Bienvenu chez Tenrezza!

Tenerezza rentra avec trois miches de pain et une bouteille de lait, lorsqu'elle entra elle ne vit pas ni son amie ni le berceau!
Elle devina que Perdri soit déjà au lit et que Gaël lui aussi est en train de rêver, elle préparer son sac elle mit quelques habit et 2 miches du pain puis avant de sortir elle n'a pas oublier d'aller voir son amie et son fils, elle fit un gros bisou sur la joue de Gael et rabat la couverture sur son amie et lui fit elle aussi un bisou sur sa joue puis elle prit son sac et sortit sans faire du bruit pour rejoindre Gunt pour voyager ensemble comme prévu!

Perdrinette fut réveillée par le froid matinal.Elle devait affronter la terrible séance du lever : s'arracher à la tiédeur des draps, subir l'agression du froid, rester assise sans pouvoir vaincre son inertie... Elle regarda son fils qui dormait toujours. Elle ne le réveillera pas. Elle enfila un vêtement puis sortit de sa chambre en laissant la porte entre ouverte pour entendre le réveil de Gaël. La maison était vide, Tene était parti à Bertincourt et elle lui manquait déjà. Perdri entra dans la cuisine et plaça des bûches sur celles qui brûlaient dans la cheminée. Voilà, bien longtemps qu'elle ne s'était pas retrouvé seule. Elle avait souffert dans son enfance de ne pas pouvoir s'isoler aussi souvent qu'elle l'aurait voulu. Elle savoura donc ce matin où en attendant le réveil de Gaël, elle n'avait rien à faire. Accoudée sur la table, face à la fenêtre, elle resta un long moment à laisser son regard errer sur le jardin, les fleurs, les arbres. Puis progressivement et s'en qu'elle s'en rendit compte, elle ne vit plus rien de tout cela et elle glissa à l'intérieur d'elle-même. Lovée au creux de sa chaleur intime, l'esprit inoccupé mais actif, elle avait l'impression que les questions qui continuaient à la hanter allaient trouver réponse, qu'elle allait être délivrée de ce qui toujours l'oppressait. Elevée par une nourrice, elle s'était toujours demandé si sa mère l'avait aimé, si elle s'était inquiété d'elle... Ces interrogations la torturaient intérieurement. Pourtant avec les années, elle avait appris à dissimuler cette tristesse qui l'envahissait . Jamais elle n'en avait fait part à qui que ce soit, jamais elle n'avait voulu montrer ses angoisses. Désormais, c'était elle qui avait un enfant, c'était elle qui élevait son fils et c'était elle qui lui apportait tout son amour. Depuis la naissance de son bébé, ces questions avaient fini par refaire surface. Douloureusement, elle essaya d'imaginer le jour où on était venu l'arracher à sa mère pour être élevée loin d'elle par une nourrice. Cette mère l'avait-elle aimé ?
Perdrinette décrocha soudainement son regard du jardin et se dirigea vers sa chambre: Gaël venait de se réveiller...

Après s'être occupée de son fils, Perdrinette entreprit de faire un peu de rangement dans ses affaires. Agenouillée devant une malle de sa chambre, elle décida de l'ouvrir pour voir ce qu'elle y avait entreposé. Dès son arrivée chez Tene, elle y avait rangé de vieilles choses dont elle ne se servait plus : elle commença à fouiller dedans. Elle en sortit des couvertures, des vêtements qu'elle avait du porter alors qu'elle n'avait que dix ou onze ans, des livres. Soudain, elle découvrit une boite calée dans le fond de la malle. Cette boite, Perdri n'avait jamais voulu l'ouvrir, elle lui avait été offerte par sa nourrice lorsque celle-ci allait succomber à sa maladie.Une boite qui appartenait soit-disant à sa mère. La regardant, la jeune femme tendit la main vers l'objet et l'attrapa. Elle hésita un instant. Devait-elle l'ouvrir ? Pourquoi Perdri avait-elle toujours eu peur de découvrir le contenu de cette boite ? Elle sentait qu'elle cachait quelque chose... mais quoi ? En délivrant son secret, ses questions trouveraient-elles des réponses ?
Tenant la boite entre ses mains, elle la tapota pour en faire tomber le peu de poussière, puis l'ouvrit. Elle y découvrit une page, deux pages, des tas de pages d'écritures... que pouvaient-elles raconter ? Perdrinette prit la première qui lui venait et lut les premières lignes:

Citation :

Novembre 1437

Mes muscles se raidissent, mes mains se nouent brutalement dans mon dos, mais je ne peux rien contre ce sentiment d'effondrement qui me submerge, et à ma grande honte, deux lentes traînées brillantes apparaissent sur mes joues. Je vous ai perdues...

