L'antre de Bilbokine (33)

certe, tu as raison, j'accepte avec plaisir; ton invitation!

(francis baille, la tisane l'as tellement detendu, en plus en si charmante presence, le someil viens vite car la pression se relache)

Je m'étais lever au petit matin et avais déjeuner, allant voir francis dans la chambre dans l'idée de le reveiller j'ouvris la porte sans faire de bruit. Quand je le vis dormir je n'osa pas le reveiller et le regarda dormir durant quelque instant. Puis je le laissa, je décida plutôt de lui laisser une missive sur la table avec les clefs de ma demeure, que je passerai prendre à mon retour chez mon ami, je savais ma maison entre de bonne main...

Citation :

Mon cher Francis,

J'espère que tu as bien dormis, je n'ai pas pu te réveillé tu dormais tellement bien et je n'ai pu t'attendre non plus pour partir car la route est longue, je te laisse donc les clefs de ma demeure. Je sais que tu m'avais proposé de m'accompagner mais au final je préfère partir seule avec theoden, j espère que tu ne m'en voudras pas et que tu comprendras. Tu es libre de rester chez moi le temps de t'installer, je passerai prendre mes clefs chez toi.


Je t'embrasse


Bilbo, ton ti rayon de soleil.

Je sortie sans faire de bruit et partie...

C'était la première fois que Torok se rendait chez Bilbokine... Il allait d'un pas mesuré rendre une visite à celle qui occupait ses pensées. Il espèrait qu'elle fut là, et tout du moins que sa porte ne soit pas fermée afin de lui offrir ceci :



Les plus belles roses de son jardin. Une variété transmise par sa mère, qu'il affectionnait particulièrement (la variété ).

Il fut séduit par la bâtisse, ce à quoi il s'attendait.

Torok poussa la porte et frappa trois coups . La maison semblait vide... Torok posa son bouquet sur la table centrale.

Il humma l'air pour s'imprégner de l'ambiance de cette maison...
"Voici donc ton royaume, Bilbokine" se dit-il.
Son regard balaya la pièce plusieurs fois et s'arréta sur un objet insolite : un hochet de bois. "Son fils.." murmura-t-il.

Torok se senti soudain embarassé par son intrusion. Il laissa un mot à côté du bouquet : "Bien à vous, Torok" et s'appréta à partir quand...

Torok, se retourna et vit Bilobokine devant lui, un peu essoufflée.

Bonjour Bilbokine, je suis content de vous voir.

Vous me manquiez... pardonnez mon intrusion...

Pour seule réponse, Bilbo lui fit une bise...
Torok lui rendit cette bise et lui murmura dans l'oreille : "Vous êtes radieuse aujourd'hui"
Torok songea que le bonheur allait si bien à Bilbokine qu'il ferait l'impossible pour qu'elle en pris l'habitude. Il eu envie de la prendre dans ses bras mais, ne sachant pas si elle en avait envie, il préféra attendre un signe de sa part.

"Avez-vous résolu votre énigme ?" lanca-t-il pour chasser son trouble.
Bilbokine lui répondit par un sourire bien mystérieux qui pouvait tout dire...

Elle lui proposa de rester. Torok essaya d'hésiter mais un "Oui" sortit tout seul de sa bouche, suivit d'un "volontier" à peine plus contrôlé.

Bilbo fit volte-face et s'écria gaiement : "je vais chercher de la bière !"

Ils s'assirent, devisèrent sur la vie et se racontèrent leur histoire (en tous cas, ce qu'ils voulaient en dire). Ils ne burent pas trop (ce qui n'était pas dans leurs habitudes ) car ils avaient beaucoup de choses à se dire. Le temps passa bien vite...

Torok jetta un oeil à la fenêtre et vit que le jour tombait. Il n'avait pas envie de partir mais sa raison lui disait qu'il devrait rentrer chez lui.
Il regarda Bilbo dans les yeux, essayant de deviner ce qu'elle en pensait...

Je le fixais et plongeant dans son regard je lui sourit, je n'eue qu'une envie...., et ne pus me dégager de son regard , je n’avais pas quitté le regard du tendre torok, mais avais bien l’envie de le voir rester prés de moi, et aussi et surtout une forte attirance qui me donnais l’envie de l’embrasser mais j’eue préférée me retenir même si cette attirance était forte en moi, mais pourquoi cette envie, je me souvenue du bonbon et me mise à rire à ne plus m’arrêter, je finit par me calmer, m’excusant de cette crise de fou rire, plus que gêner je replongea dans son regard, espérant qu’il me prenne dans ces bras tellement l’envie était grande en moi.
Me levant je me dirigea vers la cheminé ou j’alluma un feu , puis je resta la à regarder les flammes danser , regardant de temps à autre le charmant torok, me demandant s’il viendrai me rejoindre pour me prendre dans ces bras et assouvir cette envie qui me hanter, alors qu’il y a peu un autre était dans mes pensées, mais la torok était en ma demeure devant moi et tout me pousser vers lui, mais qu’en était il de lui, qu’elles était ces envies la douce flamme l’attirait elle autant que lui m’attirait, qu’elles était ces envies la question me tourmenta et je ne puis me resoudre à le lui demander, je ne le saurai seulement si son désire était le même que le miens et qu’il exaucerai cette envie présente en moi. Je ne dis mot et continua à regarder le feu …

Le regard de Bilbokine était un peu triste et mélancolique. Torok eu l'impression qu'il le suppliait :
"Torok, guéris ma peine, mon âme est meurtrie, prends soin de moi" .

