les frasques poésiques de Gintox

A mon grand bonheur, il bat à chaque heure
Pour me dire son ardeur et chanter ses malheurs.
Mon coeur ne saigne plus, il se ravi même du surplus
Il est fier et serein et s'agite quelques fois pour une Belle
Il est vif et rapide, se relâche splendide puis devient avide
Les feuilles mortes lui enivrent le coeur à mon coeur, il vit
Les pages vides ne souffriront plus maintenant il ecrit et lit
Les tempêtes, il essuie. Les coups durs, il oublie. Il sourit.
De temps en temps, me rappelle à l'ordre et tout le mal
s'enfuit. Son emprise est si forte que rien de moi ne
résiste à sa grandeur et sa puissance. Il pianote
à foison au risque de me faire exploser, voire
même, pleurer. A mon grand bonheur, il se
débat à chaque heure pour me dire son
ardeur... Mais, mon coeur est trop
large pour emplir cette page

Vu le sang qui s'écoule de mes mains,
Où est le jour, où j'arriverais à mes fins ?
Si seulement quelqu'un pouvait me le dire
Je n'aurais plus d'autre terme que le sourire
Seulement si on me laissait fermer les yeux
Le Diable deviendrait peut-être votre dieu
Quand les bras de Lucifer se sont ouverts
Etait-il au moins une fois sur Terre

Et je cherche le chemin, je crève les abcès
Je donne la main, je fais fi des décès
Tout ce que je vois, c'est la mort qui manipule
Et je perds en ce que je crois, je capitule

Ma croix s'est pliée sur une exactitude
Mon sentier de désarroi est empli de solitude
Rêve après reve, je deviens un cauchemar
Si ma tête était une prison, je serais le bagnard
Damoclès, prends le glaive, qu'il s'avive sur moi
Que ceci m'amène de l'eau vive jusqu'au trépas
Car la peur, je ne connais plus, sauf celle de vivre
Il doit y avoir, en Enfer, un coin pour survivre

Il restent des rêves inavoués où le mal est omniprésent
On ressent la chaleur hivernale de la lavande
Le noir devient jour et la nuit devient aurore
Toutes les choses que je détestais, je les adore
Une blessure ne fera plus mal, plus jamais...
J'arbore l'étendard du superficiel, mais aussi de la fierté

Je suis un crève-coeur
Je ne demande pas le bonheur
Juste une once de résolutions
Pour me donner ma petite évolution

Coupale de n'être que l'ombre de moi-même
Sans meubles ou parasites qui m'aiment
Restant seul avec les mains froides dans les poches
Plus je prends le chemin, plus les fleurs sont moches
Les iris sembles se trasformer en opiacées
Les orties ont tendance à se glisser dans les petits rosiers

Diable, pardonne à dieu son petit échec
En vain, il aura essayé de faire avec
Mais je déteste ses tapis de nuages
Je m'en remet à toi pour avoir la rage !

Mon ange s'est fait enlever par une gargouille
Ce qui me manque, en soit, c'est que je la chatouille
Des croissants, des bonbons, quelques gourmandises
Des fausses fessées, ou juste des petites bises

Juste ça ma chérie
Juste un moment de ma vie
Juste un moment de notre vie
je t'aime et t'aimerais toujours

..................................

les frasques poésiques de Gintox Taniabi5.th

C'est pas parce que t'es noir,
Que tu es différent
On a les mêmes mémoires,
On a le même sang

Ceux qui disent que c'est faux
Que tu ne les vaux pas
Ce sont tous des idiots,
Surtout ne les crois pas

C'est parce que t'es jaune,
Que tu es différent
On vit dans la même zone
on aime les mêmes gens

Ce qui disent que c'est faux
Que tu ne les vaux pas
Ce sont tous des idiots,
Surtout ne les crois pas

C'est pas parce que t'es blanc
Que tu dois faire la loi
Tu n'es pas différent
Mais ça, toi tu le crois

Etrait de la Jeunesse Rebelle Anarchiste et Antiraciste Lycéenne (1995)

trop belle ta fille Gin

et trop beau tes poèmes

a bientôt

bisous

merci beaucoup lilly
A bientot oui
bounce

Fait gaffe a cette meuf Gintoxic, elle est dangeureuse.

T'es peu etre sa prochaine proie!!!

Fais gaffe derriere toi!!!! AAaaaaaaaaaaaaahh!! affraid

arrête de dire des bêtises Gin c kom un frère pour moi

Ce matin, le ciel a volé le soleil
Les nuages en colère ont pris sa place
Les feuilles ont péri et volent maintenant
Le seules lueurs sont celles des lampadaires
Personne dans les rues du royaume urbain
Les oiseaux fuient le temps morne et se cachent
Mon mégot s'éteint ; triste fatalité, il meurt
Fini l'Eden d'un semestre gracieux

refrain :
Le soleil luit dans mon coeur
Ses rayons transpercent les nuages
Le soleil luit pour mon coeur
J'en oublie le son des orages

