernale. Les nains malgre leurs petites jambes dodues sautillaient rapidement entre les herbes folles de la foret, par contre Jean-Martin qui s'etait faconne depuis de longues annees un bide grace a un entrainement acharne a la biere avait vraiment du mal a les suivre. Il continua à courrir avec difficulté, quand tout à coup il se prit les pieds dans une souche, il s'affala de tout son long et eut juste le temps de voir les deux nains avant de perdre connaissance. Les deux malfaiteurs s'arrêterent sur le champs et firent demi tour, ils s'approchèrent de Jean-Martin, un sourire se dessinait sur leur lèvres. Le plus petit des nains prit son couteau et commenca a decoupe le visage de Jean-Martin en commencant pret de l'oreille. L'autre fouillait pendant ce temps la ses poches.
- Hehe retire lui bien son visage, il pourrat nous etre bien utile! - T'inquiete, c'est juste les yeux que j'arrive pas trop a retirer la...
Apres un coup brutal, le nain retira le dernier oeil de Jean-Martin.
Jean-Martin ouvris les yeux. Il émergea d’un demi-sommeil. Des sueurs glacées lui parcourait la nuque et glissait le long de son dos. Sa respiration était saccadée, son cœur frappait contre sa poitrine à une vitesse folle. Assis dans son lit, le dos recourbé, il passa ses mains sur son visage tentant de se débarrasser de ce voile de fatigue qui marquait son visage. Il avait Les yeux cernés, les mèches de cheveux ébouriffés, la bouche pâteuse...
Ouf ce n'était qu'un rève...pensa t-il. Il se leva et allat prendre son petit dejeune a base de tripes grilles avec un tasse de lait. Depuis que sa femme l'avait quitte pour un acrobate du cirque Penzerini Jean-Martin avait adopte un regime culinaire assez difficile.
Quel reve etrange, se dit-il, il etait presque reel. Je devrais aller voir Caritointoin le guerisseur du village, il connait beaucoup de legende, il pourrat peu etre me renseigner.
Arrivée devant la modeste bicoque de Caritointoin il hésita à frapper puisque bizaremment il entendit un bruit sourd venant du premier étage de la batisse. Que fabriquait donc le guérisseur? Au même moment, Raymond le charcutier sortit de son échoppe et vit Jean-Martin devant la porte d'entrée de Caritointoin. Il courut à sa rencontre son couteau de cuisine à la main visiblement très heureux de le voir. Jean-Martin eut un mouvement de recul quand il vit son ami arrivé sur lui, un couteau à la main. Puis il se mit à sourire et lui dit en plaisantant :
- Mon ami, que fais tu avec ça dans la main. Qu'ai je encore fait comme bêtise? Je t'ai cassé ou volé quelque chose. Dis moi tout mais par pitié pose ce couteau.
Raymond Bonjeanbon posa son couteau et s'entretint de la sorte avec Jean-Martin:
- He bien Jean-Martin! Comment vas tu vielle quenelle!? Je viens te prevenir que ce cher Caritointoin avait vu dans sa boule de cristale que tu allais venir! Il est en train de s'astiquer les meninges pour mieux te parler de ton probleme sexuel. - Heummm je ne viens pas lui parler de ca... - Ah! Oui oui je sais hehehe! Bien sur, Raymond fit un clin d'oeil a Jean-Martin, en tout cas tu peux entrer il t'attend a l'interieur.
Bonjeanbon, apres avoir repris son couteau, repartit vers ses occupations laissant Jean-Martin en proie a la perplexite complete et a l'abstraction mesentropique. Il entra dans la demeure de Caritointoin.
-Caritointoin?Tu es là? -Entre mon vieil ami. Assieds toi. Prendras tu une tisane? Non attends! Laisse moi devinez.Tu veux une infusion à la fraise des bois.Je l'ai vu dans ma boule de cristal -Non c'était pas ça, mais j'en veux bien une quand même. -Tu viens pour me parler de quelque chose d'important? S'enquis de demander Cari en lui amenant une tasse empli du liquide fumant. -J'ai fait un rêve étrange cette nuit et... Au même moment Guendolina, la promise de Gonzague, le meilleur ami de Jean Martin pénétra dans le hall de Caritointoin.
- Caritointoin, dit Guendolina, j'ai trouve cette grenouille a un oeil ce matin et je voulais te la donner pour que... oh! Jean-Martin!
Guendolina fit tomber sa grenouille aux pieds de Jean-Martin, elle se baissa pour la ramasser juste en face de Jean-Martin.
