Le Parvis, où l'on discute de tout et de rien ...

*Lison était vraiment triste, les larmes effectivement n'etaient pas loin, mais essaya de les cacher le plus possible pour montrer a ses amis, que malgre sa faiblesse elle devait essayer de rester forte meme si cela etait souvent plus difficile a faire qu'a dire.*

Non non t'inquiete pas Alric, c'est le froit qui fait des mes yeux me piquent et les fait pleurer.

Je suis désole mes amis, mais rentrons avant d'attrapper un bon rhume.

Lilly devait avoir vraiment froid et Alric se dit, honteux, qu'il manquait à tous ses devoirs vis-à-vis de celle qui serait - un jour - sa marraine.

Il défit son manteau et lui déposa sur les épaules.

Tiens, Lilly, ne prend pas froid.

Julatine, malgré son arrivée un peu tardive s'aperçut vite qu'il y avait un petit contre-temps.
Voyant la détresse de Lison, et l'absence de Monseigneur Jackmor, elle n'eut pas de mal à faire le lien.
Elle s'apprcoha du petit groupe et vint se placer à côté de Lison pour lui passer un bras autour des épaules.

Tu sais, ce n'est pas ta faute, et puis je suis sûre que ça va s'arranger...

Lilly sourit en voyant faire son Alric.

Merci mon Alric, tu penses à tous. C'est vrai qu'il commence un peu à faire frais, on pourrait rentrer et l'attendre un peu au chaud non

Lilly se blottit dans le manteau d'Alric et suivit Lison à l'intérieur

Alric ne put s'interdire une étrange pensée : pourvu que Mgr Jackmor n'ait pas fait une mauvaise rencontre dans les rues d'Amiens. La sécurité et la quiétude de la ville était sa mission.

Pourtant, les rues étaient depuis longtemps bien calmes...

Tiberre prit dans ses bras cdingue et l'embrassa, les larmes lui venanit aux yeux. MAis les cacha autant qu'il ne pu.

Ce n'est pas grave Lison, ce sont les aléas de la vie, puis ce n'est pas de ta faute, Mgr Jackmor s'est présenté, s'il n' a pas pu aller jusqu'à la fin, c'est qu'il a eu un empêchement.

Tiberre serra fort sa Douce, puis lui murmure:

On rentre a la maison, j'ai besoin de te dire quelque chose....

Cdingue triste que monseigneur Jackmor ne soit pas venu accepta la proposition de Tiberre.

- Oui rentrons, pas la peine d'attendre plus longtemps.

Cdingue salua tout le monde en leur souhaitant bonne nuit.

En chemin, Cdingue commença à se demander ce que Tiberre avait à lui dire.....

flower

Pendant ce temps la dans le bar "Chicascalientes" situe dans la rue Desperados...

Jackmor: Ole!!! Allez les chicas!

Mastoc: Faites tourner les maracasses et le tapioca!

Jackmor et Mastoc buvaient une sangria caliente tout en companie de demoiselles a demi vetues.

Mastoc: Un autre chupito Jacko!?

Jackmor: Siii por favor!!

L'évêque de Beauvais arrivait (enfin) le lendemain sur le parvis de la cathédrale d'Amiens et se demandait s'il était judicieux de se montrer, il se doutait bien que la déception d'hier devait être grande pour tous les futurs baptisés... Et encore plus grande celle de Lison qui avait vu sa surprise retomber à néant. L'évêque était honteux et ne savait comment annoncer qu'il avait été appelé au chevet d'une personne mourante qui nécessitait les derniers sacrements de manière urgente, il aurait pu envoyer un message c'est vrai, mais dans le feu de l'action il avait complètement oublié ce détail. Il se demandait d'ailleurs si les fidèles amiénois lui pardonneraient... Alors l'évêque rentra discrètement dans la cathédrale en cachant la tête dans son missel, la gorge serrée et les entrailles nouées, et partit dans la sacristie se préparer. Cette fois, aucun mort ne passerait avant les fidèles, ce mort n'aurait qu'à attendre...