Perdrinette lut et relut la phrase. Les mots prirent possession d'elle, firent lever tout un magma d'idées confuses, rejoignirent des questions qu'elle ne saurait formuler. Le dos appuyé contre le mur, cette page pressée contre sa poitrine, elle resta ainsi un très long moment, en proie à une joie mêlée de tristesse et d'angoisse. Que voulait bien dire ces quelques lignes ? Ces lettres appartenaient-elles à sa mère ? Sûrement... " Je vous ai perdues...". C'est à ce moment que Perdrinette se rendit compte de la souffrance que sa mère avait du éprouver d'avoir perdu ses deux filles...

Lorsqu'elle releva la tête, Perdrinette s'aperçut que le soleil était très haut dans le ciel. Midi approchait et la jeune femme sentait que Gaël allait bientôt manifester sa faim. Elle arracha quelques mauvaises herbes à nouveau puis rangea les outils de jardinage de Tene. Perdrinette contempla un instant les parterres de fleurs dont elle s'était occupée toute la matinée. Satisfaite de son travail, elle rejoignit l'intérieur de la maison. Elle se lava les mains, regarda son fils dans le berceau. Toujours endormi. Perdrinette balaya la pièce des yeux et son regard fut saisi par un tas de papier. Ces pages, toujours ces pages... La jeune femme en avait lu quelques-unes la veille. Elle avait même fini par s'endormir avec. Elle prit place sur une chaise à côté de Gaël puis s'empara d'une de ces pages. Elle lut attentivement :

Citation :

Mars 1438

Cette déchirure... quatre mois ce sont écoulés depuis votre disparition. Je vis de tels bouleversements, me trouve jeté dans un tel chaos, que bien souvent, je côtoie la folie. Parfois je souffre tant que pour tenter de ne plus souffrir, je cherche à verrouiller ma sensibilité, saccager en moi la source des émotions. Depuis votre enlèvement, je ne sors plus, reste à ma table sans rien pouvoir faire, et il se passe des jours sans que je prononce un mot. Chaque nuit, je suis prise de cauchemars. Plus je m'enfonce, plus je me retire dans le silence et la solitude.
Je n'ai plus aucun désir et rien ne m'intéresse. L'ennui, l'accablement, la nausée du temps qui ne coule plus. Ne coulera plus. Suffoquant à la pensée de ces jours qui s'étendent devant moi. Un combat de chaque seconde. Et en permanence le besoin d'en finir, d'en finir... Rôdant autour du geste ultime. Pour me préparer à l'instant où il me faudra l'accomplir...

Gaël commençait à pleurer. Perdrinette abandonna immédiatement la page en la posant sur la table et prit son fils dans les bras pour lui donner la tétée. Mais les lignes qu'elle venait de lire s'inscrivaient toujours devant ses yeux... des lignes reflétant une terrible souffrance, celle de sa mère...

Tenereza arriva enfin devant sa maisonnette, après son inoubliable voyage à Bertincourt avec Gunt.
Elle se sentait heureuse mais épuisée, elle franchit la porte du jardin et se dit avec un long soupire de satisfaction:

"Ahhh, quel bonheur d'être chez soi!"

Elle balaya son jardin du regard, il était super propre et tout est dans l'ordre elle devina que Perdri s'y était occupée pendant son absence.

"Merci Perdri, tu es magnifique!" Marmonna t-elle

L'intérieur de sa demeure était aussi brillant et propre que le jardin, Tenerezza était heureuse du travail de son amie mais elle marmonna:

"Je vais t'indemniser toute cette fatigue et tout ce temps que tu as perdu en s'occupant de ma maison Perdri, promis!"


Elle jeta son sac sur une chaise et se jeta sur son fauteuil, ferma les yeux et s'assoupit.