-Que fais-tu ici, dit Guendolina, tu es venu pour demander quelque chose a Caritointoin?
Jean-Martin prefera mentir pour ne pas effrayer la jeunde demoiselle.
-Non heuu oui! J'ai des problemes avec mon cyclope, il pleure souvent en ce moment. -Oh ton cyclope,dit-elle, ca fait longtemps que je n'ai pas vu de bestioles de la sorte! -Gonzague ne te montre pas le sien? Il est pourtant tres gros. -Non il prefere jouer tout seul avec... Bon je laisse la grenouille ici Caritointoin! A bientot Jean-Martin.
Caritointoin et Jean-Martin la saluerent.
-Alors mon petit! Tu as des problemes avec ton cyclope hein!?, Caritointoin fit un clin d'oeil a Jean-Martin comme l'avait fait auparavent Raymond Bonjeanbon.
-Non je n'ai pas de problème. Il fonctionne bien. Mais j'ai une question Caritointoin? Pouvez vous me montrez le vostre? -Bien entendu Jean Marc... -Non moi c'est Jean Martin! -ah oui pardon Jean Michal...
Le guérisseur se leva et alla fouiller dans son calecon pour en extirper une petite clef qu'il introduisit ensuite dans la serrure d'une petite console en bois. Il attrapa ensuite son cyclope.
-Il est magnifique Caritointoin...Je peux le toucher? -Oui bien sur. Et il lui tendit la magnifique statuette recouverte de feuille d'or. Jean-Martin prit la statuette dans ses mains et l'examina avec attention, puis la reposa sur la table. - Alors, voilà, je suis là pour te raconter le rêve étrange que j'ai fait cette nuit. Dis moi s'il a une signification?
Arpès avoir écouté attentivement le récit de son ami. Caritointoin lui préconisa d'aller avoir Asmatix, l'herboriste du coin. Il trouvait son rève intéressant et le guérissuer était persuadé que c'était lié au passé de Jean-Martin. Pour vérifier il fallait qu'Asmatix lui prépare une de ses plus puissante potion. -Je viens avec toi Jean Martin si tu veux. -Avec joie!
Et il partirent chez l'herboriste à l'est d'Amiens. Jean-Martin repensat a son reve et en eu froid dans le dos. Lorsque le nain lui avait retire l'oeil alors qu'il etait toujours vivant. -Aaaaah!!, fit t'il. -Mais qu'est ce qui t'arrive Jean-Martin? Encore ce probleme de cyclope? -Non non ca va Caritointoin ne t'inquiete pas.
Arrives devant la porte de Asmatix, Jean-Martin sentit une etrange odeur sortir de la maison d'Asmatix. Il taperent a la porte et une voix leur pria de rentrer.
-Bonjour Asmatix! Nous venons te parler d'une etrange affaire, dit Caritointoin.
Asmatix etait dans son bain bouillonant et fume une pipe d'ou sortait une fume verte et dense.
-Maaaiiis oui! Mais prenez vote temps les rastaboys, prenez un siege et prenez une pipe, dit Asmatix. -Il faut que tu nous prepare une potion Asmatix, dit Caritointoin en s'asseyant et prenant la pipe. Jean-Martin pris une pipe que Caritointoin alluma.
-C'est pour les problemes sexuels de Jean-Martin? -Non Asmatix... Il a fait un reve etrange ce matin. -Moi aussi je fais des reves bizarres tous les jours, avanca Asmatix. -Mais celui la est pas banal tu verras.
Caritointoin raconta l'histoire de Jean-Martin tandis que celui-ci continue de fumer. Au bout de quelque bouffee, il devint aussi vert que les vapeurs de fumes sortant de sa pipe.
-Bon Diou Jean-tointoin, lache cette pipe...Tu va t'intoxiqué! -Non moi c'est Jean-Martin monsieur: Il écouta les conseils de l'herboriste et posa sa pipe sur une console en bois. Asmatix se rinça avec deux sauts d'eaux chaude et se décida à sortir du bain. Il demanda à ses hotes de se tourner car il était pudique. Il les invita ensuite à regagner une table ou se dressait des tube a essai plantes biscornu et autre outil servant a distiller. -Je vais te préparer une potion mon bonhomme. En effet ton rêve est étrange et que vais essayer de comprendre ce qui ne va pas chez toi. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Le livre magique de Minetti | |
| |
| | | | Le livre magique de Minetti | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|