Cet après midi, je la rencontre à nouveau
Fleur de mai, aussi douce que le muguet
Saveur suave, elle brille de mille éclats
Son parfum va encore m'enivrer, Cigale
Sa voix, ses paroles, son décolleté charmant
Ces bras délicieux, ses baises ragoutants
Nos couchés de soleil, tous les deux au Levant

ref

J'ai hâte de voir celle qui illumine mes nuits
Cette petite déesse qui me fait devenir grand
Me sort la tête hors de l'eau vaseuse de ce monde
Transforme mon Enfer en Paradis sucré, sacré
Cette fois, c'est moi qui ai décidé de la destination
Gare du Nord guidera nos pas ; beaux, ils seront à nouveau
Les nuages filent toujours et j'attends tremblant
Même si elle me rassure, j'ai peur de lui déplaire

ref

La nuit est là, je suis dans le train BIPE
J'ai encore passé un extraordinaire aprem'
Je relis et relis ce poème : "l'isolement"
Et me ressasse : "un seul être vous manque et tout est dépeuplé"
C'est le cas, en effet, mon ventre se tord au long des rails
Cette balade que nous avons déjà faite ; ces statues de bronze
Le Levant nous accueille encore ; futile absurdité
La bougie, ses lueurs, mes pleurs... Elle est là et me prends dans ses bras

ref

Eusse-t-il fallut que je naisse plus tard. Non !
Elle aime ce que je suis, tel que je suis. Oui !
Son sourire, ses étreintes marquent pour toujours son empreinte
Les maisons défilent, les voitures aussi, mais Elle reste figée
Ce soir, à la maison, je regarderai le ciel et je la verrai
Lueur incessante qui illumine mon royaume
Stradivarius intense, ta musique adoucit mes moeurs

non je ne crois pas t'inquiete Mastoc
c'est le "Sista Powa"

Mon Béru, tu me manques trop, tu étais mon frangin
On était adultes, mais on persistait à rester gamins
Comme si la maturitén nous retenait en enfance
Même parfois, mes yeux suintent quand j'y repense
C'est une blessure difficile à panser, à cicatriser
On est là et las, et ça c'est dur à se reboucher

ref
Tu es là-haut et nous en bas
Sans que l'on ait pu de prendre en nos bras
C'est comme un couteau mal aiguisé
Un pieu bien taillé et mal enfoncé

Tu es dans les mémoires de tous, même de ceux qui t'ont détesté
Aux chiottes ces enc..., de toute façon, je les ai déjà oublié
Mon souhait, c'est que tu sois bien au Paradis des Nez Rouges
On a trouvé notre chemin, mais moi faut que je bouge
T'en fais pas pour moi, tout va se décanter et vite
Et très vite, parce que j'en ai marre de prendre la fuite

ref

Ouais mon Béru, tu vas être fier de moi
Promis, je veux vivre, garde la foi, je pense à toi
Passe le bonjour à ma mémère, elle va t'adorer
Et puis tous les deux, ça va être Beaujolet et cassoulet
Une farandole d'images, plus folles les unes que les autres
Et pour peu que tu sois un roi, tu auras tes apôtres

ref

Mon pote à jamais, je t'aimerais toujours
Je repense aux purs moments de bonheur en cours
Les délires qu'on a pu avoir, les délices de la bière
Maintenant, je me rappelle aussi le jours où tu étais dans cette bière
J'aurais préféré que ce corps soit le mien
Mais leur dieu a décidé que se serait le tien

A bientôt mon pote
On t'aime

Mes rêves restent oubliés, mais le silence est d'or
Mais aujourd'hui, je meurs, je dors dehors
Je n'attends plus rien de personne
Pour moi la vie est bien trop bonne

Je me réhydrate de malédictions
Je me gorge de fausses définitions
Des rambardes qui m'empêchent de couler
Des rêves complètement oubliés
Le passé

Dieu est fier de moi, mais je ne le suis pas de lui
Si je dois faire mon dernier geste, j'appuie...
Ce morceau de métal, je le porterai sur ma croix
Je serai le dernier juge, à ma dernière loi

Tant pis si mes erreurs ne m'emmènent nulle part
Je suis joyeux, mais juste à un petit quart
Dans mes rêves, il y a des lapins surexcités
Une sirne chantant toutes mes fatales destinées
Ca devait être le mauvais jour pour moi
Oui, quelque chose comme ça

C'est comme ça !
Juste un mauvais jour
Ne plus connaitre l'amour
C'est comme ça

Kri2s donne son dernier poème à dieu
Mais il ne peut l'envoyer vers les cieux
Je voudrais renaitre, sans en vouloir à personne
Me donner la mort et que tout le monde me pardonne
Ca devait être un mauvais jour pour moi
Ouais quelque chose comme ça

Berce la neige, le froid la gèle
Coule la pluie, tu fais la grêle
Tes ne sont plus acérées. Non plus jamais
Plus de faux espoirs, où tu me diras : : "mais..."
Je veux et j'exige de la revoir
Mes nuits sont blanches et mes jours sont noirs

Ramène-la !
Je ne supporte plus son absence
Je veux la revoir avant son adolescence
Ramène-la !

