ELLE.
J’cherchais une étoile, à travers les paysages
J’transperçais l’horizon, et battais la campagne
J’suivais le vent et écouter son chant
Jusqu'à que dans la pénombre, j’n’vois même plus d’ombres
Et que dans mes songes, n’apparaisse qu’mensonge
Alors j’ai pris la mer…
J’cherchais une étoile, à travers les tempêtes
J’traverser les vagues, et survoler l’ressac
J’suivais mon capitaine, et rêver des grandes plaines
Jusqu'à ce que dans les ondes, j’n’vois même plus d’ombres
Et que dans l’eau profonde, n’apparaisse qu’mensonge
Alors j’ai repris terre…
Puis à travers les chemins, un matin, j’ai trouvais mon étoile
Mais mon étoile, n’était autre qu’une femme.
Mon sang dans ma tête, brûlait d’une flamme nouvelle
Et mon cœur dans un souffle, m’as dit que c’tait elle
Alors depuis il n’résonne que pour elle, et trouble mon sommeil
Qu’importe l’horizon, qu’importe les paysages
Qu’importe le sens du vent et les chemins courants
Car mon étoile est toujours là, à chacun d’mes pas
Elle est trouble la journée, et scintille dans la nuit.
Elle hante mes pensées, et décuple ma fierté
Elle rappelle ma colère, comme un coup d’tonnerre…
Son visage est ainsi, juste graver dans ma tête
Mon amour l’es déjà, réserver juste a Elle
Je l’aime et qu’importe le moment ce s’ra éternellement
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Hier j’ai fait un rêve, qu’j’voulais décrire à ta maniere
S’était beau, s’était hier, il y avait nous par delà la mer
S’était comme nos baiser volés, et en un instant tout avait changé
Sa s’envoler, sa se consumer, s’était brûlant et inconstant
Sa s’enfuyait et sa revenait, sa se calmait puis s’empoignait.
Ce rêve j’aimerais l’refaire, à chaque fois qu’j’regarderais la mer
Et j’sais qu’toute facon, tu occupera toute ma raison
Que sur l’chemin tu sera la, qu’tu troublera mes choix
Que dans ma voix, il n’y aura plus, l’amour tant qu’j’serais pas revenu
Et qu’pour moi, sa sera comme ça, il y aura toujours qu’toi
J’ai beau écrire ses mots, tout n’es d’ja plus aussi beau
Tu est la, je suis partis, jusqu'à que nous soyons a nouveau uni
Je suis la, tu est partis, et l’ciel est devenu gris.
J’ai beau vouloir t’enlever, j’n’aurais voler que tes baiser.
Mais j’sais que je t’aime et que je t’aimerais, et qu’rien n’pourra y changer.
N’sois pas triste car un jour, ce rêve ne l’sera pas
Il y aura toi, il y aura moi et ça nos cœur le savent dèjà
A ma cata’ et rien qu’pour toi
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J’avais laisser ma lame, j’avais laisser mon âme
J’avais laissé brulé les flammes pour consumer ma hargne
Toute ma peur était la, inscrite dans tes pas
Ma seul larme tombait serait de te voir toi, mon étoile
Quitter les cieux plats pour regagner la bas, les terres loin de mes pas
Car chaque silence loin de toi me ramenait à ta voix, me rappelait que jamais je n’avais plus aimé
Me rappellait qu’a jamais mon cœur t’appartenait
Tu consumait ma vie au rythme de t’es baisé, tu me faisais rêver a chaque je t’aime échanger
Même les yeux fermait mon cœur me renvoyait les reflets de tes yeux,
Même a des lieux j’percevait les battements de ton cœur, même dans mon sommeil ton parfum accompagner mes rêves…
J’avais cru que jamais je ne pourrais me défaire de toi car a chaque pas mon cœur brulait
J’avais cru qu’as jamais je n’était plus qu’un pantin désarmé loin de ta beauté
Toute ma force était la, inscrite dans nos pas
Mes derniers mots je le sais, serait rien que pour toi…
Je t’aime et chaque brûlure dans mon cœur me rapporterais a moi : ton odeur, ta voix, les battements de ton cœur et l’image de toi, coucher dans mes deux bras.
Je t’aime et comme chaque poème, ils se terminent ainsi, comme moi qui n’arrêtera jamais de t’aimé et t’accompagner par mes pensées pour l’éternité.
Je t’aime à jamais…
celui qui t’était destiné,
Athor
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J’ai tracer une carte, j’ai graver un nom
J’ai fixer un nuage glissant dans l’horizon
J’ai suivis un rapace face au soleil lointain
Je garde toujours en moi le souvenir de tes doigts
Chaque sensation suis d’abord mon menton, puis déserte de mes lèvres
Le goût de ta peau, résonne toujours là haut comme un cheval au galop
Puis il y a tes je t’aime qui s’épellent lentement à chaque bruissement du vent
La douceur de ta peau qui répond au sursaut du ressac des eaux
Et puis tes deux pupilles, comme deux petits rubis, hullulement dans la nuit, lueur infini.
Simplement ton parfum qui revient une seconde au clapotis d’une goutte
Simplement toi que j’avais dans mes bras, mais qui s’enfuit la bas.
J’ai déjà tout graver, comme sur ce papier, que j’aimerais faire brûler
Ses lettres sont toutes fixer sur mon cœur dont le battement sonore, disparaît a jamais
Je t’aime et je t’aimerais, demain et à jamais.