Tenerezza ouvrit les yeux, la nuit était déjà tombé, elle se leva vite et prit un bain avant de vider son sac.
Perdrinette n'était toujours pas revenue, Tenerezza se rappela que le lendemain c'est l'anniversaire de Gaël, elle voulait préparer une surprise pour son amie mais il faut vraiment du boulot!
Mais son amour de réjouir ceux qu'elle aime était plus fort que tout, elle avait une volonté ferme de faire un anniversaire mémorable pour le petit Gaël!

"Par ou devrais-je commencer?" Chuchota t-elle

Elle réflechit un peu puis prit l'argent qu'elle avait et sortie vers le marché.

Perdrinette rentra à la maison et prit quelques affaires à elle et celle de Gaël. Elle mit le tout dans son sac et sortit de l'habitation de Tene. Fanfan avait invité la jeune femme et son fils à dormir chez elle...

Tenerezza rentra du marché, elle n'avait pas oublié d'aller jeter un coup d'œil sur ses amis en taverne!
Lorsqu'elle entra dans sa maison, Perdri n'y était pas, c'est qu'elle va dormir chez Fanfan aujourd'hui et bien sur Gaël était avec elle!
Tenerezza était au courant de tout, sans perdre du temps elle se mit au travail.

D'abord elle verrouilla la porte du jardin et celle d'entrée pour que personne n'y entre, elle voulait même pas que Perdri puisse entrer!
Puis elle nettoyait la maison, heureusement qu'elle n'était pas trop sale, puis elle alluma des falots et les mit partout dans la maison pour qu'elle puisse voir chaque coin, puis elle commença l'accrochage des guirlandes et des ballons.

Lorsqu'elle finit, elle éteignit tous les falots a l'exception d'un qu'elle portait avec elle et entra dans sa chambre avec la panier de tricotage, elle voulait commencer dès la nuit le tricotage d'un petit cadeau pour Gaël.
Elle tricota des heures et des heures jusqu'à ce qu'elle sentait la fatigue la possédait, elle éteignit le falot et s'endormit avec un sourire sur les lèvres.

Tenerezza ouvrit les yeux après le levé du soleil

"Arrf c'est trop tard!" Grogna t-elle

Elle poussa le drap, ouvrit les volets puis se dirigea vers le jardin et cueilli des fleurs de toutes les couleurs et y fais plusieurs bouquets qu'elle mit partout dans la maison, lorsque la maison fut bien décorée Tenerezza se dirigea vers sa chambre ou elle avait laissé le panier de tricotage.
Elle s'assit sur sa chaise berçante dans la terrasse et continue ce qu'elle avait commencé hier!
Deux heures après, Tenerezza réussissait à tricoter deux jolies grenouillères qu'elle mit dans sa chambre dans une petite boite!

"Et maintenant il ne reste qu'à préparer le gâteau et les petits salés!" Dit Tenerezza en se dirigeant vers la cuisine!

Et sans perdre du temps elle plongea dans sa cuisine!

Des heures après Tenerezza finit tout le boulot qu'elle avait a faire!
Elle mit tous les plats sur la table, une table pleine de mets sans oublier le gâteau bien sur!






Et maintenant Tenerezza n'avait qu'attendre son amie et son fils et les invitée bien sur!

azeleen arriva devant la demeure de son amie elle frappa a la porte et attendit une réponse. azeleen dissimulé derrière son dos une surprise pour le petit gael elle lui offrirai quand tout le monde serai la.

Perdri arriva chez Tene avec Gael dans les bras, Tenerezza la vit a travers la vitre alors elle sortit en courant pour l'acueillir!

"Coucou ma cher! Aller entre vite!" Cria Tene en souriant

Perdri entra et qu'elle fut sa surprise en voyant tout le décor

"Ah ma Tene, tu es superbe!" S'exclama t-elle en la bisouillant tout plein

Perdri fit encore quelques pas et la elle vit la table!

"Rhooo Tene mais c'est vraiment trop! Tout ca pour Gael?" Cria t-elle toute emue, "Ça va nous servir encore trois ans!" Ajouta t-elle en souriant!

Dame zaboud avait quitté l'ambiance assez malsaine de la taverne pour venir à la gentille invitation de tene pour perdri et gaël!!! Elle s'approcha de la porte et frappa puis entra!!

hello Tene, perdri n'est pas encore là? tu as besoin d'un coup de main?


Puis Dame zaboud s'avanca près du buffet

Et la Tenerezza entendit quelqu'un frapper a la porte, elle courra ouvrir avec un petit sourire sur les lèvres!