Tiberre dans un élan d'espoir, se dirigea vers la cathédrale, il ne comprenais pas ce qui était arrivé a Mgr Jackmor, mais cela devait etre une urgence très importante pour disparaitre si subitement.

Il décida d'entré dans la cathédrale, et s'avanca entre les bancs, puis vint s'assoir au premier en attendant un signe quelqu'il soit.

Lilly avait appris que Monseigneur Jackmor était là, il avait du avoir un empêchement la veille. Mais le principal est qu'il était là maintenant et que le baptême aurait enfin lieu.
Elle courut jusqu'à la porte de la cathédrale. Elle rentra discrètement et vit Tib déjà arrivé. Elle le salua et alla s'asseoir derrière lui pour attendre les autres

L'évêque ressortit ensuite de la sacristie et revenant dans la cathédrale vit que certains des catéchumènes étaient déjà revenus. JackMor apprêta alors tout ce qu'il faut pour le baptême, depuis les bougies qui furent allumées auprès de l'autel, jusqu'aux ustensiles de baptême sur la crédence auprès du trône épiscopal, en passant par l'eau chaude dans une cruche en cuivre qu'il amena près du baptistère tout en espérant que l'eau ne refroidirait pas trop d'ici que tous les catéchumènes revinssent pour leur baptême. L'évêque profita de ces derniers moment de silence pour préparer un mot d'accueil permettant d'exposer à tout un chacun ses excuses.

Cdingue avait eu vent de la mésaventure de monseigneur Jackmor.

En sortant de son échoppe, elle s'habilla chaudement et se rendit directement à la cathédrale.

La porte n'était pas fermée à clef et Cdingue entra doucement.

Elle aperçut Lilly et Tiberre assis bien sagement sur les premiers bancs. Cdingue alla les rejoindre et s'installa aux cotés de Tiberre.

- Bonsoir vous 2, j'espère que les autres ont été prévenus que le baptême aurait lieu ce soir.

Mais avant de continuer, il leur faudra rejoindre le bon topic qui se trouve à cette adresse :

https://amiensrr.forum2jeux.com/baptemes-f40/

flower

Julatine avait été mise au courant de l'arrivée de monseigneur Jackmor et le moment tant attendu de leur baptême allait peut être enfin avoir lieu.
La jeune femme entra dans la cathèdrale pour rejoindre les personnes déjà présentes.
Elle leur adressa un sourire radieux et vint s'assoir à côté d'eux.

Invité

[i]Blaise ariva car il avait appris par sa futur marraine que l'eveque etait la¨.Puis il s'installa avec tib,Julatine et Lilly.

Salut vous trois!!!!!!!!!!!!!!!Vous allez bien!!!!!!!!!!

Alors que chacun arrivait, l'évêque s'approcha du baptistère et les autres le suivirent en s'asseyant autour du baptistère en grès rose:
Le Parvis, où l'on discute de tout et de rien ... - Page 2 Baptistere

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Il ne manquait plus que quelques personnes dont Lisonlune pour pouvoir commencer la cérémonie.
La suite se passera ici ---> https://amiensrr.forum2jeux.com/baptemes-f40/baptemes-de-mastoc-blaise-flamme-julatine-t721.htm#10612

Cela faisait plusieurs heures que Frère Lavérolle tournait en ville. Il avait laissé sa comparse pour prendre l'air. La plupart des villageois semblaient être occupés à leurs travaux divers. Au hasard de ses déambulations, il était arrivé devant la cathédrale. Qu'est-ce qu'il hait ce genre de batiment...

Il regarde à droite; personne en vue. Il regarde à gauche; personne non plus. Personne... Absolument personne! L'occasion est trop belle. Il met la mains dans une de ses poches, emopigne la craie qui y traine, et se dirige vers l'édifice dans lequel il pénétre.