Ca me ronge de ne plus voir ce petit être
De voir sa photo qui reste là, comme un spectre
Une image erronée qui me fait me demander pourquoi
Tant de vilénies, tant d'inepties de ta part
Ca doit être un rêve où le héros viendra la chercher
Dans le château où sa marâtre l'emprisonnait

Je serai son cheval blanc ; fier destrier !

Dès que le jour se lève, je rêve de ne plus descendre
Rester dans mon carcan infâme, qu'est ma chambre
A me remettre en question : "pourquoi suis-je né ?"
Toujours et toujours, je me le suis demandé
Des larmes acides. Pourquoi cette maternité ?
C'est ma faute et ce pour cette putain d'éternité
Je n'aurais pas du être là, ils ne m'aiment pas
J'aurais du, dès la naissance, mourir né
Car, peu à peu, ils me font franchir le trépas

Je suis le fardeau
Où est mon bourreau ?

Appelez-moi "Tanguy", mais en plus triste
Dire que je porte l'empreinte de ce p... de Christ
Ils me haïssent en tous points, je me dois de partir
Je dois disparaitre avant que tout cela n'empire
Je les vomis quand l'un et l'autre retourne leur veste
Avant que de ma paersonne ne ressortent des gestes
Je suis le fardeau d'une famille en décomposition
Où est mon bourreau qui me donnera ma direction ?
Je suis le fardeau de mes parents et ils sont mes bourreaux

Ma puce, je rêve de te revoir, une ortie t'a enlevée à moi
Par espoir de tout gâcher et de faire renaitre le désarroi
Les fleurs se fanent et je ne m'aperçois plus
De la chance que certains hommes ont eu
Je ne rêve plus, j'espère... quasi en vain
Comme si le blé ne donnait plus de grain

Où es tu ?
Mon amour, ma vertu
Il y a des gens qui meurent fous
D'être las, las, las de tout !

Blêmes sont mes étoiles et mes espérances
En espérant tout de même ne pas avoir d'accoutumance
Par chance_________
Une dernière danse, une chanse, ue espérance
Une trans____________
S'il te plait ma cérie accorde moi cette danse

Je t'aime, Papa

Du sang de mes fanes me donnent des rêves
Où le rêve indécis me donne comme une trève
Je ne sais plus où se trouve mon allée
Je ne sais même plus où se trouve mon aller
L'Enfer reste une étape à vous tous_____
Je fume, je crache, je crève, je tousse______
La couleur du sang sera pour moi un émoi
Je serai Judas et je tiendrai ta croix

Saigne dans mon règne
Avant que ton âme se baigne
Dans la mer des désespoirs
Ceux qui nous donnent à croire

Des "merci", j'en ai treop eu, ça fatigue
Comme les fourberies d'une petite gamine
Mes rêves restent les mêmes, sans plus, sans moins
Je suis heureux, mais quant à demain...
On m'aime de jour, et même parfois de nuit
Mais je rêve de la nuit ; celle qui fuit

moi j'ai qu'une chose à dire ,
gintoxic , je panique ,
quand je vois toutes les fois ,
ton rictus maléfique ,
j'en ai des cauchemars tous les soirs ,
je suis flippée par tes dents acérées ,
mais tu n'es pas celui que l'on pourrait croire ,
malgrè les apparences reflétées .

A présent je me laisse, demoiselle
guider droit vers le ciel
Rien de vaut votre pure étincelle
Dans vos yeux, jouvencelle
Votre velours m'ensorcèle
Le coeur chaud, il me pousse des ailes

Les nuages vous entourent, je les ôte
je prolonge mes mains vers vos côtes
Me laissant découvrir vos sillons
Je m'attendris sur vos charmants vallons
Je fonds le long de vos dunes coquines
Me délecte de vos vastes collines

J'hume la senteur de vos fleurs
Qui par milliers m'apportent la saveur
De vos prairies Ô combien salvatrices
et de vos dunes impératrices
Je plonge dans les vagues de voscheveux
Et entame un voyage douceureux

je me nourris du nectar de vos sens
Sans contrainte, je mélange vos essences
Il y a de l'ambre, du musc, de la rose
Des parfums délicat et pour cause
Ils m'enivrent, me font perdre la tête
je me livre, maitenant, vers le but de ma quête

Vous, presqu'île aux multiples reflets
Je ne cesse d'admirer vos courbes parfaites
Dans vos champs une nuée de fée
Dans vos yeux une ruée d'anges en fête
Ils sont tous là pour enfin m'accueillir
Me laisssant le meilleur, jetant le pire

Je m'assieds près de vous, "Mirabelle"
et savoure le bonheur de vous voir encore pucelle.

Dédicace à toutes les femmes de la Terre

Un petit coup de main Gin ! J'espère que tu ne m'en voudras pas !

les frasques poésiques de Gintox Ginbannire3dm3

CHAPEAU BAS POUR Cdingue ET ENCORE MERCI POUR CE TRAVAIL QUE TU A FOURNI Very Happy