Et la elle vit Az et Zaboud debout devant la porte!

"Aller entrez! Perdri est déjà la!" Dit Tenerezza, "Et merci d'êtres venues!" Ajouta t-elle en les embrassant

Puis elle les précédait a l'intérieur vers le buffet

Superbe buffet!!

Zaboud embrassa téné et s'approcha de Perdri qui tenait son fils serré contre elle. Elle s'approcha et les embrassa.

Je passais juste vous embrasser et vous souhaiter bonne continuation!! encore félicitations pour ce petit coeur!!!

Puis Zaboud expliqua qu'elle avait une affaire urgente a régler . Elle s'excusa, embrassa ses amies et pris congé, désolée de de voir les quitter si vite!!!!

Tenerezza, Az et Zaboud rigolaient bien devant la reaction de Perdri lorsqu'elle les vit!

"Oh je crois pas mes yeux! Vous êtes toutes la!" , "Mais qu'est ce qu'il y a encore ma Tene?" Ajouta t-elle en mettant la main sur la bouche toute émue

Mais Tenerezza fut un peu navrée car Zaboud devait aussi tôt quitter mais elle la remercia d'avoir consacré un peu de son temps pour venir.

azeleen entra et bisouila ses amies

c'est magnifique se buffet c'est toi qui a tout fait Tene?

azeleen alla vers le buffet étonné par la quantité de plat qui été proposé.

Tenerezza suivie d'Az se retourna vers elle lorsqu'elle l'entendit dire:

azeleen. a écrit:

c'est magnifique se buffet c'est toi qui a tout fait Tene?

"Merci Az je suis contente que tu apprécie, oui c'est moi qui a tout préparé et c'est pas trop pour notre petit homme!"
Répondit Tenerezza

azeleen fit un grand sourire a Tene

tu est vraiment bonne cuisiniére dit t'elle tout en se servant un petit peu.

elle se tourna vers perdri et le petit gael et tendit un cadeau pour se dernier

https://servimg.com/view/12880951/2

azeleen. a écrit:

tu est vraiment bonne cuisiniére

Tenerezza se sentait très heureuse que le buffet soit aime par ses amies!

"Merci Az, serve toi! Et fais comme chez toi" Dit-elle en souriant

azeleen ne se fit pas prier avec toute ces bonne chose elle se servit d'un peu de tout . le sourire de perdri lui apprit que la peluche pour gael lui avait fait plaisir

Guntther arriva un peu retard, il était un peu débordé ces temps-ci. Il frappa doucement à la porte muni d'un petit paquet. Il remit en place vite fait ses vêtements pour être bien présentable puis attendit qu'on lui ouvrit.

Erf, t'es pas en avance Gunthy... se dit-il

Karim arriva dans la rue de Ten pour aller a cette soirée qui s'annonçait pas mal, il a était prévenu par Az par un pigeon de dernière minute, une bonne occasion de voir la tête du petit gael, car karim ne l'avait jamais vu.
Il regarda au loin et vu gunther au pas de la porte attendant qu'on lui ouvre...


"Gunt.....Trop tard" dit-il gunther était déjà entrée

Karim arriva a la port et entra, il vit tous ses amies entrain de boire une choppe...

Moi aussi j'en veut une !!! karim regarda autour de lui et vit ce magnifique buffet "qu'il est beau...il doit aussi être bon"

Il demanda où se trouver le petit et il alla le voir

Ho qu'il est mignon tout le portrait se son père....

Tenerezza entendit quelqu'un frapper à la porte elle se précipita pour ouvrir, lorsqu'elle entendit Perdri:

"Ah Tene ne me dit pas qu'il y a d'autres invités?"

Tenerezza sourit et ouvrit la porte, elle vit Gunt avec un petit paquet à la main.
Tenerezza le bisouilla en disant:

"Coucou Gungun, aller entre!", "Tu es un peu en retard, mais t'inquiète il y a encore de quoi se servir" Ajouta-elle en souriant

Dès qu'elle finit de parler, Tenerezza vit Karim arriver.

"Coucou Karim, comment ça va?" Dit-elle en lui faisant la bise

bonsoir gunt bonsoir mon coeur tu a pu te libéré alors

elle alla l'embrassé et sourit en le voyant avec le petit gael.

alors content tu la enfin vu mon coeur?