D'après les conversations en taverne, le curé est plutôt absent, et les Amienois ne vont pas souvent à l'office. Il ricane. Il dessine un énorme heptagramme au centre de la cathédrale; au sommet de chaque branche, il écrivit un nom: Lucifer, Azazel, Belial, Satan, Belzebuth, Leviathan et Asmodée; et au centre, il écrit: "C.S.N. est source de joie". Il exulte tellement, qu'il se permet même quelques dégradations supplémentaires.

Au bout d'une demi-heure, le frère est devenu hystérique. Il envoie des chaises voler à travers les travées, et elles se fracassent contre les murs. N'ayant plus de chaise à portée immédiate de main, il entre dans la sacristie, et fait tomber les étagères au sol. Avisant un calice en or et un crucifix fort joli, il les mets dans ses poches.

*Lison qui passait à la cathedrale pour aller prier pour la perte de son bien aimé, vit un homme malsain qui avait écrit sur la cathedrale de droles de nom. Puis il avait mis un sacre fourbi dans la cathedrale, Lison s'approcha*

He la bas que faites vous??

Vous n'avez pas honte de detruire cette cathedrale?

Frère Lavérolle sursaute en entendant quelqu'un derrière lui, quelqu'un de mençant, en plus. Heureusement pour lui, il tourne lui de dos. Par reflexe, il remet son capuchon sur sa tête pour couvrir son visage le plus possible. Et il reste là, figé sur place.

Par cette belle journée, Lilly en profita pour emmener Lylouve se promener. La petite louve avait besoin d'être un peu avec sa maitresse, elle continua son chemin, tout en rêvassant. Quand tout à coup, elle entendit du bruit venir de la cathédrale, elle s'approcha et vit lison parler à un inconnu.

Elle regarda autour d'elle, et vit l'église dans un état incroyable, elle compris vite qu'il y avait un problème

Lilly vit sa louve grogner et avant qu'elle ait eu le temps d'agir, lylouve sauta sur l'homme. Elle vit l'intrus se débattre avec sa louve et en profita pour le neutraliser

Cultivateur/trice Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 12/11/2007

Toujours à l'affut d'une proie facile, Laverrue deambule au gré des ruelles.
Quelques fruits sur une étale, une ou deux brioches plus loin... Le royaume lui appartient.
Au detour d'une rue, elle arrive sur le parvis. Un fracas de meuble se fait entendre, une voix jure par tous les mots. Cette voie elle la connait c'est celle du frere Laverolle.
"-Rhaa...il peut pas s'empecher...faut qu'il se fasse remarquer...
Montant les marches quatres à quatres elle arrive à l'entrée. Une dame est là d'une allure impressionnate, la main sur le pommeau de son épée elle interpelle Laverolle. Ce dernier ce retourne. Il n'a pas le temps de dire mots que Laverrue assenne un coup sur la tete de l'imprudente.
"- Allez viens on s'en va"
Se retournant pour partir elle se retrouve nez à nez avec une autre dame qui lache son louveteau sur le frere.
Elle sort sa dague et commence à avancer vers l'audacieuse

*Lison tombe au sol assomée*

Avant de pouvoir esquisser le moindre geste, frère Lavérolle est attaqué par un louve. Il se débat furieusement, assénant de grands coups à l'animal. Jusqu'à ce que sa maitresse intervienne pour le maitriser. Mais au dernier moment, frère Lavérolle décoche un violent coup dans la machoire de la louve, et celle-ci s'en va en couinant.

En relevant la tête, il voit Laverrue qui a assomé Lison et qui s'approche avec une dague. Son oppsante semble surpris, et il en profite pour lui donner un coup de tête et un coup de coude, ce qui le libère de l'emprise, et il court droit devant lui pour sortir du batiment. En passant près de Laverrue, il lança:

Allez vient, on s'en va, vite, avant que plus de monde ne rapplique

Cultivateur/trice Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 12/11/2007

Sans oublié de faire les poches aux deux malheureuses, Laverrue prend la fuite suivant de pret Laverolle.

"- Rhha toi ... t'en loupe pas une..."

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