Cela fit de la peine à Torok mais il offrit à sa Bilbo le plus doux des sourirs et la pris dans ses bras. Il l'a connaissait peu mais il l'aimait déjà tellement.

Prenant son visage dans ses mains, il lui baisa le front, ce qui signifiait pour torok qu'il lui offrait sa protection.
Il lui passa autour du coup un collier de coquillage et de plume qu'avait confectionné Janic :
"Ce collier l'aidera à retrouver la joie de vivre qu'elle a perdue" avait-elle dit...

Bilbokine pleurait. Torok reconnu des larmes de joie et d'apaisement. Le collier ? la présence de Torok ? Peut-être les deux...
"D'où vous vient cette mélancolie ma douce amie" lui murmura-t-il.

Torok sentait le désir de Bilbokine comme un feu sacré. Il pris la main de Bilbo et la posa sur son coeur, l'invitant à consommer leur nouvel Amour...

Bilbo tremblait comme une feuille. Elle semblait désemparée, épuisée de tant de chagrin.

Torok se dit qu'elle avait besoin de temps : "le plus grand des guérisseurs". Il n'était pas pressé de tout savoir sur Bilbo ; il voulait qu'elle se sente libre et non captive de son Amour. Il n'entrerais dans son jardin secret que lorsqu'elle serait prête et l'y inviterait.

Il souffla sur les plumes du collier qui chatouillièrent son cou et firent naître un sourir sur son visage mélancolique.

Torok l'attira vers vers lui. Elle se lova dans ses bras et s'endormit...

Nous venions de nous poser sur une couverture que je venais d’étendre sur le sol face à la cheminée.
Les larmes coulaient toujours sur mes joues j’étais dans ces bras quand je sentis son souffle dans mon cou et les plumes du collier me chatouiller je lui sourie, le regardant dans les yeux, Torok m'attira vers lui je l’embrassai par impulsion et envie laissant se baiser se prolonger, puis par la suite je restais dans ces bras, je ne voulais pas m'en degageais, sans dire un mot, heureuse et sereine j’étais bien, je ne voulais pas qu'il me quitte, je voulais rester la, que le temps s'arrete, je finis donc par m'endormir près de lui, dans ces bras comme amoureuse ….

Bilbokine avait du faire retraite au couvent quelques jours pour méditer.

Torok fut bien triste de la perdre déjà mais il se dit qu'il pourrait faire le mur du couvent chaque soir et rejoindre sa titoune, en tous cas, au moins dans ses pensées.

Torok remis la maison en ordre, laissa trop petit cailloux blanc sur la table et rentra chez lui.

En chemin, il passa par la taverne et s'ennivra

La nuit tombait quand Torok arriva chez sa douce. Passant par le jardin, il escalada le mur aidée par une glycine cinquantenaire. Il entra par la petite fénêtre du grenier qu'il avait laissée ouverte lors de son dernier passage. Parvenu au salon, il vit ses petits cailloux blancs, qui attendaient le retour de Bilbokine, symbole de cette nouvelle trinité qui les réunirait peut-être un jour avec le petit Théodène.

Il plaça sur la table un parchemin cacheté de cire et objet de sa visite. A son retour, Bilbokine pourrait lire :

Comme une étoffe déchirée
On vit ensemble séparés
Dans mes bras je te tiens absente
Et la blessure de durer
Faut-il si profond qu'on la sente
Quand le ciel nous est mesuré

C'est si peu dire que je t'aime

Torok monta l'escalier et chercha la présence de sa douce. Une odeur, un vétement familier... Une chemise posée sur un coffre le combla. Il la passa et sentit la caresse de Bilbokine sur sa peau.

Il s'allongea sur la banquette du salon où morphé le pris dans ses bras.

Alors que Letitidamiens entrepris son tour de la ville pour faire ses adieu à tous ses amis, il s'arreta un instant devant la maison de son amie. il se remémora tout les souvenirs et bon moment passé avec cette amie si particulière.

Adieu Bilbo cria-t-il.

Il se retourna et parti

j'étais de retour chez moi, la maison était bien vide et triste, seul trois cailloux et un parchemin étaient sur la table, je pu lire sur le parchemin ...

Citation :

Comme une étoffe déchirée
On vit ensemble séparés
Dans mes bras je te tiens absente
Et la blessure de durer
Faut-il si profond qu'on la sente
Quand le ciel nous est mesuré

C'est si peu dire que je t'aime

Je souris tristement...
Je m'assise et câlina l'amour de ma vie theoden en lui chuchotant que ma meditation n'avait pas servie a grand chose mise à part beaucoup de repos qui lui avait fait le plus grand bien...

Dans la nuit, Torok quitta sa douce et pris le chemin de la rue Basse des Orfèvre. La lune guidait ses pas. A sa main un parchemin serré d'un ruban rouge. Il le glissa sous la porte et rentra rue d'Engoulevent.

A son retour, Bilbokine pourrait lire ces vers :

Aimer à perdre la raison
Aimer à ne savoir que dire
A n'avoir que toi d'horizon
Et ne connaître de saison
Que par la douleur du partir
Aimer à perdre la raison

Ton fidèle aimant,

Torok

Cdingue en partant travailler passa devant la maison de son amie Bilbokine...

- Vivement que tu rentres de ton voyage ! murmura t-elle !


Cdingue était pressée de la retrouver en taverne pour y faire la fête.

Elle aperçut au loin Théoden entrain de jouer avec le chien puis continua son chemin jusqu'à sa boucherie.